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Ovnis / Bande originale du court métrage "Sublimation"
« le: avril 15, 2008, 21:39:58 pm »
Letal Ataraxia et Mind Necrosis Factor ont travaillé sur la bande originale du court métrage "Sublimation" (Romain Donnot et Pawel Skotarski) lauréat "Envie d'agir" 2007.
Synopsis:
"Un ouvrier rêvant de sa mère se réveille en sursaut. Il se retrouve à son travail qui consiste à manipuler un étrange liquide noir. Par mégarde, il s'en recouvre les mains et prend panique. Il s'enfuit alors chez lui pour se laver de l'emprise de l'usine, mais quelque chose le poursuit..."
Interview de Romain Donnot
Le story board et les premières images
Synopsis:
"Un ouvrier rêvant de sa mère se réveille en sursaut. Il se retrouve à son travail qui consiste à manipuler un étrange liquide noir. Par mégarde, il s'en recouvre les mains et prend panique. Il s'enfuit alors chez lui pour se laver de l'emprise de l'usine, mais quelque chose le poursuit..."
Interview de Romain Donnot
Le story board et les premières images
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Chouilles / Coup dur pour TF1 : les syndicats s'invitent à la star'ac
« le: février 20, 2008, 22:35:03 pm »
La société Glem, filiale de TF1 vient d'être condamnée : les couples de l'Ile de la tentation doivent être considérés comme des salariés. La suite, prévisible, sera le cauchemar du DRH maison.
La cour d'appel de Paris a rendu mardi dernier un arrêt condamnant la société Glem, filiale à 100% de TF1 et productrice, entre autres, d'émissions de téléréalité, pour «travail dissimulé». Selon les juges, les couples qui ont participé à l'Ile de la tentation 2 n'étaient pas des candidats à un jeu télévisé, mais des employés. Glem est donc dans l'obligation de leur verser un salaire, ainsi que des dizaines d'heures sup' puisque les couples de l'Ile vivaient sous l'oeil des caméras 24 heures sur 24. Bref, pour Glem l'addition passe mal. Mais que ses dirigeants se rassurent : ce n'est rien à côté de ce qui attend maintenant les producteurs de téléréalité.
Car si les candidats sont considérés comme des salariés, ils vont s'ajouter aux employés de l'équipe technique (qui sont assez nombreux sur ce genre de tournage). Et avec un peu de chance, tout ce petit monde dépassera la cinquantaine d'individus. Ce qui signifie que les producteurs devront organiser des élections de représentants du personnel et créer un comité d'entreprise ! De quoi révolutionner la téléréalité…
Cinq gourgandin(e)s par candidat, le minimum syndical
A Koh Lantah, par exemple, au lieu de s'affronter bêtement entre équipes jaunes et bleues sans aucune raison, les candidats seront séparés entre liste Sud et liste CFE-CGC. Objectif : gagner le siège de secrétaire du comité d'entreprise. Dans le même registre, la «réunification» - vers la fin du jeu, jaunes et bleus cessent de s'affronter pour fusionner en une seule et même équipe - serait rebaptisée «intersyndicale». Une fois élus, les membres du CE, lassés de manger du riz trop cuit et des larves de guêpe, s'empresseront de réclamer des tickets restaurant.
Sur l'Ile de la tentation, le CHSCT (comité hygiène, sécurité et conditions de travail) imposera qu'on forme les candidats à la sécurité incendie avant d'organiser les fameux feux de camp au cours desquels les participants visionnent les images de leur moitié en train de s'envoyer en l'air avec un(e) gourgandin(e). La NAO (négociation annuelle obligatoire entre les syndicats et la direction) portera bien évidemment sur l'augmentation du nombre de gourgandin(e)s mis à la disposition des candidats à l'infidélité («Pour faire du bon travail, il nous faut au moins cinq filles/mecs par personne. En dessous, on ne garantit pas la qualité»). Lassée la direction finira par délocaliser en Chine l'émission, qui sera rebaptisée «L'usine textile de la tentation» : au lieu de se la couler douce au bord de la piscine, les participants occuperont leurs journées à la fabrication de pantalons.
Un enfer pour Nikos Aliagas
A la Star Ac', le téléspectateur participera directement aux élections des représentants du personnel et des membres du CE : «Pour Tatiana, tête de liste CGT, tapez 1. Pour Marc, tête de liste CFDT, tapez 2». Quant aux live du prime, ils seront organisés en fonction de l'emploi du temps des candidats, chamboulé par l'application des 35 heures. Un enfer pour le présentateur Nikos Aliagas : « Ce soir, Kevin devait chanter en duo avec Johnny Hallyday, mais comme il est en RTT il sera remplacé par Elodie… Ah non, on m'informe dans mon oreillette qu'Elodie a pris une récup'. Donc c'est Alexia Laroche-Joubert qui s'y colle». Pour se venger, la direction risque d'interdire aux participants de recevoir des coups de fil personnels sur leur lieu de travail. Adieu les pleurs au téléphone avec môman !
Dans Secret story, la « taupe » (dans l'émission, l'un des participants a pour secret d'être un espion de la production) se prétendra déléguée syndicale Sud alors qu'en fait elle sera employée à la DRH de TF1. A la Ferme célébrités, les « œuvres sociales et culturelles » du Comité d'entreprise financeront l'achat d'un cerveau pour chacun des participants. L'argent restant sera consacré à l'organisation d'un arbre de noël pour les enfants des salariés. Au buffet, Jordy forcera un peu trop sur le champagne, et finira la soirée en beuglant «Dur, dur d'être imbibé».
Mais on rêve, on rêve, alors que le plus simple serait peut-être de planter directement des caméras dans une vraie entreprise, avec de vrais salariés, une vraie machine à café, des chefs, des subalternes, des stagiaires, un patron… Ça, coco, ça marcherait du tonnerre. Encore mieux que le Loft.
Bénédicte Charles
http://www.marianne2.fr/Coup-dur-pour-TF1-les-syndicats-s-invitent-a-la-star-ac_a83900.html
La cour d'appel de Paris a rendu mardi dernier un arrêt condamnant la société Glem, filiale à 100% de TF1 et productrice, entre autres, d'émissions de téléréalité, pour «travail dissimulé». Selon les juges, les couples qui ont participé à l'Ile de la tentation 2 n'étaient pas des candidats à un jeu télévisé, mais des employés. Glem est donc dans l'obligation de leur verser un salaire, ainsi que des dizaines d'heures sup' puisque les couples de l'Ile vivaient sous l'oeil des caméras 24 heures sur 24. Bref, pour Glem l'addition passe mal. Mais que ses dirigeants se rassurent : ce n'est rien à côté de ce qui attend maintenant les producteurs de téléréalité.
Car si les candidats sont considérés comme des salariés, ils vont s'ajouter aux employés de l'équipe technique (qui sont assez nombreux sur ce genre de tournage). Et avec un peu de chance, tout ce petit monde dépassera la cinquantaine d'individus. Ce qui signifie que les producteurs devront organiser des élections de représentants du personnel et créer un comité d'entreprise ! De quoi révolutionner la téléréalité…
Cinq gourgandin(e)s par candidat, le minimum syndical
A Koh Lantah, par exemple, au lieu de s'affronter bêtement entre équipes jaunes et bleues sans aucune raison, les candidats seront séparés entre liste Sud et liste CFE-CGC. Objectif : gagner le siège de secrétaire du comité d'entreprise. Dans le même registre, la «réunification» - vers la fin du jeu, jaunes et bleus cessent de s'affronter pour fusionner en une seule et même équipe - serait rebaptisée «intersyndicale». Une fois élus, les membres du CE, lassés de manger du riz trop cuit et des larves de guêpe, s'empresseront de réclamer des tickets restaurant.
Sur l'Ile de la tentation, le CHSCT (comité hygiène, sécurité et conditions de travail) imposera qu'on forme les candidats à la sécurité incendie avant d'organiser les fameux feux de camp au cours desquels les participants visionnent les images de leur moitié en train de s'envoyer en l'air avec un(e) gourgandin(e). La NAO (négociation annuelle obligatoire entre les syndicats et la direction) portera bien évidemment sur l'augmentation du nombre de gourgandin(e)s mis à la disposition des candidats à l'infidélité («Pour faire du bon travail, il nous faut au moins cinq filles/mecs par personne. En dessous, on ne garantit pas la qualité»). Lassée la direction finira par délocaliser en Chine l'émission, qui sera rebaptisée «L'usine textile de la tentation» : au lieu de se la couler douce au bord de la piscine, les participants occuperont leurs journées à la fabrication de pantalons.
Un enfer pour Nikos Aliagas
A la Star Ac', le téléspectateur participera directement aux élections des représentants du personnel et des membres du CE : «Pour Tatiana, tête de liste CGT, tapez 1. Pour Marc, tête de liste CFDT, tapez 2». Quant aux live du prime, ils seront organisés en fonction de l'emploi du temps des candidats, chamboulé par l'application des 35 heures. Un enfer pour le présentateur Nikos Aliagas : « Ce soir, Kevin devait chanter en duo avec Johnny Hallyday, mais comme il est en RTT il sera remplacé par Elodie… Ah non, on m'informe dans mon oreillette qu'Elodie a pris une récup'. Donc c'est Alexia Laroche-Joubert qui s'y colle». Pour se venger, la direction risque d'interdire aux participants de recevoir des coups de fil personnels sur leur lieu de travail. Adieu les pleurs au téléphone avec môman !
Dans Secret story, la « taupe » (dans l'émission, l'un des participants a pour secret d'être un espion de la production) se prétendra déléguée syndicale Sud alors qu'en fait elle sera employée à la DRH de TF1. A la Ferme célébrités, les « œuvres sociales et culturelles » du Comité d'entreprise financeront l'achat d'un cerveau pour chacun des participants. L'argent restant sera consacré à l'organisation d'un arbre de noël pour les enfants des salariés. Au buffet, Jordy forcera un peu trop sur le champagne, et finira la soirée en beuglant «Dur, dur d'être imbibé».
Mais on rêve, on rêve, alors que le plus simple serait peut-être de planter directement des caméras dans une vraie entreprise, avec de vrais salariés, une vraie machine à café, des chefs, des subalternes, des stagiaires, un patron… Ça, coco, ça marcherait du tonnerre. Encore mieux que le Loft.
Bénédicte Charles
http://www.marianne2.fr/Coup-dur-pour-TF1-les-syndicats-s-invitent-a-la-star-ac_a83900.html
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Chouilles / Parti de la décroissance à Paris VIIème
« le: février 18, 2008, 21:41:13 pm »
La Décroissance, un pari pour l'avenir: Travailler moins pour vivre mieux !
Liste du Parti Pour La Décroissance dans le VIIème arrondissement de Paris
Le samedi 26 janvier 2008 a eu lieu à Paris la troisième assemblée générale du Parti Pour La Décroissance (PPLD). Ce jeune parti se lance aujourd'hui dans les élections municipales, en présentant, en particulier, une liste à Paris dans le VIIème arrondissement. Nous choisissons volontairement cet arrondissement, non seulement pour faire un bon résultat (même si, aux législatives comme aux municipales, la droite obtient en général entre 70 et 80 % des voix dans cet arrondissement), mais surtout pour ce qu'il représente. En effet, le VIIème arrondissement fait partie de ce que l'on appelle les beaux « quartiers » de la ville, il est l'un des plus aisés. On y trouve beaucoup de ministères, l'Assemblée nationale, le siège de l'UNESCO et aussi Science Po. Ainsi à travers notre campagne, nous relevons le défi d'y ouvrir le débat de la décroissance.
La décroissance, qui a pour but de faire réfléchir sur notre société de croissance, s'immisce de plus en plus dans les débats de société. Les Français s'y intéressent vraiment, par exemple à travers le mensuel La Décroissance (tiré à plus de 30 000 exemplaires), le succès du numéro de la première semaine de janvier de Courrier International consacré à ce thème ou encore dans le Monde Diplomatique, Le Monde, Libération, Politis, etc.
De nombreuse personnes rejettent la société dans laquelle nous vivons, société ni soutenable (86% des richesses consommées par 20% de la population mondiale) ni souhaitable (problèmes environnementaux, énergétiques et sociaux). Elles sont conscientes des défis qui nous attendent (récession économique, changement climatique, crise de l'énergie et des matières premières, lutte contre la pollution, problèmes sociaux et inégalités croissantes) mais ne trouvent que peu de réponses à leurs interrogations dans les partis traditionnels.
Le Parti Pour La Décroissance propose quant à lui une véritable révolution culturelle (sortir du mythe de la croissance économique, du productivisme et du consumérisme) avec un projet de société soutenable (prenant en compte les contraintes environnementales) et souhaitable (prenant en compte les dimensions humaines et sociales).
Notre programme se résume au cercle vertueux des 8R :
* Réévaluer, Reconceptualiser, Restructurer : décoloniser notre imaginaire abreuvé de publicités et de télévision pour revenir à des valeurs humaines simples. Sortir du culte du travail et du matérialisme pour développer la culture, la connaissance, le social, l'humain. Pour résumer : défendre la joie de vivre plutôt que la croissance économique.
*Redistribuer : revenir à une empreinte écologique soutenable (il faudra 3 planètes pour supporter notre consommation actuelle), condition nécessaire à une diminution des inégalités monstrueuses de ce monde.
*Relocaliser : en finir avec cette folie des transports de marchandises et de personnes en relocalisant la vie et en rapprochant les lieux de production, de consommation, d'habitation et de vie.
*Réduire, Réutiliser et Recycler : mettre à profit l'intelligence humaine et tous les savoir-faire que nous avons développés au profit de la qualité de nos consommations plutôt que la quantité. Il s'agit là d'une remise en question complète de nos productions : construire solide, de qualité et surtout durable avec prise en compte des questions sociales, humaines et environnementales.
Pour une décroissance au service des valeurs humanistes, démocratiques et républicaines.
Site Internet : http://partipourladecroissance.net
Signez et faîtes signer le "Manifeste pour la décroissance" : http://manifeste.ppld.fr
En conclusion:
« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. »
Kenneth Boulding (1910-1993), économiste.
Liste du Parti Pour La Décroissance dans le VIIème arrondissement de Paris
Le samedi 26 janvier 2008 a eu lieu à Paris la troisième assemblée générale du Parti Pour La Décroissance (PPLD). Ce jeune parti se lance aujourd'hui dans les élections municipales, en présentant, en particulier, une liste à Paris dans le VIIème arrondissement. Nous choisissons volontairement cet arrondissement, non seulement pour faire un bon résultat (même si, aux législatives comme aux municipales, la droite obtient en général entre 70 et 80 % des voix dans cet arrondissement), mais surtout pour ce qu'il représente. En effet, le VIIème arrondissement fait partie de ce que l'on appelle les beaux « quartiers » de la ville, il est l'un des plus aisés. On y trouve beaucoup de ministères, l'Assemblée nationale, le siège de l'UNESCO et aussi Science Po. Ainsi à travers notre campagne, nous relevons le défi d'y ouvrir le débat de la décroissance.
La décroissance, qui a pour but de faire réfléchir sur notre société de croissance, s'immisce de plus en plus dans les débats de société. Les Français s'y intéressent vraiment, par exemple à travers le mensuel La Décroissance (tiré à plus de 30 000 exemplaires), le succès du numéro de la première semaine de janvier de Courrier International consacré à ce thème ou encore dans le Monde Diplomatique, Le Monde, Libération, Politis, etc.
De nombreuse personnes rejettent la société dans laquelle nous vivons, société ni soutenable (86% des richesses consommées par 20% de la population mondiale) ni souhaitable (problèmes environnementaux, énergétiques et sociaux). Elles sont conscientes des défis qui nous attendent (récession économique, changement climatique, crise de l'énergie et des matières premières, lutte contre la pollution, problèmes sociaux et inégalités croissantes) mais ne trouvent que peu de réponses à leurs interrogations dans les partis traditionnels.
Le Parti Pour La Décroissance propose quant à lui une véritable révolution culturelle (sortir du mythe de la croissance économique, du productivisme et du consumérisme) avec un projet de société soutenable (prenant en compte les contraintes environnementales) et souhaitable (prenant en compte les dimensions humaines et sociales).
Notre programme se résume au cercle vertueux des 8R :
* Réévaluer, Reconceptualiser, Restructurer : décoloniser notre imaginaire abreuvé de publicités et de télévision pour revenir à des valeurs humaines simples. Sortir du culte du travail et du matérialisme pour développer la culture, la connaissance, le social, l'humain. Pour résumer : défendre la joie de vivre plutôt que la croissance économique.
*Redistribuer : revenir à une empreinte écologique soutenable (il faudra 3 planètes pour supporter notre consommation actuelle), condition nécessaire à une diminution des inégalités monstrueuses de ce monde.
*Relocaliser : en finir avec cette folie des transports de marchandises et de personnes en relocalisant la vie et en rapprochant les lieux de production, de consommation, d'habitation et de vie.
*Réduire, Réutiliser et Recycler : mettre à profit l'intelligence humaine et tous les savoir-faire que nous avons développés au profit de la qualité de nos consommations plutôt que la quantité. Il s'agit là d'une remise en question complète de nos productions : construire solide, de qualité et surtout durable avec prise en compte des questions sociales, humaines et environnementales.
Pour une décroissance au service des valeurs humanistes, démocratiques et républicaines.
Site Internet : http://partipourladecroissance.net
Signez et faîtes signer le "Manifeste pour la décroissance" : http://manifeste.ppld.fr
En conclusion:
« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. »
Kenneth Boulding (1910-1993), économiste.
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Chouilles / Tecktonik © TF1
« le: février 10, 2008, 20:08:47 pm »
"On est très vite tenté de réduire cette mode à une opération commerciale de grande envergure visant à entretenir un système (capitaliste néolibéral) à l’agonie. En effet, en allant consulter la page consacrée à ce ‘style’ sur Wikipédia, on apprend des choses véritablement édifiantes. Son origine remonte à 2002, lorsque la discothèque française Metropolis (une des plus grosses et des plus chères de France) organise des soirées sur ce thème. Il s’agit alors d’une danse artificielle hybride entre le hardstyle et le jumpstyle. Elle suscite de nombreuses polémiques.
Par ailleurs, il s’agit d’une marque déposée par Cyril Blanc et Alexandre Barouzdin, il est impossible d’organiser des soirées employant le terme sans leur accord, contrairement aux autres mouvements ou danses. TF1-Entreprises (Filiale de TF1) est depuis décembre 2007 l’agent international de la marque Tecktonik."
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=35561
Par ailleurs, il s’agit d’une marque déposée par Cyril Blanc et Alexandre Barouzdin, il est impossible d’organiser des soirées employant le terme sans leur accord, contrairement aux autres mouvements ou danses. TF1-Entreprises (Filiale de TF1) est depuis décembre 2007 l’agent international de la marque Tecktonik."
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=35561
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Tous a poil et plus vite que ça / Open Source Warfare
« le: janvier 29, 2008, 18:58:22 pm »
Les analyses de John Robb, spécialiste du terrorisme et des nouvelles formes de guerre, et auteur du fascinant blog, Global Guerrillas, qui a développé le concept de “guerre open source”. “Les insurgés, expliquait-il dans un article écrit en 2005 pour le New York Times, utilisent une approche de la guerre inspirée des communautés open source (similaire au processus de développement décentralisé désormais dominant dans l’industrie logicielle), qui se révèle être extrêmement rapide et innovante. Des informations d’ordre technique ou tactique se répandent aisément d’un point de l’insurrection à un autre, aidées en cela par les systèmes relativement efficaces de transport et de communication irakiens - c’est prouvé par les progrès extrêmement rapides observés dans la fabrication des bombes artisanales. Cela implique que les cycles d’innovation des combattants irakiens sont plus rapides que ceux de la bureaucratie américaine (comme le montre par exemple la difficulté que nous éprouvons à fournir les équipements de protection nécessaires aux hommes et aux véhicules en Irak).”
Le blog en question en anglais:
http://globalguerrillas.typepad.com/
Le blog en question en anglais:
http://globalguerrillas.typepad.com/
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Chouilles / VENDREDI 08/02-MONDO BIZARRO-RENNES
« le: janvier 27, 2008, 20:18:16 pm »
MOSHPIT
(Montpellier/Hard-Core Tech'n'Chaos)
BIONIK DREAD
(Rennes/Break'n'Punk)
MKL
(Rennes/Break-Core, Peace Off)
Mr HONK
(Rennes/Le Klub des Krasheurs, Nawat Mix)
LETAL ATARAXIA
(Rennes/X-Pé Indus, Audiotrauma)
19H30 - 5 Euros
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Chouilles / Zeitgeist movie et Z-Day, le 15/03/08
« le: janvier 15, 2008, 11:29:24 am »
Alors kezako? Le Zeitgeist reflète une conception du monde prévalente à une période particulière de l'évolution socio-culturelle.
Il se différentie du Volksgeist, qui décrit l'âme d'une nation particulière. À l'opposé, le concept ultime de Weltgeist,
initialement défini par Hegel, tend à peindre l'esprit immuable de l'humanité, actif depuis le début de l'histoire humaine.
Le Weltgeist donne l'élan à la réalisation des esprits historiques de différentes nations (les Volksgeist).
Le film Zeitgeist? Il s’agit d’une déconstruction plus ou moins méthodique de trois grands mythes qui président au fonctionnement des Etats-Unis: la religion (“The Greatest Story Ever Told”), le 11 septembre (“All The World’s A Stage”) et ce que les auteurs appellent “the men behind the curtain” (ceux qui sont dans les coulisses, c-à-d ceux qui tirent les ficelles, “Don’t mind the men behind the curtain”).
C’est un film pour le moins révolutionnaire qui présente une vision absolutiste et manichéenne des Etats-Unis et du monde, en empruntant de nombreux raccourcis. Je le recommande cependant, ne serait-ce que pour interrompre un instant la frénésie de nos vies de fous, prendre quelque recul et s’interronger sur les questions pertinentes qu’il soulève. A chacun de se construire une réponse.
“Zeitgeist is a full-length, independently produced movie documentary, created as a not-for-profit expression to inspire people to start looking at the world from a more critical perspective and to understand that very often things are not what the population at large think they are.
[…]
That being said, it is the hope of the movie author(s) that you will not take what is said in this film as the truth, but that you will find out for yourself… for truth is not told, it is realized.”
http://www.zeitgeistmovie.com/
Et le Z-Day, le 15/03/08
http://www.zeitgeistmovie.com/zday.htm
Il se différentie du Volksgeist, qui décrit l'âme d'une nation particulière. À l'opposé, le concept ultime de Weltgeist,
initialement défini par Hegel, tend à peindre l'esprit immuable de l'humanité, actif depuis le début de l'histoire humaine.
Le Weltgeist donne l'élan à la réalisation des esprits historiques de différentes nations (les Volksgeist).
Le film Zeitgeist? Il s’agit d’une déconstruction plus ou moins méthodique de trois grands mythes qui président au fonctionnement des Etats-Unis: la religion (“The Greatest Story Ever Told”), le 11 septembre (“All The World’s A Stage”) et ce que les auteurs appellent “the men behind the curtain” (ceux qui sont dans les coulisses, c-à-d ceux qui tirent les ficelles, “Don’t mind the men behind the curtain”).
C’est un film pour le moins révolutionnaire qui présente une vision absolutiste et manichéenne des Etats-Unis et du monde, en empruntant de nombreux raccourcis. Je le recommande cependant, ne serait-ce que pour interrompre un instant la frénésie de nos vies de fous, prendre quelque recul et s’interronger sur les questions pertinentes qu’il soulève. A chacun de se construire une réponse.
“Zeitgeist is a full-length, independently produced movie documentary, created as a not-for-profit expression to inspire people to start looking at the world from a more critical perspective and to understand that very often things are not what the population at large think they are.
[…]
That being said, it is the hope of the movie author(s) that you will not take what is said in this film as the truth, but that you will find out for yourself… for truth is not told, it is realized.”
http://www.zeitgeistmovie.com/
Et le Z-Day, le 15/03/08
http://www.zeitgeistmovie.com/zday.htm
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Chouilles / Mise à mort des cafés concerts par la DRAC?
« le: janvier 13, 2008, 15:49:24 pm »
Mort annoncée de la musique vivante ! Au "Ceili" au "Poitin Stil" au "O'Patchwork"et au Café Cito à Kemper.
"Des bâtons dans les roues dans une ville ou on a inventé le "Bouton" et installé le premier "Rond point", y'a quelque chose qui ne tourne pas rond!
A Kemper, les bars organisateurs de concerts ont reçu récemment un courrier de la DRAC leur imposant d'être titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles, sous peine de 5 ans de fermeture et trente mille euros d'amende, s'ils ne s'y conforment pas. On sait que Kemper est une ville pilote en matière d'innovations, mais là on pense qu'il faudrait se bouger le cul avant que ça devienne une généralité, car on ne sait pas comment vont pouvoir continuer à se produire les musiciens si cette situation se propage.
Plusieurs bars quimpérois ont reçu récemment un courrier émanant de la Direction régionale des affaires culturelles (ministère de la culture). Inspiré manifestement par une dénonciation malveillante, ce courrier leur impose de se mettre en conformité avec une lois existante mais obsolète, c'est à dire, d'être titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles pour organiser des concerts (plus de 6 par an), ainsi qu'une mise en conformité des locaux (Ce qui implique dans certains cas de gros travaux d?agencements, évidemment très coûteux), sous peine d'une fermeture de cinq ans et une amende de plus de trente mille euros.
Cette injonction autoritaire et arbitraire est inacceptable, tant pour les gérants de bars, que pour les intermittents du spectacle, ainsi que pour les musiciens débutants, qui ont de plus en plus de difficultés à vivre de leur métier. Elle est aussi dommageable pour notre ville, ainsi que pour le public potentiel, si les concerts venaient à disparaître du paysage culturel.
Nous, consommateurs et Bretons mélomanes, attachés à notre culture et à sa libre expression, demandons l'ouverture d'une table ronde, réunissant les propriétaires des bars incriminés, ainsi que les élus, fonctionnaires locaux et représentants de la sacem, pour mettre un terme à ces tracasseries. Nous demandons en outre le transfert des moyens de la DRAC à la Région, ainsi qu'une révision de cette loi n'étant plus appropriée à l'actualité de 2007.
Les bars concernés sont ceux qui font vivre la ville culturellement, en dehors des grosses structures en place et souvent inaccessibles aux artistes cherchant à se faire connaître. Ces bars sont depuis des années une chance pour les débutants, ainsi que pour tous ces artistes qui sont en train de perdre leurs droits à l'intermittence du spectacle et se retrouvent au R.M.I. ou dans l'obligation de changer de profession.
Pour la survie des artistes, et de la culture en générale, SVP, faites passer cette revendication!
http://www.lapetition.com/sign1.cfm?numero=1438
Donc c'est un rappel à la loi, en effet toute structure qui n'est pas déclarée au guichet commun des artistes ou qui n'est pas titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles, a le droit d'organiser 6 évenements par an et pas un de plus...
Ce genre de lois sont assez méconnues mais existent et n'étaient pas appliquées strico sensus au bar et autres petits lieux de spectacles vivants, c'est en train de changer et ils mettent la pression sur ce genre de lieux, je connais d'autres exemples à Rennes...
Trainant un peu dans ce milieu et connaissant quelques intermitents, il ressort des disussions avec eux que le spectacle vivant à petit budget prend cher en ce moment, si tu n'as pas la structure et les bugets adaptés ça devient de plus en plus difficile de monter des petits évenements...
A croire qu'ils veulent que les gens restent devant la télé chez eux! Je ne peux donc qu'encourager tout le monde à faire tourner cette pétition et à en parler, sinon le paysage culturel français à portée non commercial va prendre cher...
"Des bâtons dans les roues dans une ville ou on a inventé le "Bouton" et installé le premier "Rond point", y'a quelque chose qui ne tourne pas rond!
A Kemper, les bars organisateurs de concerts ont reçu récemment un courrier de la DRAC leur imposant d'être titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles, sous peine de 5 ans de fermeture et trente mille euros d'amende, s'ils ne s'y conforment pas. On sait que Kemper est une ville pilote en matière d'innovations, mais là on pense qu'il faudrait se bouger le cul avant que ça devienne une généralité, car on ne sait pas comment vont pouvoir continuer à se produire les musiciens si cette situation se propage.
Plusieurs bars quimpérois ont reçu récemment un courrier émanant de la Direction régionale des affaires culturelles (ministère de la culture). Inspiré manifestement par une dénonciation malveillante, ce courrier leur impose de se mettre en conformité avec une lois existante mais obsolète, c'est à dire, d'être titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles pour organiser des concerts (plus de 6 par an), ainsi qu'une mise en conformité des locaux (Ce qui implique dans certains cas de gros travaux d?agencements, évidemment très coûteux), sous peine d'une fermeture de cinq ans et une amende de plus de trente mille euros.
Cette injonction autoritaire et arbitraire est inacceptable, tant pour les gérants de bars, que pour les intermittents du spectacle, ainsi que pour les musiciens débutants, qui ont de plus en plus de difficultés à vivre de leur métier. Elle est aussi dommageable pour notre ville, ainsi que pour le public potentiel, si les concerts venaient à disparaître du paysage culturel.
Nous, consommateurs et Bretons mélomanes, attachés à notre culture et à sa libre expression, demandons l'ouverture d'une table ronde, réunissant les propriétaires des bars incriminés, ainsi que les élus, fonctionnaires locaux et représentants de la sacem, pour mettre un terme à ces tracasseries. Nous demandons en outre le transfert des moyens de la DRAC à la Région, ainsi qu'une révision de cette loi n'étant plus appropriée à l'actualité de 2007.
Les bars concernés sont ceux qui font vivre la ville culturellement, en dehors des grosses structures en place et souvent inaccessibles aux artistes cherchant à se faire connaître. Ces bars sont depuis des années une chance pour les débutants, ainsi que pour tous ces artistes qui sont en train de perdre leurs droits à l'intermittence du spectacle et se retrouvent au R.M.I. ou dans l'obligation de changer de profession.
Pour la survie des artistes, et de la culture en générale, SVP, faites passer cette revendication!
http://www.lapetition.com/sign1.cfm?numero=1438
Donc c'est un rappel à la loi, en effet toute structure qui n'est pas déclarée au guichet commun des artistes ou qui n'est pas titulaires d'une licence d'entrepreneur de spectacles, a le droit d'organiser 6 évenements par an et pas un de plus...
Ce genre de lois sont assez méconnues mais existent et n'étaient pas appliquées strico sensus au bar et autres petits lieux de spectacles vivants, c'est en train de changer et ils mettent la pression sur ce genre de lieux, je connais d'autres exemples à Rennes...
Trainant un peu dans ce milieu et connaissant quelques intermitents, il ressort des disussions avec eux que le spectacle vivant à petit budget prend cher en ce moment, si tu n'as pas la structure et les bugets adaptés ça devient de plus en plus difficile de monter des petits évenements...
A croire qu'ils veulent que les gens restent devant la télé chez eux! Je ne peux donc qu'encourager tout le monde à faire tourner cette pétition et à en parler, sinon le paysage culturel français à portée non commercial va prendre cher...
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Les oreilles / letal ataraxia on "sous tes reins" by FAST BXL
« le: janvier 08, 2008, 20:18:35 pm »
l'archive ici:
http://fastbxl.net/sound/radio/letal_ataraxia-an_introduction_to_ghost_world-audiotrauma-2008.mp3
et en passant les autres sessions:
http://fastbxl.net/soustesreins.html
http://fastbxl.net/sound/radio/letal_ataraxia-an_introduction_to_ghost_world-audiotrauma-2008.mp3
et en passant les autres sessions:
http://fastbxl.net/soustesreins.html
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Chouilles / letal ataraxia and disrupt on "sous tes reins" by
« le: janvier 06, 2008, 14:49:14 pm »
letal ataraxia and Disrupt monday 07/01/08 21/23h GMT+1 on:
http://frequencyradio.org/ for "sous tes reins" by FAST BXL
About letal ataraxia:
One of the Founder members of collective / label audiotrauma, D-phaz firstly express in a sound catharsis called “mental agression” Created in 2001, this project was conceived as a reaction against the surrounding ideological mediocrity. This razor-sharp beats was produced in order to rip up that f’ing soft consensus governing the post-industrial society.
…OBSOLETE MUSIC FOR A FUTILE WORLD…
After clearing dancefloors with mental agression, here come a new project more introspective but likewise experimental: “letal ataraxia”
http://www.myspace.com/letalataraxia
About Disrupt:
disrupt ———– (Jan)
After a few years of experimenting around with the most different equipment and
styles (from Gabba over Digital Hardcore to Electronica) I finally came to love Dub
and Reggae with all my heart. Thanks to Christoph mostly. From the lack of money
and other possibilies came the idea of doing Dub myself with just the tool at hand
- a cheap laptop.
The first attempts on tracks in this veine were released in May 2004 on the highly
recommended PHONOCAKE netlabel as the ‘A Fistful Of Dub’-EP. This release turned
out to become a small surprise hit which gave enough motivation for us to pursue
the whole thing further on and eventually start our own JAHTARI label in Nov 2004.
Since then JAHTARI and the concept behind it virtually exploded in many ways. First
of all a supernice network of fellow musicians from all over the globe who produce
their music in a kind of similar approach started to develop and is rapidly
extending still. Lots of great and - in a way - even new stuff came from that.
Our bunch of releases in the funny NET-7″ format or on NET-EPs, of which I supplied
a few, found a huge number of people who to seem like our sound and approach
a lot. At least the crazy download numbers and the feedback we get hint to that. A
wave of gigs (pics and reports HERE) and even a surprising amount of media interest
followed. Let’s hope all this paves the way for some ‘real’ releases on vinyl soon.
Apart from producing a lot of music I’m running this site and already did a bunch
of our covers.
mail to: disrupt [at] jahtari.org
Flyer by : Dawamesk
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Chouilles / Sorti de Dallas:
« le: janvier 03, 2008, 00:32:46 am »
Dans la section on serait tenter de faire du "no comment", les puristes auront néanmoins remarqué les lunettes aviator si bien mise en valeur dans Top Gun, cet homme la est bien conseillé pas de doute.
Qu'on se rassure on va en avoir pour notre argent, la rupure c'est pas fait pour bricoler et avec la klasse comme si on sortait de Dallas, siouplait:
Qu'on se rassure on va en avoir pour notre argent, la rupure c'est pas fait pour bricoler et avec la klasse comme si on sortait de Dallas, siouplait:
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Tous a poil et plus vite que ça / ça ce passe comme ça en france...
« le: décembre 18, 2007, 21:42:18 pm »
PARIS (AFP) - Le directeur de cabinet de la ministre du Logement, Christine Boutin, loue un appartement à loyer modéré appartenant à la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris) depuis 1981, a-t-on indiqué au ministère du Logement confirmant une information du Canard Enchaîné.
Interrogé par l'AFP, le ministère a expliqué que Jean-Paul Bolufer louait un logement à la RIVP depuis 1981 et qu'il payait ses loyers depuis cette date au tarif fixé par la Régie.
Selon l'hebdomadaire satirique daté de mercredi, M. Bolufer, préfet hors cadre, bénéficie d'un appartement de 190m2 dans le quartier de Port-Royal (Vème arrondissement), avec vue sur la chapelle du Val-de-Grâce, au prix de 6,30 euros le m2. Les prix du secteur, remarque l'hebdomadaire satirique, se situe généralement dans le parc privé entre 20 et 30 euros le m2.
M. Bolufer se serait vu attribuer ce logement en 1981 quand il était directeur adjoint du cabinet de Jacques Chirac, alors maire de Paris.
Selon le Canard, il l'aurait même sous-loué entre 1989 et 1996, alors qu'il avait été nommé à Toulouse puis de 1997 à 2007, alors qu'il bénéficiait d'un logement de fonction à Paris comme directeur des Journaux officiels.
Dans un communiqué transmis en début de soirée à l'AFP, le ministère du Logement "s'étonne du contexte dans lequel ces allégations apparaissent s'agissant d'une situation locative bien connue".
"Le directeur de cabinet tient à faire savoir qu'il est titulaire du bail de son actuel appartement depuis 1981 sans avoir bénéficié à aucun moment d'un privilège personnel (...) Si des erreurs ont été commises, elles ne peuvent être imputées qu'à une mauvaise gestion du bailleur à qui il appartient d'exiger, le cas échéant, de ses locataires toutes les justifications requises", ajoute le communiqué.
"Tout autre commentaire qui revêtirait un caractère diffamatoire relèverait désormais de l'intervention de son avocat", conclut le ministère"
Old school chichi style! J'adore vraiment le passage sur les erreurs dues à une mauvaise gestion du bailleur, ben voyons...
Interrogé par l'AFP, le ministère a expliqué que Jean-Paul Bolufer louait un logement à la RIVP depuis 1981 et qu'il payait ses loyers depuis cette date au tarif fixé par la Régie.
Selon l'hebdomadaire satirique daté de mercredi, M. Bolufer, préfet hors cadre, bénéficie d'un appartement de 190m2 dans le quartier de Port-Royal (Vème arrondissement), avec vue sur la chapelle du Val-de-Grâce, au prix de 6,30 euros le m2. Les prix du secteur, remarque l'hebdomadaire satirique, se situe généralement dans le parc privé entre 20 et 30 euros le m2.
M. Bolufer se serait vu attribuer ce logement en 1981 quand il était directeur adjoint du cabinet de Jacques Chirac, alors maire de Paris.
Selon le Canard, il l'aurait même sous-loué entre 1989 et 1996, alors qu'il avait été nommé à Toulouse puis de 1997 à 2007, alors qu'il bénéficiait d'un logement de fonction à Paris comme directeur des Journaux officiels.
Dans un communiqué transmis en début de soirée à l'AFP, le ministère du Logement "s'étonne du contexte dans lequel ces allégations apparaissent s'agissant d'une situation locative bien connue".
"Le directeur de cabinet tient à faire savoir qu'il est titulaire du bail de son actuel appartement depuis 1981 sans avoir bénéficié à aucun moment d'un privilège personnel (...) Si des erreurs ont été commises, elles ne peuvent être imputées qu'à une mauvaise gestion du bailleur à qui il appartient d'exiger, le cas échéant, de ses locataires toutes les justifications requises", ajoute le communiqué.
"Tout autre commentaire qui revêtirait un caractère diffamatoire relèverait désormais de l'intervention de son avocat", conclut le ministère"
Old school chichi style! J'adore vraiment le passage sur les erreurs dues à une mauvaise gestion du bailleur, ben voyons...
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Chouilles / jusqu'ici tout va bien...
« le: décembre 13, 2007, 13:10:06 pm »
GENÈVE (AFP) - Le nombre de catastrophes naturelles dans le monde a progressé d'environ 60% entre 1997 et 2006 par rapport à la décennie précédente, passant de 4.241 à 6.806 désastres, a alerté la Fédération internationale de la Croix-Rouge qui attribue cette tendance aux conséquences du réchauffement climatique.
(Publicité)
Le nombre de morts a même doublé par rapport à la période 1987-1996, passant de 600.000 à 1,2 million, selon le rapport annuel de la Fédération sur les catastrophes publié jeudi.
Le nombre de personnes touchées en moyenne chaque année est passé de 230 millions à 270 millions entre les deux décennies.
En 2007, le nombre de catastrophes a bondi de 20% par rapport à 2006, dépassant pour la première fois la barre des 500, selon la Fédération internationale.
La Fédération avait recensé 427 catastrophes naturelles en 2006. La hausse a atteint 70 % entre 2004 et 2006, selon le rapport annuel de la Fédération sur les catastrophes publié jeudi.
"Les chiffres confirment la tendance de ces dernières années", a souligné devant la presse Markku Niskala, secrétaire général de la Fédération de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.
"Ces hausses s'expliquent en partie par une meilleure prise en compte des catastrophes de petite envergure, mais elles tiennent aussi à la multiplication des désastres majeurs", selon la Fédération de la Croix-Rouge.
Le rapport de l'organisation veut attirer l'attention sur les femmes, personnes âgées, handicapés et minorités qui, victimes habituelles de discriminations, sont encore pénalisés lors des catastrophes. "Ce sont des personnes souvent invisibles, qui échappent aux secours et c'est inacceptable", a souligné Markku Niskala.
Trois fois plus de femmes que d'hommes ont été tuées par le tsunami de décembre 2004 en Asie parce qu'elles étaient à la maison lors de la catastrophe, a cité comme exemple l'un des auteurs du rapport, M. Mohammed Mukhier.
Certaines minorités, comme les Dalits en Inde, ou les Tamouls au Sri Lanka, n'ont pas reçu une aide équivalente après le tsunami pour des raisons politiques, ethniques ou religieuses, indique encore le rapport.
Les personnes âgées sont également davantage touchées, soit parce qu'elles ne peuvent pas se déplacer rapidement, soit parce qu'elles sont isolées, notamment en milieu urbain.
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Le nombre de morts a même doublé par rapport à la période 1987-1996, passant de 600.000 à 1,2 million, selon le rapport annuel de la Fédération sur les catastrophes publié jeudi.
Le nombre de personnes touchées en moyenne chaque année est passé de 230 millions à 270 millions entre les deux décennies.
En 2007, le nombre de catastrophes a bondi de 20% par rapport à 2006, dépassant pour la première fois la barre des 500, selon la Fédération internationale.
La Fédération avait recensé 427 catastrophes naturelles en 2006. La hausse a atteint 70 % entre 2004 et 2006, selon le rapport annuel de la Fédération sur les catastrophes publié jeudi.
"Les chiffres confirment la tendance de ces dernières années", a souligné devant la presse Markku Niskala, secrétaire général de la Fédération de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.
"Ces hausses s'expliquent en partie par une meilleure prise en compte des catastrophes de petite envergure, mais elles tiennent aussi à la multiplication des désastres majeurs", selon la Fédération de la Croix-Rouge.
Le rapport de l'organisation veut attirer l'attention sur les femmes, personnes âgées, handicapés et minorités qui, victimes habituelles de discriminations, sont encore pénalisés lors des catastrophes. "Ce sont des personnes souvent invisibles, qui échappent aux secours et c'est inacceptable", a souligné Markku Niskala.
Trois fois plus de femmes que d'hommes ont été tuées par le tsunami de décembre 2004 en Asie parce qu'elles étaient à la maison lors de la catastrophe, a cité comme exemple l'un des auteurs du rapport, M. Mohammed Mukhier.
Certaines minorités, comme les Dalits en Inde, ou les Tamouls au Sri Lanka, n'ont pas reçu une aide équivalente après le tsunami pour des raisons politiques, ethniques ou religieuses, indique encore le rapport.
Les personnes âgées sont également davantage touchées, soit parce qu'elles ne peuvent pas se déplacer rapidement, soit parce qu'elles sont isolées, notamment en milieu urbain.