Auteur Sujet: pas si innocent que ça...  (Lu 23587 fois)

Elektrokami

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pas si innocent que ça... « Réponse #15 le: mai 01, 2006, 00:28:23 am »
Citation de: "bikinicolza"
la consommation de cocaïne explose en france personne n'en parle ...


Oui d'ailleurs je n'en parlerais pas.....

SNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIFFFFF!!
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JeRe

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pas si innocent que ça... « Réponse #16 le: mai 01, 2006, 00:41:08 am »
moi j'ia reussi a arreter de fumer grace a une methode exeptionnelle

L'HEROINE
kill aime all

je prefere deplaire expres pluto  que naturellement !

dröne

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pas si innocent que ça... « Réponse #17 le: mai 01, 2006, 00:53:21 am »
Citation de: "sarha clarzano"
tierto: il y a une banalisation du cannabis alarmante, décrocher en trois minutes? j'y croit absolument pas!


Pour le moment, c'est toi qui banalise tout en mettant le canna sur le même plan que la cocaine, ce qui est idiot. J'ai 40 balais, et j'ai testé pas mal de chose durant des années, et j'affirme que fumer du cannabis n'a pas d'effet d'adiction physique, en tout cas pas d'effet comparable à la cocaine. J'ai connu des gens accros à la coco, et ça n'a absolument rien à voir. Je trouve très léger pour quelqu'un qui se prétend infirmière de tenir des propos aussi peu informés sur des domaines où les associations de prévention ont déjà du mal à lutter contre les stéréotyes, la désinformation et la propagande : pas la peine d'en rajouter sous couvert d'autorité médicale : te rends tu compte des énormités que tu écris ?

Quelques infos, dans le rapport de l'Inserm :

http://ist.inserm.fr/basisrapports/cannabis.html

On y lit :

Citation de: "INSERM"


Données épidémiologiques
sur l’abus et la dépendance
au cannabis



Plusieurs auteurs ont essayé de mettre en évidence l’abus et la dépendance au
cannabis au travers d’enquêtes épidémiologiques à l’aide de questionnaires
établis d’après les critères du DSM-III-R ou du DSM-IV (Diagnostic and
statistical manual of mental disorders, 3e et 4e éditions), outils cliniques de
diagnostic reconnus et standardisés, applicables à l’abus de substances psychoactives
et à la dépendance (tableaux 3.I et 3.II).
Ces outils sont donc largement utilisés lorsque des variables de dépendance
sont recherchées dans les enquêtes de consommation. Néanmoins, l’utilisation
d’un questionnaire dans le cadre d’enquêtes en population ne permet pas
de faire un diagnostic, mais seulement d’établir une probabilité d’être abuseur
ou dépendant lorsque le sujet interviewé présente plusieurs des indicateurs
rendant compte des critères du DSM-IV.
L’épidémiologie de l’abus et de la dépendance, les relations entre modalités
d’usage et dépendance ainsi que les facteurs de risque de dépendance restent
encore peu connus.
Les principales données sur la prévalence de l’abus et la
dépendance ont été obtenues aux États-Unis, en Australie et Nouvelle-
Zélande et très peu dans les pays européens.
Problèmes de définition
Dès 1963, l’Organisation mondiale de la Santé recommandait de ne plus
utiliser le terme trop ambigu de « toxicomanie », sa signification variant en
effet fortement selon les contextes socioculturels et les théories auxquelles on
se réfère. Les termes de dépendance psychologique et de dépendance physique
sont alors proposés, leur définition recouvrant à peu près les notions anciennes
d’accoutumance et d’assuétude. Les classifications les plus récentes introduisent
de nouvelles catégories diagnostiques, l’abus et la dépendance, décrites et
détaillées pour chaque substance. La délimitation précise de ces champs
conceptuels pose cependant encore problème, en particulier chez l’enfant et
l’adolescent.

ANALYSE

Approche catégorielle

Pendant longtemps, la clinique de la « toxicomanie » est restée marquée par la
diversité des points de vue fondés très souvent sur des a priori théoriques
rendant difficile la communication scientifique. Progressivement, s’est fait
sentir la nécessité d’élaborer des grilles standardisées de critères diagnostiques
objectifs, dits opérationnels, reposant sur une description clinique des troubles.
Les nouvelles classifications internationales se sont efforcées de répondre
à cette exigence indispensable sur le plan de la recherche. Depuis, ces critères
diagnostiques n’ont cependant cessé d’être modifiés parallèlement au développement
de la notion d’addiction liée à l’évolution même du concept de
dépendance. Dans le DSM-III, la dépendance ne peut être que physique en
référence au modèle de la maladie alcoolique proposé par Jellinek (1960),
seuls la tolérance et le syndrome de sevrage sont retenus comme critères
diagnostiques de la dépendance. A`
la suite des travaux d’Edwards et coll.
(1981) et de leur description du « syndrome de dépendance aux substances »,
le concept de dépendance dans le DSM-III-R et la CIM-10 est élargi : à côté
de la tolérance et du syndrome de sevrage, sont introduits, dans les critères


Tableau 3.I : Critères diagnostiques de dépendance à une substance d’après le
DSM-IV (Anonyme APA, 1994)
Mode d’utilisation inadéquat d’une substance conduisant à une altération du fonctionnement ou à une
souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins trois des manifestations
suivantes au cours d’une période continue de 12 mois :
1. Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
a. besoin de quantités notablement plus fortes de la substance pour obtenir une intoxication ou l’effet
désiré ;
b. effet notablement diminué en cas d’utilisation continue d’une même quantité de substance.
2. Sevrage, caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
a. syndrome de sevrage caractéristique de la substance ;
b. la même substance (ou une substance très proche) est prise pour soulager ou éviter les symptômes
de sevrage.
3. La substance est souvent prise en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que
prévu ;
4. Il existe un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler l’utilisation de la
substance ;
5. Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir la substance (par exemple
consultation de nombreux médecins ou déplacement sur de longues distances), à utiliser le produit (par
exemple fumer sans discontinuer), ou à récupérer de ses effets ;
6. Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause
de l’utilisation de la substance ;
7. L’utilisation de la substance est poursuivie bien que la personne sache avoir un problème psychologique
ou physique persistant ou récurrent, susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par la substance (par
exemple, poursuite de la prise de cocaïne bien que la personne admette une dépression liée à la
cocaïne, ou poursuite de la prise de boissons alcoolisées bien que le sujet reconnaisse l’aggravation d’un
ulcère du fait de la consommation d’alcool).


Cannabis − Quels effets sur le comportement et la santé ?

diagnostiques de la dépendance, un certain nombre de signes et de symptômes
cognitifs et comportementaux relatifs à l’utilisation des produits. La dépendance
peut alors être comportementale ou physique. Avec Goodman (1990),
la notion de dépendance, naguère centrée autour de la stricte pharmacodépendance,
est étendue à des comportements dont la nature addictive semble
manifeste malgré l’absence de mésusage d’un produit toxique. Ainsi, la dépendance
est-elle aujourd’hui plus largement envisagée comme un style de comportement
dont l’addiction à une substance ou une activité représente le
pivot. Cette dernière évolution conceptuelle est reprise dans le DSM-IV : la
dépendance y apparaît d’abord et avant tout comme d’ordre comportemental ;
elle peut s’accompagner ou non d’une dépendance physique (Bailly, 1997,
1998 ; Kaminer, 1994).
Dans ces classifications, l’abus et la dépendance sont considérés comme ayant
des expressions cliniques identiques chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte. Les
critères retenus n’ont cependant jamais fait l’objet d’études d’évaluation de
leur fiabilité et de leur validité chez l’enfant et l’adolescent, et l’adéquation de
ces critères à l’enfant et à l’adolescent reste discutée.


Si, pour certains auteurs,
les manifestations de tolérance ne sont pas exceptionnelles chez l’adolescent,
pour beaucoup, la dépendance physique est un phénomène très rarement
observé chez l’enfant et l’adolescent. Par ailleurs, les critères diagnostiques en
rapport avec les manifestations comportementales de la dépendance et l’existence
d’un handicap du fonctionnement social impliquent que soit établi un
lien de causalité direct entre la consommation excessive de substance et les
troubles observés. Or un tel lien apparaît extrêmement difficile à affirmer chez
l’enfant et l’adolescent : d’une part, parce que les attitudes et les comportements
des enfants et des adolescents sont tributaires de tous les acteurs qui influencent la maturation et le développement à cet âge de la vie ; d’autre
part, parce que les conduites d’usage de substances psychoactives chez l’enfant
et l’adolescent s’inscrivent le plus souvent dans un pattern comportemental
général en relation avec le processus de socialisation et incluant divers comportements
à problème. Enfin, l’introduction d’une notion de durée pose aussi
problème.
A`
partir de quel moment, par exemple, doit-on considérer les conduites
d’intoxication massive et intermittente, entrecoupées d’intervalles libres, fréquemments
rencontrées chez l’adolescent, comme témoignant d’un abus ou
d’une dépendance ? Chez l’enfant et l’adolescent, les conduites d’usage de
substances psychoactives, comme en général les attitudes et les comportements
observés à cet âge de la vie apparaissent extrêmement fluctuants et
mobiles. Toutes ces données montrent bien les difficultés et les risques d’un
repérage diagnostique fondé sur une nosographie fixée et délimitée en fonction
de la pathologie de l’adulte. Pour beaucoup d’auteurs, ces classifications
auraient l’inconvénient non négligeable de ne permettre qu’un diagnostic
tardif, au moment où les troubles constatés sont comparables à ceux observés
chez l’adulte (Bailey, 1989 ; Bailly et Parquet, 1992 ; Bailly, 1997a, 1997b ;
Kaminer, 1994).

[...]

Une étude prospective (Kouri et coll., 2000) a été menée chez des consommateurs
de cannabis de sexe masculin et d’âge moyen 40 ans, ne présentant pas
de trouble psychiatrique selon l’axe I du DSM-IV, et dont l’abstinence est
contrôlée par dosage urinaire. Parallèlement, l’étude comportait des témoins
anciens usagers et des témoins non usagers. Les résultats montrent que les
consommateurs font l’expérience d’un certain nombre de symptômes de sevrage
durant la phase d’abstinence : augmentation de l’anxiété, irritabilité,
trouble de l’humeur, tension physique et une diminution de l’appétit. Ces
effets sont plus prononcés durant les 10 premiers jours, mais certains se prolongent
durant les 28 jours d’abstinence. Cette étude présente l’intérêt d’être
menée chez des personnes qui ont poursuivi leurs activités quotidiennes. Pour
Cannabis − Quels effets sur le comportement et la santé ?

les consommateurs réguliers, l’irritabilité et la tension physique restent significativement
élevées durant toute la phase d’abstinence et ne reviennent pas,
à l’inverse des autres mesures, à un niveau de base avant sevrage. Il est possible
que ces deux symptômes soient préexistants, révélés par l’abstinence, et ne
soient donc pas dus au syndrome de sevrage. Parmi les participants, 60 %
présentent un syndrome de sevrage attesté par une augmentation jugée significative
(d’au moins 3 points par rapport à la normale) de différents symptômes.
En revanche, il n’est pas observé d’augmentation du craving (appétance)
au cannabis durant la période d’abstinence, suggérant que la dépendance
physique au cannabis n’est pas aussi forte que celle observée pour les autres
substances psychoactives. Le syndrome observé n’est pas assez sévère pour
perturber la vie quotidienne et modifier la capacité à rester abstinent durant
l’expérience. Cependant, un certain nombre de participants signalent que ces
symptômes ont joué un rôle important dans leur rechute. Ainsi, ce soulagement
peut contribuer au maintien de la prise quotidienne chez les consommateurs
chroniques.

En conclusion, les prévalences d’abus et de dépendance au cannabis ont été
recherchées à travers la réalisation d’études épidémiologiques représentatives
de populations nationales. Les résultats des études analysées montrent des
prévalences de dépendance inférieures à 10 %. Les études sont cependant
difficiles à comparer entre elles étant donné les différences de populations et
d’âges étudiés. Les relations entre l’abus et la dépendance et les niveaux de
consommation n’ont pas toujours été explorées. Comparativement aux prévalences
de consommation, les prévalences d’abus et de dépendance au cannabis
apparaissent relativement faibles. Cependant, étant donné les taux élevés de
prévalence de consommation, cette petite proportion peut représenter un
nombre important de personnes. Le taux de dépendance semble plus élevé
chez les adolescents que chez les adultes. Même si elles ne permettent pas
d’établir une évidence définitive d’abus ou de dépendance, ces études transversales
servent à pointer les segments de population où les problèmes de
dépendance peuvent être trouvés.
[/color]
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drÖne
Juste l'ordre

Elektrokami

  • Miguou des Ténèbres
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pas si innocent que ça... « Réponse #18 le: mai 01, 2006, 01:06:33 am »
Citation de: "JeRe"
moi j'ia reussi a arreter de fumer grace a une methode exeptionnelle

L'HEROINE



Moi ça m'a permis de décrocher du sexe!!
C'est vraiment un produit miracle!!!

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zev

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ppffffffffff « Réponse #19 le: mai 01, 2006, 01:29:35 am »
pour ma part, ça s'est  fait avec le temps mais facilement. je n'y trouvais plus mon compte.

Fo sfaire des raisons...

     c 'est un gouffre financier... le déclic: mon portefeuille ne suivait plus l' accoutumance de doses de + en + fortes (pour ressentir les effets). Je me suis stabilisée dans ma consommation; pendant un certain temps je fumais sans être défoncée, donc je n'y ai plus vu d'intérêt. j'ai réduis. Là, les effets m'ont handicapée dans la vie courante:
    cela réduit certaines des capacités mentales:
     - mémoire/passoire de poisson rouge
     - relâche de l'attention, réflexes amoindris, introspection
une déconexion à la réalité et une perte de temps....

mais j'ai pu observé que les effets diffèrent selon les gens. pour certains c'est un stimulant (mental). les effets changent aussi avec le cours de la vie.

pour arrêter c'est une question de volonté, le manque est surtout psychologique et très peu physique, comparé aux opiacés ( pour s'en décrocher faut s'accrocher! > les opiacés injectés  empêchent ton cerveau de créer son endorphine quotidienne, le manque d'opiacés provoque des douleurs globalisées intenses spasmodiques,etc...t'es à fleur de peau... t'as la chiasse... et j'en passe!!.
la coke: Psychologiquement et physiquement le manque c'est nerveux tendu agressif...

et je ne partirai pas sur les psychotropes et délirotropes (ces derniers peuvent réveiller ta mémoire génétique!!)....

enfin bref fau pas tout mettre dans le meme sac, il faut faire une dissociation drogue dur / drogue douce. Notre cher ministre de l'intérieur monsieur petit lapin qui pisse derrière la tente m'approuverais, si lui même avait pu évalué la différence d'intensité des manques. Certains toxicologues ont même été jusqu'à expérimenté l'addiction  pour mieux traîter les patients en fonction de leur dépendance (ex: le fondateur de l'hôpital Marmottan).

Je reste sceptique face à ton estimation, sans doute le résultat d'une étude fortement orientée (l'état a de bonnes raisons de vouloir boucher le 2ème trou de la sécu). Cela ne nous avance pas dutout ...

merci Dröne pour tes "données épidémiologiques sur l'abus et le dépendances au canabis".

Et puis un ptit pétard de temps en temps ça n'a jamais fait de mal à personne!
RasssPou Team

cindy cenobyte

  • Velextrut sarcoma
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pas si innocent que ça... « Réponse #20 le: mai 01, 2006, 08:09:15 am »
drÖne :
Citer
Je trouve très léger pour quelqu'un qui se prétend infirmière


elle est infirmière, moi je suis Elisabeth Taylor et si tu veux bien faire Jules Caesar ce serait cool drÖne on tiendrait un bon début de peplum.
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riz

  • Velextrut sarcoma
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pas si innocent que ça... « Réponse #21 le: mai 01, 2006, 09:39:04 am »
Citer
a des temblements, des sueurs froides, de la tachycardie, des contractions musculaire, de la migraine,....


Le fait de fumer (j'ai fumé pendant 12 ans entre 1 et 3 grammes par jour) provoque ce genre de choses , je confirme , mais arrêter c'est facile et j'ai pas été obligé de m'enfermer dans ma piaule avec de la soupe aux champignons et des livres pornos en me tappant la tête contre les murs.
 Par contre j'observe un phénomène intéressant ,
je deviens accro à la télévision, je remplace un abrutissement par un autre, et comme kami je galère bcp plus pour stopper le tabac.

Après je dirais que la fume ne déclenche pas de mauvais délire mais elle les exacerbe. Pour ce qui est de la dépendance elle est purement psychologique.
Par contre c'est Prouvé c'est 7 fois plus cancèrigènes qu'une cloppe

Le débat sur le cannabis fait un peu pitié , d'un coté y'a les "maiiis non c'est super bon c'est bio , c rigolo " et de l'autre "tire une taffe et tu finiras à te faire des fixes dans l'oeil et écraser des bébés  en voiture" maudite moral judéo-raélienne !

DJ Cabine

  • Miguou des Ténèbres
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pas si innocent que ça... « Réponse #22 le: mai 01, 2006, 10:15:20 am »
Alors lieux communs, enfilage de perle, défonçage de portes ouvertes, amalgames et généralisées sont le lot commun des débats sur le cannabis…
alors je vais aussi rajouter ma couche.
Mais j’avoue que cette réaction doit venir de mon état dépressif matinal du à un excès d’accoutumance ou de sevrage lié à cette substance…

Mais élevons le débat :
Alors qu’est ce qui est mieux faire pousser en extérieur ou en intérieur ?
Est ce que faire écouter les albums de trio pendant la croissance de la plante augmente son taux de thc ?
Le cannabis rend il dépendant aux dealers et au parts mal servies ?
Et enfin le cannabis c’est bien ou c’est pas bien ?

Conclusion dans un service médical qui traite des problème d’addiction aux drogues 100% des gagnants on tentés leurs chances.
Delà en en déduire quoi que ce soit  dépassant le cas individuel me parait plus que risqué !

cindy cenobyte

  • Velextrut sarcoma
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pas si innocent que ça... « Réponse #23 le: mai 01, 2006, 10:18:25 am »
Citer
Delà en en déduire quoi que ce soit dépassant le cas individuel me parait plus que risqué !


t' as tout dit
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dröne

  • Miguou des Ténèbres
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pas si innocent que ça... « Réponse #24 le: mai 01, 2006, 10:41:48 am »
Citation de: "cindy cenobyte"
si tu veux bien faire Jules Caesar ce serait cool drÖne on tiendrait un bon début de peplum.


Aucun problème :

drÖne
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DJ Cabine

  • Miguou des Ténèbres
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pas si innocent que ça... « Réponse #25 le: mai 01, 2006, 11:01:53 am »
smiley5 Grandiose!

dröne

  • Miguou des Ténèbres
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pas si innocent que ça... « Réponse #26 le: mai 01, 2006, 11:10:04 am »
Citation de: "DJ Cabine"
smiley5 Grandiose!


Hé oui, tu vois où mène cette drrrrrrogue ultra dure qu'est la cannabis ? Entre deux spasmes, quand je ne prend pas de l'aldoperidol et qu'on m'a oté ma camisole de force, quand je n'ai pas tranché la gorge du pote à Sarah pour qu'elle puisse complaisemment le photographier et prolonger son fake de l'infirmerie se moquant de la charité, je me prends pour Cesar ou Napoléon :



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drÖne
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cindy cenobyte

  • Velextrut sarcoma
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pas si innocent que ça... « Réponse #27 le: mai 01, 2006, 11:30:57 am »
smiley5 vivement ton premier quinquennat en France, on va se régaler !
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bikinicolza

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pas si innocent que ça... « Réponse #28 le: mai 01, 2006, 11:34:24 am »
wé c'est dangereux le canna, quand j'en ai plus j'ai envie de foutre chirac en prison, faut faire gaffe

en tout cas je risque pas d'en crever, par contre quand j'ai plus de sous alors là ma vie est vraiment en danger, eau du robinet et pate au gruyere tous les jours, ça c'est pas bon pour la santé

alors je propose d'interdire l'argent qui provoque une dépendance physique et mentale intolérable !
au secours quelqu'un a déposé mon cul au registre du commerce

JeRe

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pas si innocent que ça... « Réponse #29 le: mai 01, 2006, 11:44:47 am »
moi je propose qu'on s'euthanasie une bonne fois pour toute
kill aime all

je prefere deplaire expres pluto  que naturellement !