Cannibal Caniche

Ce que je me mets => Ovnis => Discussion démarrée par: Plan9 le avril 07, 2009, 22:28:44 pm

Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: Plan9 le avril 07, 2009, 22:28:44 pm
http://www.ludd.luth.se/~silver_p/kutna.html



(http://www.ludd.luth.se/~silver_p/NewSedlec/images/pict0218.jpg)
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: Kiki aux Morilles le avril 07, 2009, 23:00:50 pm
je veux le meme!
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: bryanbeast le avril 07, 2009, 23:57:22 pm
:smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:  :smiley23:
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Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: mysh3l le avril 08, 2009, 06:29:55 am
(http://www.ludd.luth.se/~silver_p/Sedlec/New/11.jpg)
c'est presque beau
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: doppelganger le avril 08, 2009, 12:40:57 pm
Le chandelier est carcassement magnifique  smiley19
ça doit être vlà le boulot rien que pour récolter les ossements
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: Plan9 le avril 25, 2009, 16:48:18 pm
La deco a été réalisé avec environ 40 000 os
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: bryanbeast le juillet 06, 2009, 02:00:08 am
dans la série ossuaire :

(http://inlinethumb37.webshots.com/44004/2271469410104237032S600x600Q85.jpg)
http://www.environmentalgraffiti.com/featured/skull-cathedral-otranto-bones-martyrs-adorn-walls/9100
:smiley23:  :none:  :smiley23:
Titre: The Sedlec Ossuary
Posté par: Plan9 le juillet 08, 2009, 00:09:18 am
et puis aussi :

  HISTOIRE DES CATACOMBES DE PARIS

 

L'origine des Catacombes de Paris (qu'il vaudrait mieux appeler «Ossuaire municipal») remonte à la fin du XVIIIe siècle. Le cimetière des Innocents (près de Saint-Eustache, dans le quartier des Halles) avait été en usage pendant près de dix siècles et était devenu un foyer d'infection pour tous les habitants du quartier. Après de multiples plaintes, le Conseil d'État, par arrêt du 9 novembre 1785, prononça la suppression et l'évacuation du cimetière des Innocents.

 

Ce sont d'anciennes carrières qui furent choisies pour déposer les ossements ; la Ville de Paris venait en effet de se doter d'une inspection générale des Carrières dont le rôle était la consolidation des voies publiques minées par les carrières. Les carrières « de la Tombe-Issoire » furent l'objet de travaux comprenant une grande part de maçonnerie et de soutènement de galeries, complétés par le creusement d'un escalier flanqué d'un puit pour déverser les ossements.

 

Le transfert des restes pu commencer après la bénédiction et la consécration du lieu le 7 avril 1786 et se continua jusqu'en 1788, toujours à la tombée de la nuit et selon un cérémonial constitué d'une procession de prêtres en surplis qui chantaient l'office des morts le long du trajet emprunté par les tombereaux chargés d'ossements et recouverts d'un voile noir. Par la suite, ce site allait, jusqu'en 1814, recueillir les ossements de tous les cimetières de Paris.

 

Dès leur création, les Catacombes suscitèrent la curiosité. En 1787, le Comte d'Artois, futur Charles X, y descendit en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. En 1814, François 1er, empereur d'Autriche, résidant en vainqueur à Paris les visita. En 1860, Napoléon III y descendit avec son fils.    

http://www.catacombes-de-paris.fr/

     ACTUELLEMENT EXPOSITION : Paris – Palerme : dialogues de l’au-delà, photographies d’Olivier Mériel

(3 mars 2009 au 28 février 2010)

 

Le visiteur des Catacombes est invité à découvrir une autre approche de la mort, à travers le regard du photographe Olivier Mériel.
En prélude à la découverte de l’ossuaire parisien, l’exposition propose une série de 8 images, reproduites sur bâches, des célèbres Catacombes capucines de Palerme dont la particularité est de présenter des milliers de corps momifiés, vêtus de leurs costumes d’époque. Ombre et lumière sont les fils conducteurs qui ont guidé le photographe dans son travail, comme une exploration de la condition humaine et de sa symbolique mortuaire. Religieux et civils, hommes, femmes et enfants posent dans leur éternité offerte aujourd’hui à la contemplation des visiteurs des Catacombes de Paris.  La singularité de l’œuvre d’Olivier Mériel réside dans une maîtrise parfaite du clair-obscur, étayée par l’utilisation exclusive d’une chambre photographique pour des prises de vues 20x25 cm ou 30x40 cm. Les tirages sont obtenus par contact puis virés au platine et au sélénium sur des papiers argent riches en contrastes.  Les images fortes qu’Olivier Mériel a saisies en 2006 à Palerme restituent le caractère troublant de ces lieux singuliers.