Cela se passe au Magasin 4 à 20h00.
Avec en prime Dj Klectik & Bobsleigh.
L'entrée est à 6 €.
En espérant vous zi voir nombreuxes !
N'hésitez-pas à diffuser l'info autour de vous !
Magasin 4 : Rue du Magasin, n°4, 1000 Bruxelles.
www.magasin4.bewww.dragibus.orgwww.arolde.comhttp://www.electrobel.be/artist/3715www.bloghotel.org/laurentiawww.siscalocca.orgMerci.
A Bientôt.
MéLODiK PiNPON
Dragibus (F)
www.dragibus.orgFin 95, Franq de Quengo et Lore Bargès se rencontrent et décident de créer un groupe de musique " pour enfants " afin de proposer une alternative aux musiques déjà existantes dans ce domaine. DRAGIBUS est né. Rapidement le duo réalise quelques concerts pour le jeune public .
En 1996 DRAGIBUS enregistre son premier album intitulé "BARBAPOUX" produit par le label SARAVAH ( Pierre Barouh ).
Ce premier disque, adressé aussi bien aux enfants qu'aux adultes est composé de 48 comptines et autres miniatures sonores . L'accent est mis sur le minimalisme, l'instrumentation pouvant se réduire par moment à un seul son. " Barbapoux " est un véritable hommage aux innombrables disques 33T destinés aux enfants sortis dans les années 60/70 regroupant tout un tas de minuscules morceaux et que DRAGIBUS collectionne méticuleusement depuis de nombreuses années.
S'en suivent les albums "Papriko", "live in Japan", "extra-musica", "Lollipop" et enfin "Tutti Frutti" sorti récement.
Depuis quelques années, le duo parisien est un peu la fontaine de jouvence des musiques hors normes et sans frontières. Sans frontières en effet puisque DRAGIBUS s'est produit en France comme au Japon, dans des salles de concerts comme dans les squatts les plus pittoresques, jusque dans les milieux scolaires et dans les crèches ! Sans âge également est la musique de DRAGIBUS puisqu'elle revisite les comptines et les berceuses de plusieurs coins de la planète, notamment la France, la Hongrie, le Japon, l'Angleterre ou le Brésil_ DRAGIBUS est passé à la télé, à la radio, a participé à plusieurs compilations et réalisé de plus des 45 tours en collaboration avec d'autres groupes tels les Japonais de HARPY, TOKI-MEKI SCIENCE, etc. Le cloisonnement, connaît pas ! DRAGIBUS est partout, et leur répertoire est dans toutes les mémoires, planqué quelque part dans un tiroir de l'inconscient collectif. Et même si l'on ne se souvient pas de La Ronde des escargots ou de Une souris verte, il n'est jamais trop tard pour parfaire son éducation et retrouver ainsi l'enfant cloîtré en nous, et que bon nombre d'émissions ou de jeux dits enfantins ont paradoxalement tendance à transformer le plus vite possible en ado débile et en adulte déglingué. DRAGIBUS convie donc à un retour aux sources musicales de l'enfance, tout en appliquant une démarche moderniste. Pour tout matériel, la voix délicieusement nymphette de Lore et le mini-orchestre de Franq, comprenant une " first " batterie, des percussions bariolées, des jouets musicaux et divers OSNI (objets sonores non identifiés).
Arolde (B)
http://www.arolde.comArolde, c'est une chanteuse pas comme les autres, armée d'une boîte à musique électronique pour tout instrument, et qui parvient à remplir l'espace et retourner nos cours par sa simple présence.
Travaillée longtemps par des angoisses et quelques grosses vagues de déprime, qui donnèrent lieu à de grands moments des Brochettes (ré-écoutez, sans modération, l'incroyable, l'émouvant, le drôle Le jour de mon anniversaire sur l'album Disco Novo du groupe défunt de la chanteuse, et qui reste un groupe-culte dans l'esprit de pas mal de gens), Arolde a décidé de les combattre par le ridicule qui, on le sait assez peu, tue vraiment.
Et vlan pour les gens bien pensants, et pan pour les choses trop bien établies. Arolde chante l'amour à sa manière (un jour on s'aimera _la merde), dit des horreurs avec une voix ravissante et joyeuse, nous enjoint à la révolte dans la bonne humeur, nous fait réfléchir par le sarcasme. Mais attention, ici, pas de chants engagés pesants : le discours est emballé dans la coque ultra-minimaliste d'un séquenceur dont Arolde tire des mélodies trop évidentes pour être commerciales (allez comprendre).
De ce mélange entre une musique et une voix très « jouette», et des textes jouant tantôt sur les frustrations enfouies, tantôt sur le renversement de ce monde trop policé, naît un mélange assez surréaliste, d'où on balance sans cesse entre bonne humeur et envie de danser, petite pause de réflexion, et parfois une légère vague de mal à l'aise qu'Arolde nous montre pour mieux l'envoyer bouler.
Arolde comme remède à la morosité, c'est sûr. D'autant plus avec son dernier spectacle, où elle présente un visuel d'ombres chinoises sur ses chansons, qui titillent l'imaginaire des spectateurs, apportent un discours décalé sur les chansons et, last but not least, nous font retomber en enfance l'histoire de quelques chansons. Trop complexe pour être résumé en quelques lignes, mais en même temps d'une évidence fulgurante une fois qu'on l'a vu sur scène, l'art d'Arolde mérite qu'on le diffuse, qu'on le répercute, qu'on le partage.
Ah oui : Arolde, le nom, c'est un hommage à peine déguisé au film Harold et Maud, d'Hal Ashby. La référence est loin d'être innocente.
Mélodik Pinpon (B)
http://www.electrobel.be/artist/3715MéLODiK PiNPON est le maître incontesté de ce que l'on appelle "la Baclette".
Il nous parle avec légèreté... mais pas tout le temps.
Activiste de la scène électro-clash franco-klaxone, il est plus que jamais déterminé à être indéterminé, il est gentil, un peu déjanté voir parfois trash... Il est fort contradictoire, tout naif, bête et méchant, des fois salace, truculent, presque digitateur, subversif, débordant d'immaturité mais il reste intègre et il a su crier "fuck" à ceux qui encouragent le soin et la présentation et non le message et l'intégrité...
MéLODiK PiNPON, c'est simple, c'est un actionniste-situationiste-dadaïste-culoté-incisif-nonchalent qui traite des thèmes de la vie avec ou sans vulgarités, en réponse à un monde où l'on nous dicte nos pensées. Il est le résultat à long terme de la solitude dans nos grandes villes, terriblement chouette et frais, tranchant tel un couteau aztèque... !
MéLODiK PiNPON a sorti plusieurs albums sur le bon label bruxellois c.p.a.s. industries et a aussi participé à diverses compilations sur cd tel que "je m'en fish", "11 independent elektronik guys", "flesh music magazine", et en vinyle sur Boom Crash Records.
MéLODiK PiNPON a donné plus d'une cinquantaine de concerts.
Il a deja joué 5 fois au Magasin 4 (la frime quoi), au Dexia Art Center, à des Digital Monsters, au Structure Béton, à Recyclart, au Alzeimer Bar, au Shortcircus, au Freax Show, au Kultuur Kafé, au Vortex, au Super Youpy Party, au Dali's Bar, au Café Dada, aux péniches, dans des caves, au Finka Fiesta à Overijse, au Charbon Mazout à Charleroi, au Kermes Moderne à Ath, au Bear Rock Festival à Andennes, au Détour à Lille, à Alternation à Paris, à Anvers, etc... et à diverses soirées ou afters underground, squats, maisons de repos...
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moi c'est les lyrics que j'trouve éfficaces 
ce petit air "branleur qui s'exprime"...par contre, c'est plutot la musique que j'trouve quelque peu infantile et que on dirait que c'est fait par un collegien qui écoute Sigue Sigue Sputnik 
en realité, j'ai voulu en faire mon grand secret un peu comme pour flater mon égo de merde, mais mon secret n'a pas fait long feu non-didjeu...A875 c'est MP en 8bit...comme si on était deux (je sui un peu skizo) 
...
toutes ces emoticones sont formidables. :dryshit: 
mé non ze n'est pas puyopuyo...c'est MéLODiK PiNPON.
c'est devenu dure hein pour trouver...
