Cannibal Caniche

Free as a bernard l'ermitte => Les oreilles => Discussion démarrée par: Alain Deschodt le septembre 13, 2011, 00:28:21 am

Titre: Dans Bangui, y a des paras
Posté par: Alain Deschodt le septembre 13, 2011, 00:28:21 am
A l'époque, la France n'intervenait pas trop. Un peu comme aujourd'hui.  :bonaventure: :smiley23: :bonaventure:

(http://political-motion.com/images/DOCPICT/docPict_88.jpg) (http://www.ideesplus.com/IMG/EDomitien2.jpg)
(http://image-parcours.linternaute.com/image/750/3/4316358327/2582647.jpg)
Titre: Re : Dans Bangui, y a des paras, juste ce qu'il faut
Posté par: weroz le septembre 13, 2011, 00:36:50 am
les dirigeants africains étaient vraiment très généreux pour financer autant la république française
ça sent la reverb granulaire ou je m'abuse
j'ai toujours un problème pour comprendre les titres et c'est pas les morceaux qui m'aident
Titre: Re : Dans Bangui, y a des paras, juste ce qu'il faut
Posté par: tgbts le septembre 13, 2011, 08:00:09 am
hello

sentiment très étrange en écoutant ce morceau : impression d'entendre des bribes d'un de mes récents cacas sonores passé en accéléré ou pitché : http://www.archive.org/download/dna_112_the_ghost_between_the_strings_a_map_of_scars/01_-_The_Ghost_Between_The_Strings_-_The_Impossible_Escape.mp3 (http://www.archive.org/download/dna_112_the_ghost_between_the_strings_a_map_of_scars/01_-_The_Ghost_Between_The_Strings_-_The_Impossible_Escape.mp3)
c'est grave docteur?? smiley17 smiley17
je dois avoir des halucinations, en tout cas j'aime bien cette ambience de wagnerisme en déconfiture moisie avec les rats qui grignotent autour  :smiley52: (et tout ceci sans aucun rapports avec le titre et les images)
Titre: Re : Dans Bangui, y a des paras
Posté par: Ludmila de Hazebrouck le septembre 13, 2011, 22:51:33 pm
A l'époque, la France n'intervenait pas trop. Un peu comme aujourd'hui.  :bonaventure: :smiley23: :bonaventure:

smiley18 je peux pas dire qu'il s'agit de ma piste préférée des oeuvres complètes de GLS. Le côté bonbon acidulé de l'omniprésent grésillement est vite entêtant et bientôt stressant. Quoiqu'il en soit ce track ne laisse pas indifférent.