Cluzet est très bon, par contre c' est vraiment pas de chance ce premier role féminin. L' actrice s' est échappée d' une pub Volvic et s' est retrouvée sur le plateau d' à coté ou on tournait le film non ?
je rebondis car je viens de voir qu'elle a eu le César du Meilleur jeune espoir féminin pour ce role
j'ai pensé comme toi, qu'est-ce-qu'elle vient faire ici, la bimbo. Cluzet éclabousse de sa classe le film; comme dans à l'origine.
Non mais elle est pas si mauvaise, mais oui, ce coté bimbo casting, ces films avec des gens qui ont tous des gueules de pub de magazine ça me donne envie de dire du mal. D' ailleurs t' as vu, elle a commencé dans la pub !
CHE LES RENIFLE A TES KILOMETRRRRRRES
Sérieusement c' est un vrai problème ces castings à la con où les acteurs pour un film sont recrutés comme s' il s' agissait de réaliser une pub pour L' oréal. C' est pour ça que les acteurs français n' ont plus de tronche je trouve, imaginez un mec aujourd' hui qui se pointe à un casting avec la guanache de Victor Lanoux, on le met tout de suite à la porte en lui conseillant de devenir garagiste. "Monsieur vous n' avez pas une tete d' acteur, les acteurs n' ont pas cette tete là".
regardé hier aussi Black Death (un film qui traite de la peste dans un cadre médiéval je ne pouvais que foncer dessus)
Je ne te connaissais pas cette tendance black-doom !
Faut que je prépare une liste "films médiévaux où les gens claquent comme des mouches", en fait je crois pas en avoir vu beaucoup de réussis dans le genre ... C' est presque aussi dur à faire qu' un film d' heroic fantasy.
6:49
You must go back to Dunwich
référence à H.P Lovecraft.
& Ivo est une référence à Klaus Kinski dans Aguirre.Non?...
C' est clair pour Lovecraft, comme tu dis ya une grosse référence rien que dans le nom du village, aussi le coté bisounours du bled qui cache un terrible secret.
Et pour Kinski j' ai pensé la meme chose, on dirait son frangin !
Sinon je me suis fait
Kiru (Tuer) de
Kenji Misumi - 1962
Shingo est un homme marqué par le sceau du destin : bébé, sa mère fut assassinée et il fut confié à un homme de confiance qui l’éleva comme son fils. Devenu homme, vivant heureux avec les siens, il est victime de ses talents au sabre qui suscitent bien des jalousies et délient les langues. Son père adoptif et sa sœur sont tués par un vassal du seigneur jaloux du nouveau prestige de Shingo. Il ère alors sans véritable but, jusqu’à ce qu’il rencontre un haut fonctionnaire du Shogunat, auquel il sert de garde du corps. Mais en cette période de fin de cycle, la transition est difficile, et sa fidélité au Shogun a pour prix sa vie…
C' est le premier volet de la trilogie du sabre de Misumi, trois films décrivant la sombre condition du samourai, enfermé dans des codes et une obéissance totale à son seigneur.
Misumi est aussi connu pour avoir réalisé certains épisodes de la série de films Zatoichi et pour la série des Baby cart.
Une fois de plus on est devant un film à l' image superbe et au scénario subtile. Quant à Raizo Ichikawa (l' acteur principal), il est comme d' habitude impérial.