ah merde ca veut dire qu'il meurt a la fin aussi
Geirr est trentenaire et handicapé à la suite d'un accident. Sa femme est sur le point de le quitter, cédant devant son mauvais esprit et sa misanthropie galopante. En désespoir de cause et pour lui donner une dernière chance, elle convie chez lui un groupe d'handicapés chaperonnés par une coach pleine de foi en sa méthode positive. Il les accueille à sa manière en leur vidant un extincteur dessus. Dès lors, son entreprise de démoralisation commence. Tous les repères vont exploser, les handicapés vont prendre le contrôle et exclure les valides et leur bonne conscience, se perdant dans une nuit d'ivresse aux vertus inattendues.
Citation de: "Alain Deschodt"Et j'ai vu d'Henri Verneuil : Le corps de mon ennemi (1976), étrange film avec Belmondo, Blier, Brosset et Marie-France Pisier, étrange car il est très bon jusqu'à la moitié avant de s'écrouler soudainement comme un flan laissé au soleil de juillet. j'adore ce putain de film, j'en suis venu à même aimer la fin... Et Audiard n'est pas loin ! Belmondo est quand même le seul à pouvoir porter la chevaliere en or et rester classe.quelques perles- Pendant qu'une saine jeunesse agite des calicots, elle ne brandit pas de pancarte.- A votre âge et quand on porte votre nom, les gros mots ne peuvent être que des citations.- Quand je fais un fist-fuck à une caissière, j'attends pas qu'elle me rende la monnaie, j'ai déjà droit au chocolat gratuit et ça me suffit. - Si je te disais que la population a presque doublée- Deux fois plus de cons...Ca paraît pas possible.
Et j'ai vu d'Henri Verneuil : Le corps de mon ennemi (1976), étrange film avec Belmondo, Blier, Brosset et Marie-France Pisier, étrange car il est très bon jusqu'à la moitié avant de s'écrouler soudainement comme un flan laissé au soleil de juillet.
il faut qu'alain se justi-fist-fuck