Du beau cinema qu' on a vu

[cindy cenobyte]

à fond, et pas que les films de seconde zone, si tu veux survivre dans un film d' épouvante américain il ne faut ABSOLUMENT JAMAIS sous peine de mort et d' atroces mutilations :
1 - Embrasser ton conjoint avec ardeur voir plus si affinités.
2 - Ne jamais te promener en petite culotte devant une fenêtre.
3 - Ne jamais fumer de cannabis (le mieux serait que tu ignores tout simplement ce que c' est).
4 - Ne jamais boire d' alcool.
5 - Ne pas être noir.
6 - Ne pas être handicapé.
7 - Ne pas être gros.

(liste non exhaustive à compléter)

[sqaw lee]

(liste non exhaustive à compléter)

8 - avoir des gros seins ?

[cindy cenobyte]

tant qu' ils sont cachés ce n' est pas dangereux mais de toute façon toi il ne risque rien de t' arriver pour cette raison  

[sqaw lee]

bon c'est cool alors, ma survie est casiment assurée je répond à presque tous les critères  

[amnesie]

10. Pratiquer la double pénétration les nuits de pleine lune avec des communistes déguisés en vampire qui crachent sur une représentation du christ, tout en suçant un unijambiste revenu de la guerre d'Irak amputé des deux jambes qui est devenu pacifiste, filmée par une caméra d'origine japonaise.

edit, ah ben j'ai carrément sauté le 9....

[doppelganger]

11.Ne pas etre americain
12.Ne pas fourrez son nez dans la vieille crypte puante dont tout le monde a peur dans le village (derniere station essence avant 200 km) et que meme le vieil ivrogne borgne des marécages,  qui vit seul dans sa cabane avec son chien/serpillère Smurfy et sa mitrailleuse charlène, n'a jamais approché depuis qu'une bete hideuse rampante et hurlante lui a arraché l'oeil il y a de celà 50 ans un soir de pleine lune ou il osa s'aventurer à l'interieur de ce lieu de désolation...

[cindy cenobyte]

hehe ouaip, ne pas être américain est un trait de mauvais goût souvent puni par la peine capitale mais pour le deuxième je ne suis pas d' accord, et les héros qui sont allés dans la crypte et qui s' en sortent avec une couverture sur les épaules lorsque la police arrive ? C' est incroyable le nombre de fins de films US qui se terminent avec des gonzes hébétés debouts à côté d' une voiture de flic et enroulés dans une couverture grise.

[doppelganger]

ça c'est dans les goonies et autres aventures pop cornesque frissonantes pour pré pubères intersidéraux.

Mais c'est vrai que le coup de la couverture et des bagnoles de flics est une images trop récurrente dans les films us...(cf les armes fatales)
ça pourrait me filer la nausée n'empeche, il doit y avoir une close entre état et producteur sur la teneur garantie en force de l'ordre juste à l'avant générique du film ou plus simplement comment bacler son film en bonne et du forme en camouflant  le manque d'idée.
Les scientifiques cherchent toujours...

[sqaw lee]

on pourrait rajouter
13. ne pas être un jeune diplomé plein d'avenir et ne surtout pas avoir envie de fêter sa réussite avec les copains dans des lieux isolés...

ça c'est dans les goonies et autres aventures pop cornesque frissonantes pour pré pubères intersidéraux.

personne ! personne ne dit du mal des goonies !!!

[riz]

Haha le malheureux, dire du mal des goonies sur cannibal caniche ... , se rend il seulement bien compte des conséquences ?
On t'aimait bien doppleganger ... tu nous manquera  

[cindy cenobyte]

Haha le malheureux, dire du mal des goonies sur cannibal caniche ... , se rend il seulement bien compte des conséquences ?
On t'aimait bien doppleganger ... tu nous manquera  

Je crois qu' on avait statué sur le supplice du pale, plus 400 coups de pieds et cul nu dans le lac non ?
   

[doppelganger]

Ce n'était que des paroles virtuelles en l'air...
Mais je veux bien , allez, 200 coups de pied et cul nu dans le lac si
ça calme votre fureur...  

[mysh3l]

         




 

[riz]

J'ajoute un week end dans le désert de Gobi avec ludmila, obligation de se déplacer en roller et comme unique boisson du cocktail eau de mer

[meusha]

J'ai essayé juste pour voir sans grande conviction histoire de connaitre autre chose que Lars Von Trier niveau cinéma danois et là une bonne surprise visuelle et narative.

   Avec la trilogie Pusher, Nicolas Winding Refn devrait certainement convaincre ceux qui étaient restés rétifs face à son pourtant stimulant Inside Job. Sous la double influence de Cassavetes et Scorsese, le réalisateur danois musarde dans tous les registres pour imposer une maestria formelle et conter des récits sang-pour-sang noirs. Des éclats de bobine touchent comme un crève-coeur

miam
excellent pusher