pour revenir un peu au sujet, je me suis renseigné et a premiere vue le tatouage japonais se ferait appeler irezumi ou horimono.
Le tatouage japonais aurait la particularité d'inclure les parties non tatoués par necessité de laisser respirer les zones de peau (?!)
Il semblerait que la maniere traditionelle donc, à l'époque vers les 800 apres JC, etait effectuée de manière transversale avec un bout de bambou ou sont fixé de nombreuses aiguilles. La methode serait encore pratiqué par quelques grands maitres japonais mais la tradition, évidemment se perd. Cette methode demande plusieurs années de travail pour une piece moyenne.
Le mot tatouage viendrait du mot tahitien tatau qui n'est ni plus ni moins qu'une imitation du bruit que fait le marteau en plantant les aiguilles dans la peau. Les japonais se tatouaient pour que les esprits ne puissent pas penetrer le corps humain ou tout simplement pour les proteger (metiers dangereux, pompiers ect...) plus tard c'est devenu une marque pour les criminels comme on l'a dit précedemment.
Le grand maitre du tatoo Japonien qu'est Horitishi et qui travaille de manière traditionnelle a dit : Beaucoup, environ 80%. arrêtent avant la fin du tatouage. Il faut beaucoup de caractère pour endurer la douleur jusqu'à la fin. Après quelques séances, je sais si le client sera assez fort pour rester jusqu'à la fin.
c'est dire si c'est pas la joie
Il y a de nombreux thèmes qui reviennent, j'ai trouvé leur signification sur google je vous copie colle ca :
Le Dragon représente indubitablement pour l'occident la bête mythologique la plus célèbre du bestiaire japonais. Symbole de richesse, et tient sa force de toutes les autres créatures : c'est un serpent à cornes de cerf, écailles de carpe, serres d'aigle, nez de cheval, avec moustaches et favoris qui accompagnent les flammes de ses épaules et de ses hanches. Sa nature d'amphibie, on considère qu'il protège du feu. C'est pourquoi les pompiers d'Edo en avaient fait leur mascotte !
La Koï, carpe, appartient aussi aux favoris ! On la représente souvent nageant à contre courant. Elle est peut-être le symbole le plus fort du courage. Une antique légende chinoise soutient qu'arrivée au plus haut de la cascade qu'elle remonte, elle se transforme en dragon ! L'autre trait, c'est qu'une fois prise, elle attend son destin, sans broncher, sur la planche à découper !
Enfin, il y a les divinités. Fudô, le gardien de l'enfer, le regard terrible, entouré de flammes, à la main une épée pour frapper ses ennemis et une corde pour les entraver. C'est le préféré des jeunes gens : c'est une force pour le bien, et il symbolise le code moral des Suikoden et des Yakusa. Un autre tatouage religieux est celui de la prière Nam Myoho Renge Kyo (Salut au Sutra du Lotus de la Bonne Loi). Il vient de la secte fanatique Nichiren du Bouddhisme fondée en 1253, dont les six millions de fidèles d'aujourd'hui sont toujours accrocs de chants et de tambours. Leur croyance est qu'une simple répétition de cette simple prière leur assurera la renaissance dans le Nirvana et le Grand Rien
Fudo :
horitoshi au travail :
Koï en formation :