Cannibal Caniche
Gourbi => Tous a poil et plus vite que ça => Discussion démarrée par: JeRe le août 29, 2007, 14:49:08 pm
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La Papouasie Nouvelle-Guinée, pays de 6 millions d'habitants, est confrontée à une propagation incontrôlée du VIH.
EPA
Des personnes atteintes du sida ont été enterrées vivantes en Papouasie Nouvelle-Guinée par leurs proches qui n'ont pas les moyens de les soigner et redoutent d'être infectés, a affirmé lundi une responsable humanitaire.
Margaret Marabe, qui a passé cinq mois dans la région reculée des Hauts plateaux de ce pays pauvre du Pacifique Sud dans le cadre d'une campagne de prévention sur le sida, a raconté avoir vu cinq malades enterrés vivants. L'un d'eux appelait au secours alors que des pelletées de terre l'ensevelissaient, a déclaré à des journalistes Mme Marabe, qui travaille pour une organisation bénévole, "Igat Hope" (J'ai de l'espoir).
"Un des malades était un de mes cousins. J'ai demandé pourquoi ils faisaient cela. Ils m'ont répondu: si nous les laissons vivre avec nous dans la même maison, nous allons attraper la maladie et on va peut-être mourir à notre tour", a-t-elle relaté.
Des villageois lui ont également indiqué que cette pratique était répandue. Margaret Marabe a lancé un appel au gouvernement papou et aux organismes de prévention pour qu'ils veillent à ce que les programmes d'information sur le sida ne restent pas cantonnés aux villes mais atteignent aussi les régions rurales.
Dans certaines localités, des habitants ont accusé des femmes de sorcellerie avant de les torturer et de les tuer à cause de la mort, inexplicable à leurs yeux, de jeunes gens contaminés par le VIH, selon des témoins. La Papouasie Nouvelle-Guinée, pays de 6 millions d'habitants, est confrontée à une propagation incontrôlée du virus.
Selon un récent rapport de l'ONU, le nombre de personnes infectées a augmenté d'environ 30% par an depuis 1997, pour atteindre environ 60.000 malades en 2005.
http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=83&art_id=366525
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argh!
encore de la faute des pédés et des drogués...
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cinq malades enterrés vivants. L'un d'eux appelait au secours alors que des pelletées de terre l'ensevelissaient
smiley19
c'est inedit cela?, ici on connait plus les cas de personnes inconsciente au moment de la mise en terre.
Sinon, les maladies infectieuses gagnent du terrain au niveau du top 5 des maladie, deja monstrueusement efficace, elles redeviennent à la mode...
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Au XIXe siècle, c'était l'une des grosses hantises et ça courait les feuilletons et la presse populaires smiley4
(http://www.languefrancaise.net/galerie/img/1_4_50_m_apaches_le_petit_journal_1907.jpg)
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J ai vu ça aussi j ai carrément halluciné !!! smiley8 smiley8 smiley12 smiley12 smiley8
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Au XIXe siècle, c'était l'une des grosses hantises et ça courait les feuilletons et la presse populaires smiley4
(http://www.languefrancaise.net/galerie/img/1_4_50_m_apaches_le_petit_journal_1907.jpg)
oui, à l'époque les gens vivaient avec cela en tete...
les bonnes choses se perdent....
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Ouais sauf que là on est en 2007 et que les mecs il enterrent des propres membre de leur famille parcequ'ils croient qu'il vont choper le sida en vivant avec eux...alors déjà au XIX c'est limite mais au XXIe c'est du délire ! smiley12 smiley12
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Ouais sauf que là on est en 2007 et que les mecs il enterrent des propres membre de leur famille parcequ'ils croient qu'il vont choper le sida en vivant avec eux...alors déjà au XIX c'est limite mais au XXIe c'est du délire ! smiley12 smiley12
c'est clair, c'est pire
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A mon avis, ce n'est ni pire ni meilleur, les deux sont horribles smiley21
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Barre le pourrissant..... smiley14 smiley14
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(http://img102.imageshack.us/img102/1540/barresagouinxo4.jpg)
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Personne ne veut enterrer Alain Deschodt vivant ? smiley18
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retourne à ton McDo du matin au lieu de sortir des inepties, religieux dégoulinant de l'huile de la mondialisation ! smiley12
(http://i4.photobucket.com/albums/y110/zyn1213/funny/659ba9c5.jpg)
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Au XIXe siècle, c'était l'une des grosses hantises et ça courait les feuilletons et la presse populaires smiley4
(http://www.languefrancaise.net/galerie/img/1_4_50_m_apaches_le_petit_journal_1907.jpg)
oui, à l'époque les gens vivaient avec cela en tete...
les bonnes choses se perdent....
Voici plus de précisions sur une histoire qui t'avait marqué, je crois, Plan9... :bocal:
1857
Une étrange épidémie. Tout commença au mois d'août par une petite fille qui eut une crise d'hystérie. Elle sortait de l'église lorsqu'elle vit qu'on retirait de la rivière une de ses amies qui avait failli se noyer. Le choc émotif avait provoqué l'hystérie. Et, comme si ce mal était brusquement contagieux, l'hystérie se répandit à travers le village. L'âge des malades oscillait entre huit et vingt-deux ans. Ces fillettes et ces jeunes filles se mettaient à insulter les prêtres et la religion avec des mots qu'on n'aurait même pas pu supposer qu'elles en aient connaissance. On les voyait aussi se livrer à des excentricités qui stupéfièrent le correspondant du Journal de Genève. Il y avait aussi d'étranges phénomènes : on vit une vache tomber malade et ne plus donner de lait.
(http://moto-images.caradisiac.com/IMG/jpg/4/6/9/8/9/morzine.jpg)
Lorsqu'elle guérit, c'est la petite fille de la maison qui devint malade et, lorsque celle-ci guérit à son tour, la pauvre vache retomba dans son mal. Le clergé pratiqua alors l'exorcisme, mais comme la cérémonie ne donnait guère de résultat, il y eut chaque dimanche, dans l'église de Morzine, de véritables scènes d'émeute contre le curé : on lui reprochait de ne pas savoir guérir les malades. Lorsqu'un jour, l'évêque d'Annecy vint pour administrer la confirmation, il manqua ne pas ressortir vivant de l'église. A son arrivée, quatre-vingts femmes furent prises de convulsions. Elles hurlaient des injures en se roulant par terre. Elles allèrent jusqu'à frapper le prélat à coups de pied, lui crachant au visage et lui arrachant une partie de ses vêtements. La Savoie passée à la France, on employa d'autres méthodes.
(http://boutique.geneanet.org/catalog/images/cartes_mini/74/DA741994.jpg)
Le gouvernement impérial envoya quarante hommes de troupe pour rétablir l'ordre puis on dispersa les malades dans des hôpitaux assez éloignés les uns des autres, si bien que, peu à peu, l'épidémie s'éteignit. Un médecin, qui avait été envoyé sur place pour étudier ce cas, donna un diagnostic très clair : il s'agissait d'une vraie maladie dont les causes étaient l'ignorance, la mauvaise nourriture et les mariages consanguins. Selon lui, il existait un moyen de guérir cette maladie et d'éviter toute rechute : construire une route qui relierait Morzine à la civilisation...
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La Savoie passée à la France, on employa d'autres méthodes.
Haaa on reconnait bien là Le Bon Sens Français ,trêve de bondieuseries , une paire de coups de bottes et ça repart !
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L'espagne aurait également réglé le problème j'en suis convaincu.
(http://trinities.org/blog/wp-content/uploads/2006/08/spanish-inquisition-04.jpg)
Nobody expects the Spanish Inquisition
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C'est vrai que la très catholique Espagne même si elle s'est malheureusement ramollie au XVIIIème aurait sans doute moins fait de chichis
(http://books.atheism.ru/atheism/Autodafe.jpg)
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Haaa on reconnait bien là Le Bon Sens Français ,trêve de bondieuseries , une paire de coups de bottes et ça repart !
à l'occasion d'une notable boucherie (la bataille de Bir Hakeim) le grand charcutier général, à qui on ne la fait pas, eut l'occasion d'encenser l'armée française
"Bir Hakeim est la preuve que les Français sont, après nous, les meilleurs soldats d’Europe. "
Adolf Hitler
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l'histoire d'Alain me fait penser à cette histoire vraie racontée par Jean Teulé dans " mangez le si vous voulez"
Nul n’est à l’abri de l’abominable. Nous sommes tous capables du pire ! Le mardi 16 août 1870, Alain de Monéys, jeune périgourdin, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. C’est un jeune homme plaisant, aimable et intelligent. Il compte acheter une génisse pour une voisine indigente et trouver un couvreur pour réparer le toit de la grange d’un voisin sans ressources. Il veut également profiter de l’occasion pour promouvoir son projet d’assainissement des marais de la région.
Il arrive à quatorze heures à l’entrée de la foire. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l’aura lynché, torturé, brûlé vif et même mangé. Comment une telle horreur est-elle possible ? Comment une population paisible (certes angoissée par la guerre contre l’Allemagne et sous la menace d’une sécheresse exceptionnelle) peut-elle être saisie en quelques minutes par une telle frénésie barbare ? Au prétexte d’une phrase mal comprise et d’une accusation d’espionnage totalement infondée, six cents personnes tout à fait ordinaires vont pendant deux heures se livrer aux pires atrocités. Rares sont celles qui tenteront de s’interposer. Le curé et quelques amis du jeune homme s’efforceront d’arracher la malheureuse victime des mains de ces furieux et seule Anna, une jeune fille amoureuse, risquera sa vie pour le sauver.
Incapable de condamner six cents personnes d’un coup, la justice ne poursuivra qu’une vingtaine de meneurs. Quatre seront condamnés à mort, les autres seront envoyés aux travaux forcés. Au lendemain de ce crime abominable, les participants hébétés n’auront qu’une seule réponse : " Je ne sais pas ce qui m’a pris. "
Avec une précision redoutable, Jean Teulé a reconstitué chaque étape de cet atroce chemin de croix qui constitue l’une des anecdotes les plus honteuses de l’Histoire du XIXe siècle en France.
bon c'est l'histoire d'un affreux lynchage....
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teulé smiley14 smiley14 smiley14
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et y a ça aussi:
sur les proçès faits aux animaux
genre, en france, on a fait des proçès aux truies qui avait tué des enfants.
j'crois que j'en avais déjà parlé, en me demandant si c'était l'oeuvre d'une civilisation avancée, ou si c'était tout le contraire...
est-ce pratique? est-ce humain? ou est-ce obscur? smiley17
hein, moi je ne juge pas...
http://ledroitcriminel.free.fr/le_phenomene_criminel/crimes_et_proces_celebres/proces_faits_aux_animaux.htm
1120 – Mulots et chenilles excommuniés par l’Évêque de Laon.
1314 – Les juges du comté de Valois firent le procès à un taureau qui avait tué un homme à coups de cornes, et le condamnèrent, sur la déposition des témoins, à être pendu ; la sentence fut confirmée par arrêt du Parlement le 7 février 1314.
1394 – Porc pendu pour avoir meurtri et tué un enfant, en la province de Roumaigne, vicomté de Mortain.
1451 – Sangsues excommuniées par l’Évêque de Lausanne, parce qu’elles détruisaient les poissons
1474 – Coq condamné à être brûlé, par sentence d’un magistrat de Bâle, pour avoir pondu un œuf.
1488 – Becmares (charançons) : les grands vicaires d’Autun mandent aux curés des paroisses environnantes de leur enjoindre, pendant les offices et processions, de cesser leurs ravages et de les excommunier.
1497 – Truie condamnée à être assommée pour avoir mangé le menton d’un enfant du village de Charonne. La sentence ordonna en outre que les chairs seraient coupées et jetées aux chiens, et que le propriétaire et sa femme feraient un pèlerinage à Notre-Dame de Pontoise le jour de la Pentecôte.
1499 – Taureau condamné à la potence par jugement du bailliage de Beauprès (Beauvais) pour avoir, en fureur, occis un jeune homme.
1500 – Sentence de l’official contre les charançons et les sauterelles qui désolaient le territoire de Millieze.
1585 – Le grand vicaire de Valence fait citer les chenilles devant lui, leur donne un procureur pour les défendre, et finalement les condamne à quitter le diocèse.
les sangsues excommuniées, j'trouve ça génial... smiley5
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ça relativise en même temps la différence que les gens pouvaient imaginer entre eux et les animaux (comme en Afrique dans les rites), soit pas grand chose et pourtant progressivement, on en a fait pire que des objets inertes... smiley18
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y a aussi l'histoire des chiens d'Istanbul...
En 1910, dans cette ville, il y avait des milliers et des milliers de chiens...
Le gouvernement s'arrangea pour en faire déporter 30 000 au large, sur l'île d'Oxia pour les décimer, alors qu'il vivaient en harmonie avec la population..
Sur l'île, privés d'eau et de nourritures ils se sont entredévorés.
Cette campagne d'éradication des chiens des rues intervient un an après la déposition du sultan et l'arrivée au pouvoir des Jeunes Turcs, fervents admirateurs de l'Occident et de l'esprit positiviste. L'attachement à ces chiens apparaît à beaucoup d'entre eux comme un signe de superstition et d'obscurantisme. Leur exil constitue donc un acte de rupture symbolique avec l'ancien régime et, peut-être, de l'avis de certains, le prélude des répressions que connaîtront par la suite les minorités en Turquie.
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l'histoire d'Alain me fait penser à cette histoire vraie racontée par Jean Teulé dans " mangez le si vous voulez"
Nul n’est à l’abri de l’abominable. Nous sommes tous capables du pire ! Le mardi 16 août 1870, Alain de Monéys, jeune périgourdin, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. C’est un jeune homme plaisant, aimable et intelligent. Il compte acheter une génisse pour une voisine indigente et trouver un couvreur pour réparer le toit de la grange d’un voisin sans ressources. Il veut également profiter de l’occasion pour promouvoir son projet d’assainissement des marais de la région.
Il arrive à quatorze heures à l’entrée de la foire. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l’aura lynché, torturé, brûlé vif et même mangé. Comment une telle horreur est-elle possible ? Comment une population paisible (certes angoissée par la guerre contre l’Allemagne et sous la menace d’une sécheresse exceptionnelle) peut-elle être saisie en quelques minutes par une telle frénésie barbare ? Au prétexte d’une phrase mal comprise et d’une accusation d’espionnage totalement infondée, six cents personnes tout à fait ordinaires vont pendant deux heures se livrer aux pires atrocités. Rares sont celles qui tenteront de s’interposer. Le curé et quelques amis du jeune homme s’efforceront d’arracher la malheureuse victime des mains de ces furieux et seule Anna, une jeune fille amoureuse, risquera sa vie pour le sauver.
Incapable de condamner six cents personnes d’un coup, la justice ne poursuivra qu’une vingtaine de meneurs. Quatre seront condamnés à mort, les autres seront envoyés aux travaux forcés. Au lendemain de ce crime abominable, les participants hébétés n’auront qu’une seule réponse : " Je ne sais pas ce qui m’a pris. "
Avec une précision redoutable, Jean Teulé a reconstitué chaque étape de cet atroce chemin de croix qui constitue l’une des anecdotes les plus honteuses de l’Histoire du XIXe siècle en France.
bon c'est l'histoire d'un affreux lynchage....
ce genre d'histérie collective me fait penser aux sorcières de salem
encore une overdose general d'ergot de seigle cette histoire....
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1474 – Coq condamné à être brûlé, par sentence d’un magistrat de Bâle, pour avoir pondu un œuf.
ça c'est pas mal aussi smiley5
pauvre de nous quand même...