Cannibal Caniche
Gourbi => Tous a poil et plus vite que ça => Discussion démarrée par: SMIRNOFF le novembre 06, 2008, 10:35:25 am
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Cette crise financière est provoquée par le maître du monde dans le but de contrôler nous tous, un nouveau Bretton Woods sera de nouveau sur la table. Ils voulaient changer son système ou bien, reformer le système financier mondial : En supprimant les monnaies papier (argent) source de toute crise (crise créée), contre l introduction du paiement biométrique et de la puce électronique implantée par tout le monde, enfin de nous surveiller. Où est notre liberté ?????? Nous ne serons plus que comme de robot manipulé par ces athées.
PUCE ÉLECTRONIQUE : « LApocalypse : JEAN : BIBLE » 13:16 Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 13:17 et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 13:18 C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d homme, et son nombre est six cent soixante-six.
L'Agenda du Nouvel Ordre Mondial avance à grand pas. Quel meilleur moyen de surveiller tous ses sujets d'un OEIL secret cache dans le ciel. Etre suivi 24 heures sur 24, sans aucun endroit pour s'enfuir et aucun pour se cacher jusqu'au dernier souffle de votre vie. Qu'en dites-vous ?
AGIR CONTRE LA BIOMETRIE ET LA PUCE ELECTRONIQUE IMPLANTEE!
Sources: http://apocalypse123.centerblog.net/2.html
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(http://blackwarior38.b.l.pic.centerblog.net/k3fe1mrk.gif)
Par l intermédiaire de l' Ordre Mondial, le maître du monde cherche par tout le moyen à exterminer la race humaine, la puce injectable est un meilleur moyen pour effectuer son projet. Puisque la ressource planétaire n est suffit plus que pour seulement le 1/3 de la population du monde à cause de leurs gaspillages.
(http://www.onnouscachetout.com/themes/nom/images/microchip/chipgross.jpg)
http://www.onnouscachetout.com/themes/nom/microchip.php
http://www.atlantyd.org/messaget1134.html
"Depuis des années beaucoup mentionnent les dangers de la vaccination, et l'arrivée de la "puce" électronique pour le contrôle de la population. Les 2 vont âtres bien ensembles. Je crois que la tactique d'effrayer la population sur les risque d'épidémie globale de vérole, anthrax, ou tout autre virus (développe dans les labos militaires de différents pays a des fins destructrices) est un excellent moyen de pousser la population a accepter a se faire vacciner en masse et pourrait du même fait leur injecter la puce de surveillance que nous refuserions pour sur."
(http://mamiejosiane.m.a.pic.centerblog.net/3jg8ybby.jpg)
...Donc moi quand je réfléchis à comment réduire la population de 2/3… Je comprends maintenant pourquoi le SIDA existe, la grippe aviaire existe, les maladies, les cancers, les tumeurs etc… existent… La Santé (La Mort) est un business qui fait de l’argent et qui réduit la population d’une manière conséquente, surtout à long terme, ils ne sont pas là pour nous soigner… ils ne sont pas là pour nous éduquer non plus… Ils sont là pour nous utiliser, nous faire travailler, et nous tuer quand nous devenons inutile pour eux.
http://apocalypse123.centerblog.net/2.html
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bla bla bla bla bla bla bla
touché!touché!touché!
coulé!
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I- Marchés boursiers: apocalypse now
Comme l'enthousiasme en période de bulle, le pessimisme a tendance à devenir irrationnel en période de krach... Ainsi, depuis quelques temps, les experts de tout poil rivalisent de prévisions apocalyptiques, en particulier aux Etats-Unis, berceau il est vrai, de la crise actuelle. L'un d'entre eux, Peter Schiff, president du fonds Euro Pacific Capital et connu en tant que ''baissier'' acharné, n'a pas hésité à estimer la semaine dernière que le marché ''pourrait chuter de 90% par rapport à ses...
Lire la suite... http://www.boursier.com/vals/ALL/marches-boursiers-apocalypse-now-news-305249.html
II- La Prophétie de saint Malachie, spéculait que le pape Benoît XVI (la gloire de l’olive) règnerait au début de la tribulation (La tribulation est une période assez courte ou les croyants expérimenteront une persécution et seront purifiés par celle-ci) que Jésus avait parlé. Et quelque temps plus tard, un nouveau pape décrit dans la prophétie comme “Pierre le Romain“, le dernier dans la liste prophétique, apparaitrait comme celui qui amènera à la destruction de Rome et au Jugement Dernier.
- Terence McKenna (qui est maintenant mort…), suggérait que plusieurs choses peuvent arriver mais une seul d’entre elles seulement. Il parle de, nouvelles découvertes dans l’aérospatiale, contact avec des Aliens, métamorphose de la nature et de nôtre histoire, explosion solaire, une explosion d’étoile type Qasar au centre de la galaxie, ou rien du tout.
- Le Népalais Ram Bahadur Bomjoon, appelé “Enfant Bouddha”, a rapporté à ces disciples qu’il reviendrait autour de 2012.
- Plusieurs personnes parlent d’un crash du cour du pétrole et donc la fin de toute une industrie.
- Les hindous parlent d’un avatar (en hindou cela veut dire incarnation) qui aurait des pouvoirs surhumains, et qui amènera le monde dans un Nouvelle Age (New Age).
- Plusieurs personnes comme Riley Martin qui sont des enthousiaste au sujet des OVNIs, racontent que 2012 sera l’année où nos anciens dieux (ceux qui nous observent et qui ont aidé nos ancêtres dans le développement de leur civilisation) reviendraient et nous donneraient de nouvelles technologies, qui éventuellement aidera à la survie de notre espèce dans ce nouveau Monde.
nous savons que la planète est entrain de mourir et que nôtre civilisation est préprogrammé à s’autodétruire entre aujourd’hui et les 30 prochaines années. Et Pourquoi c’est ainsi? Pourquoi doit-on mourir? Pourquoi faire des choses qui sont contre les cycles naturel? Pourquoi l’homme ne s’occupe pas de sa planète qui est si fragile et qui nous protège?…
Pourquoi ces gens détruisent-ils le monde pour de l’argent qui n’existe pas? Quand on entends George Bush parler de la guerre en Irak et que la banque mondiale lui a prêté 40 milliards de dollars (Et 192 milliards de dollars pour la guerre en 2008!), c’est pas de l’argent physique! L’argent qui circule dans le monde n’est rien d’autre que des chiffres sur un écran d’ordinateur! DES CHIFFRES! Si George Bush ou n’importe quel milliardaire devait retirer tout son argent d’un guichet électronique ou d’une banque, la banque FERAIT FAILLITE!Et tant que Wallstreet n’a pas de panne d’électricité, l’économie actuelle ne changera pas.
Une version “Mortelle” sur 2012: Je vois un monde sans électricité ce qui veut dire que même si vous avez une carte de crédit vous ne pourrez pas retirer de l’argent d’un guichet qui lui est sans électricité. Nous n’avons pas été éduqué pour survivre dans des conditions extrêmes, de part ce fait la plupart d’entre nous mourons de faim, de froid, se suiciderons et toutes les pires choses qui n’ont encore jamais existé… Est ce que vous aimez la viande humaine (question rhétorique)? Vous allez peut-être devoir devenir cannibale. Vous devrez agir contre votre vrai nature, faire des choses que vous n’avez jamais pensé et jamais faites.
J’explique pourquoi un monde sans électricité réduirait dramatiquement la population mondiale plus que toutes autres techniques jamais employées auparavant…
Les sociétés secrète, les Illuminatis, et autres, cherchent à réduire la population de la planète de 2/3 (80% des gens seront contre la puce électronique (un must à lire), la plupart seront contre ce nouvel ordre mondial, et donc ces gens là seront exterminés).
Donc moi quand je réfléchis à comment réduire la population de 2/3… Je comprends maintenant pourquoi le SIDA existe, la grippe aviaire existe, les maladies, les cancers, les tumeurs etc… existent… La Santé (La Mort) est un business qui fait de l’argent et qui réduit la population d’une manière conséquente, surtout à long terme, ils ne sont pas là pour nous soigner… ils ne sont pas là pour nous éduquer non plus… Ils sont là pour nous utiliser, nous faire travailler, et nous tuer quand nous devenons inutile pour eux.
La plupart des gens me demandent, qui sont “ils”? “Ils” sont Les Maîtres du Monde.
(http://www.nouvelordremondial.cc/wp-content/uploads/2007/07/himmler-et-hitler.jpg)
Aussi après il faudra m’expliquer pourquoi il y a 65 ans, les USA et des brouettes, ont mi un pied d’arrêt à l’évolution de l’Allemagne Nazi! Ils ont arrêté Adolf Hitler alors qu’il avait possession de l’Europe et avait une défense et une armée hors du commun! Les USA ont stoppé Hitler et c’était il y a 65 ans. Aujourd’hui, les USA n’arrivent pas à stopper le trafic de drogues, ils ne peuvent pas arrêter les meurtres et les crimes, ils n’arrivent pas à mettre la main sur les grands criminels… C’est très étrange… Un exemple:
Quand vous êtes américain (ce qui n’est pas à souhaiter, être américain veut dire être esclave) et que vous ne payez pas vos impôts régulièrement, le gouvernement américain vous trouvera même si vous allez dans la jungle d’Amazone, il vous trouvera, et même si les agents du gouvernement ont à dépenser 2 millions de dollars ils vous ramèneront au pays et feront un exemple de Vous. Et tout le monde sait bien cela… Et pourtant.. le gouvernement américain n’arrive pas à mettre la main sur la drogue et toutes ces sortes de choses qui détruisent notre société… La réponse est que la drogue est le plus gros business de la planète, et elle finance les “Black Projects” comme le bombardier B2 noir… Des projets noir impliquent des budgets noir.
Si le monde est dans cet état, c’est que c’était voulu!. Rien n’arrive par hasard en politique (même dans tout..), un ancien président des USA, Roosevelt, a dit: ” Si quelque chose arrive en politique, soyez sur que c’était prévu ainsi “… Même chose pour le 11 septembre, le 11 Septembre était un sacrifice…
Bref… Quand on voit ce que nos chefs font de nous, et ce qu’ils font de la planète… Je ne suis pas convaincu que la race humaine ait un avenir… Donc il y aura une guerre, il y aura des morts, et il y aura comme ils ont planifié cette réduction de la population par 2/3… Ils utiliseront tout les moyens… Ils n’ont pas besoin de bombe nucléaire, ils ont juste a couper le courant, et la bourse, l’économie qui a détruit le monde disparaitra sans aucune trace… Et ils peuvent utiliser tellement de techniques différentes pour nous tuer, cela deviendra un vrai challenge pour nous de rester en vie.
Je suis assez pessimiste mais c’est la “théorie mortelle sur 2012?, vu la situation mondiale tout est possible, même la plus inimaginable des conspirations, c’est à cause du silence médiatique et politique de certains sujets sensible que nous en sommes arrivé là. Je peut aussi imaginer des catastrophes naturelles pour 2012, quelque chose de beaucoup plus violent que le Tsunami en 2003.. Il existe des technologies qui sont au delà de vôtre imagination, pensez vous que l’on peut contrôler le climat? Oui on peut. On a la technologie pour, et ça s’appelle HARRP.
Sources: http://www.nouvelordremondial.cc/2012/
Autres livres et bibliograhie:
- Le Livre de 1995 La Prophécies Maya liaient le calendrier Maya à un cycle solaire à longue période (11.2 ans est la durée d’un cycle solaire de base). Et la Nasa à confirmé une super tempête solaire entre 2010 et 2012. C’est la théorie qui me semble la plus plausible jusqu’à présent.
- Le livre de 1997 le Code de la Bible, par rapport à certains algorithmes du code de la Bible, raconte qu’un météore, un astéroïde ou une comète percutera la planète Terre en 2012.
- Le livre Au delà de 2012: Catastrophe ou Ecstasy, parle de plusieurs théories, prophéties et prédictions concernant 2012 et montre ou certains auteurs ont utilisé des informations erronées ou ont plié la vérité pour que ça colle avec leurs théories.
La plupart des gens me demandent, qui sont “ils”? “Ils” sont Les Maîtres du Monde.
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http://www.onnouscachetout.com/themes/nom/microchip.php
Je connais bien ce site et je dirais qu'il y a à boire, à manger et à chier là dessus.... Certains auraient perdu le sens commun on dirait.... smiley9
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(http://mamidoo.free.fr/html/gifs/toons/calimero/calimero_07.gif) (http://mamidoo.free.fr/html/gifs/toons/calimero/calimero_07.gif)
Le maître du monde tel que: le groupe Bilderberg peut provoquer de crise monétaire...Pour plus d information, je vous apporte des liens beaucoup plus explicite en ce sujet.
Le Groupe de Bilderberg est sans doute le plus puissant des réseaux d'influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l'économie, de la finance, des médias, des responsables de l'armée ou des services secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires.
le Groupe de Bilderberg est un véritable gouvernement mondial occulte.Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent concerner le début d'une guerre, l'initiation d'une crise économique ou au contraire d'une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou boursières majeures, les alternances politiques dans les "démocraties", les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états.
https://www.cannibalcaniche.com/forum/viewtopic.php?t=10495&sid=0d3ba703f703bd5594f98dcc79a7a599
http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html
http://www.alterinfo.net/Hillary-et-Obama-en-rendez-vous-secret-chez-les-Bilderberg_a20508.html?PHPSESSID=dcf13fabf7c563c73417a4bcaac7a66d
http://www.alterinfo.net/Obama-assure-qu-il-garantira-la-securite-d-Israel_a20452.html
http://www.forum-zetetique.com/forum/forum/viewthread?thread=1501&offset=0
(http://thomasthink.com/img/barack-obama-nu-sexy.jpg)
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AGIR CONTRE LA BIOMETRIE !
En Allemagne, on peut payer du bout des doigts
LE MONDE | 29.08.07 |
Une empreinte digitale suffit pour payer la facture. Ce geste ne relève plus de la science-fiction : il est devenu réalité dans soixante-dix supermarchés Edeka, dans le sud-ouest de l'Allemagne. Pour recourir à ce mode de paiement, le client doit laisser auparavant au magasin son empreinte, son adresse et ses coordonnées bancaires. Le supermarché prélève ensuite directement le montant des achats.
Etrangement, les plus jeunes ne sont pas les plus séduits. Près des deux tiers des utilisateurs ont 40 ans et plus. "Ce système évite aux personnes âgées de mémoriser des codes, de fouiller dans leur sac à la recherche de leurs lunettes et d'argent liquide", explique Georg Meisberger, du supermarché Globus Warenhaus de Sankt Wendel (Sarre), qui applique aussi ce système. Pour le magasin, le montant de l'investissement (2 000 euros pour une caisse) est compensé par certains avantages, notamment moins de taxes à acquitter pour la gestion des cartes de crédit.
En revanche, les responsables de la protection des données privées s'inquiètent. "L'empreinte digitale n'est pas mémorisée comme à la police, seuls les points les plus marquants de l'empreinte le sont", répond Ulrich Binnebössel, expert des nouveaux systèmes de paiement de l'association commerciale HDE. Les faussaires ne pourraient donc pas reproduire une empreinte à partir de données mémorisées à la caisse d'un supermarché. - (AFP.)
Biométrie : l'empreinte digitale se substitue à la carte de crédit
Le Point.fr
En Allemagne, le paiement biométrique vient d’être mis en place dans les 70 supermarchés de la chaîne Edeka. Les clients de ces grandes surfaces peuvent donc désormais régler via leurs empreintes digitales.
Le procédé est simple : le magasin regroupe dans un fichier les empreintes du pouce des volontaires, leurs adresses et leurs coordonnées bancaires. L’empreinte n’est pas mémorisée entièrement, seuls les points les plus distinctifs servent à l’identification. Un gage de sécurité, disent les responsables de l’opération. Arrivé à la caisse, le client n’a plus qu’à apposer son pouce sur le lecteur. Le compte est automatiquement débité !
La surprise est que ce nouveau système de paiement ne séduit pas particulièrement les jeunes, a priori plus familiers des nouvelles technologies que leurs parents. Les générations des 40 ans et plus sont au contraire assez enthousiastes. Les personnes les plus âgées y verraient un moyen de parer à l’oubli, plus fiable que de griffonner leurs coordonnées bancaires sur un papier.
Plus loin de nous, le Japon expérimente un mode de paiement encore plus sophistiqué et qui passe par la reconnaissance du réseau vasculaire du doigt ! C’est le groupe Hitachi qui, en partenariat avec une société de crédit, a initié le projet dans certains magasins. Le client pose le doigt au-dessus du lecteur qui capte l’image du réseau vasculaire. L’image est ensuite confrontée avec celle qui est associée aux données bancaires.
En France, la Cnil , Commission nationale de l’informatique et des libertés, qui veille tout particulièrement à l’évolution de la biométrie, dit ne pas être au courant d’un projet semblable. Du côté des banques, on souligne la difficulté d’étendre un tel système à l’échelle nationale. « La biométrie marche très bien quand la base de donnée est de faible envergure, ce qui semble être le cas en Allemagne puisque seulement 70 magasins sont concernés. Maintenant, est-ce que les banques peuvent supporter de mettre en place un tel mode de paiement à travers tout un pays ? Pour des questions de sécurité, cela risque d’être lourd ! », analyse une responsable presse de chez HSBC.
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(http://img152.imageshack.us/img152/4181/assholenv0.jpg)
https://www.cannibalcaniche.com/forum/viewtopic.php?t=10495&sid=0d3ba703f703bd5594f98dcc79a7a599
http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html
http://www.alterinfo.net/Hillary-et-Obama-en-rendez-vous-secret-chez-les-Bilderberg_a20508.html?PHPSESSID=dcf13fabf7c563c73417a4bcaac7a66d
http://www.alterinfo.net/Obama-assure-qu-il-garantira-la-securite-d-Israel_a20452.html
http://www.forum-zetetique.com/forum/forum/viewthread?thread=1501&offset=0
http://www.conspiracywatch.info/index.php?action=article&numero=177
http://www.conspiracywatch.info/index.php?action=article&numero=66
http://www.alterinfo.net/Le-sionisme-est-la-source-de-tous-les-problemes-du-monde_a22188.html#comments
http://www.onnouscachetout.com/themes/nom/microchip.php
http://www.atlantyd.org/messaget1134.html
(http://img266.imageshack.us/img266/6323/tournoisffc1eratps6.jpg)
(http://www.adpulp.com/satan.jpg)
COFFRE FORT DE L APOCALYPSE OU LE PARADIS?
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(http://3.bp.blogspot.com/_aLpKFppU0Mc/SQpwN4z_B7I/AAAAAAAABCA/TRQ7zeMtCYo/s400/turtle.jpg)
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Madame/Monsieur,
Je suis Monsieur Adel KHEDIRA, dont une présentation de la personne est exposée à travers une des annexes de cet courriel, faisant face aux juifistes français depuis plusieurs années, et ayant pu dévoiler d'hyper graves crimes commis par ces juifistes à travers le monde via un très sophistiqué système d'espionnage, le système H.B.R.C. (Human Being Remote Control = Contrôle à distance de l'être humain)
A mettre en exergue le fait que tous ces dénoncés graves faits ont un majeur fil conducteur, constitué par une agression juifiste envers soit l'islam soit la France.
Adel KHEDIRA, fils de martyr, et ing. en télécom.
P.S. : Pour ce qui concerne la Belgique, à des occasions, un très grand effort est deployé pour supprimer les messages de Monsieur Adel KHEDIRA en un temps record des forums! Cela peut éventuellement signifier que les juifistes déploient un certain effort en Belgique pour tenter de manipuler quelques braves citoyens belges à propos des vérités relatives aux affaires de Monsieur Adel KHEDIRA, qui touchent entre autres la France et éventuellement la Belgique. Comme il arrive souvent aux mesquins juifistes, ils changent d'attitude pour tenter de mettre en défaut mes écrits, ainsi ils ont semble-t-il changé de tactique tout de suite après ma dénonciation par écrit des faits commis aux dépens des forums belges (suppression quasiment en temps réel de mes messages). Au passage, les citoyens belges sont toujours invités à saisir la justice de leur pays à propos de mon cas, celui de ma famille, et celui aussi de la Tunisie. En outre, vu la façon classiquement charlatanesque juifiste dont les nominés criminels juifistes semblent vouloir comiquement mettre en relief mes prétendus troubles psychiatriques par rapport à leur nominale mise en oeuvre (présentation de leur noms précis), il est à se demander si ces hyper lâches racistes criminels juifistes avec leur système H.B.R.C. ne sont-ils pas entrain de mettre en oeuvre une quelconque couverture judiciaire de mon massacre au sein d'un quelconque pays (Belgique, ...) !
CE QUI SE FAIT, ET CE QUI NE SE FAIT PAS AVEC LE SYSTEME H.B.R.C.
Ce message constitue l'élément initial d'une suite d'autres, qui relateront ce qui se fait et ce qui ne se fait pas via le système H.B.R.C. (Human Beeing Remote Control), par lequel système d'espionnage il est possible de contrôler à distance un être humain (corps, cerveau, ...), et dont disposent les juifistes et perpètrent des ahurissants crimes (atteintes à des présidents de république, des ministres, des juges, ...) à travers le monde.
Avec le système H.B.R.C. il est possible de faire dire à une personne cible tout un texte dont cette dernière personne ne dispose point.
Par exemple il est possible de faire réciter via le système H.B.R.C. par une personne cible l'entier texte de la charte des droits de l'homme des nations unies, sachant que cette personne cible n'a jamais lu cette charte, et qu'elle ne l'a jamais eu entre les mains. Tout se passe comme si l'exploitant du système H.B.R.C. (donc éventuellement un juifiste) prend le contrôle à distance sur le cerveau de la personne cible et alimente au fur et à mesure le cerveau de cette dernière personne par les mots composant la charte des droits de l'homme des nations unies.
Mais j'ignore si, comme le vrai diable hantant une personne puisse des fois le faire, il est possible de faire dire via le système H.B.R.C. à une personne cible un texte dans une langue (tel le chinois) que cette personne cible ne connait pas!
Tous les commentaires, remarques, et interrogations sont les bienvenues.
Adel Ben Hassine Ben Abdel Kader KHEDIRA, fils de martyr, Ingénieur en télécommunications, Hammamet/Tunisie.
MAHMOUD AHMADINEJAD MANIPULE VIA LE SYSTEME H.B.R.C.
C'est une certitude absolue, le chef du gouvernement iranien, Monsieur Mahmoud AHMADINEJAD, a été à plusieurs reprises l'objet d'influences exercées à ses dépens à distance à travers le système H.B.R.C. et pour servir les intérêts d'Israel et des Juifs. Cela a été au moins le cas quand le chef du gouvernement iranien, Monsieur Mahmoud AHMADINEJAD, a à plusieurs reprises de suite, sans réel intérêt ou objectif politique, sans aussi aucun sens politique, a parlé des Juifs et surtout de l'holocauste lors des derniers mois. Encore une fois, c'est une certitude absolue, Monsieur Mahmoud AHMADINEJAD est l'objet d'influences exercées à ses dépens à travers le système H.B.R.C. .
Autrement dit, et au-delà de tant d'autres sujets pour lesquels Monsieur mahmoud AHMADINEJAD a été l'objet d'influences, les juifistes sont une fois de plus entrain de faire monter la mayonnaise entre le monde musulman et l'occident en fabriquant et en échaffaudant des affaires visant à justifier aux yeux de l'occident, écrasé par les juifistes et leurs mensonges, des guerres et des confrontations avec des pays musulmans.
VIOLENCES EN BANLIEUES PARISIENNES ET EN REGIONS DE LA FRANCE ;....................................................................
Dès la désignation de Monsieur Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente au poste du ministre de l'intérieur j'ai affirmé qu'une telle décision a été induite à travers le système H.B.R.C. par les juifistes, en influençant éventuellement à l'occasion une importante personnalité politique, éventuellement à son insu, ayant le pouvoir de choisir et de désigner un ministre.
Je suis sûr et certain du fait que les juifistes ont joué à travers le système H.B.R.C. un certain jeu dans le cadre de l'exploitation politico-sociale, de l'évolution et de l'extension des inquiétantes violences ayant secoué essentiellement la banlieue parisienne depuis quelques jours.
Aux crédules, en se basant éventuellement sur des manipulations établies d'avance et à fur et à mesure, comme toujours les juifistes tenteront de faire croire aux éternels crédules que mes véridiques et fondées dénonciations sont les fruits de mes prétendus troubles psychiatriques (dont les juifistes ont été les inventeurs).
Sa continue aveuglement provocatrice façon de vouloir gérer la crise, sa prétendue chute dans les sondages (je suspecte fortement le fait que ces sondages sont des faux, biaisés par les juifistes à travers le système H.B.R.C.), sa bouffonne mise en cause d'extrémistes islamistes dénudée de toute logique ou moindre preuve, constituent des confirmations du fait que Monsieur Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente est l'objet d'atteintes à travers le système H.B.R.C. .
Ceci est une mascarade par rapport à ce que par exemple les juifistes m'ont fait subir avec les gendarmes français lors de mon dernier placement dans un centre de rétention en France pour étrangers en décembre 2003 en vu de mon expulsion de France vers la Tunisie. Sous l'instigation des juifistes, j'ai été horriblement et lâchement tabassé par plusieurs gendarmes du centre de rétention (celui proche de l'aéroport de Roissy) pour la simple raison que j'ai osé lors de la journée de faire savoir oralement mon mécontentement face aux barbares traitements qu'on ne cesse de me faire subir en cette France, dite des droits de l'homme, occupée et ravagée par des buveurs de sang, faisant partie de la plus vile "véritable" racaille qui puisse exister sur terre. Ces violences exercées par les gendarmes français ont conduit par la suite mon placement le long de plusieurs jours dans un hôpital de la région parisienne, d'où j'ai été effectivement par la suite transféré en Tunisie, en passant par la ville de Marseille où j'ai été emmené menotté par voiture et où j'ai été embarqué dans un bateau à destination de la Tunisie; je précise le fait que les violences commises à mon encontre par les gendarmes ont été faites et organisées avec une si grande brutalité et sauvagerie (en plus des coups émanant à la fois de plusieurs gendarmes, mon cou a été tordu à plusieurs reprises et on m'a privé de respiration à quelques reprises pendant des longs moments ...) et dans le visible objectif de me placer par la suite dans un hôpital. A rappeler le fait que j'ai été expulsé suite à deux successifs arrêtés ministériels, et que la justice a été empêchée de traiter l'affaire impartialement par les juifistes grâce au système H.B.R.C. (j'ai été privé de tout impartial avocat, tous les juges de détention et autres ont été contrôlés à travers le système H.B.R.C.), et que les juifistes ont même intervenu au niveau de la Cour Européenne des Droits de l'Homme grâce au système H.B.R.C. dans l'objectif de l'empêcher d'effectuer convenablement son travail.
Faut-il mentionner le gag que les buveurs de sang juifistes essaient depuis environ une semaine de faire véhiculer à travers leur ministre gadget, qu'est Monsieur Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente, laissant croire que la banlieue c'est la drogue et les bandes, et que c'est en attaquant à ce mal que les banlieues ont pris feu ! C'est plus que extrêmement simpliste, c'est une boufonnerie.
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plus d'infos sur la découverte gorgonzolesque de ce fils de martyr
http://www.shabablek.com/vb/forumdisplay.php?f=142
http://scum.ardkor.com
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C'est pas son oncle qui a 21 millions de dollars coincés suite à un coup d'etat ? Dis-lui que je m'excuse j'ai pas répondu à son mail, j'étais au bar
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Tout cela, jeux de banquiers internationaux, jeux de financiers spéculateurs, jeux de voleurs. Et pire encore, jeux de contrôleurs des vies humaines, jeux de dictateurs, de tyrans des peuples.… http://www.lepost.fr/article/2008/06/17/1209375_la-marque-de-la-bete-de-l-apocalypse.html
(http://www.monsterup.com/upload/1226023930.jpg)
La crise financière mondiale est peut-être le début de l'avènement du Nouvel Ordre Mondial, soyez vigilants et regardez bien tout ce qui va se passer... Pour l'anecdote, voici ce qu'on peut lire dans le dernier TOP SECRET (n°39) au sujet du projet BLUE BEAM et de la mise en place du N.O.M. :
"Selon les rapports que nous avons reçus, nous croyons que cela commencera par une sorte de désastre économique mondiale."
Et si on se réfère à ce qu'a prétendu un fonctionnaire du gouvernement norvégien, tout ceci est peut-être en vue de l'arrivée de Nibiru qui va causer d'énormes désastres naturels et il y aura peu de survivants. Il faut faire des réserves alimentaires pour 5 ans. Or, si on regarde les boîtes de conserves et autres produits alimentaires, les dates de péremption vont rarement plus loin que 3 ans... Désolé pour cette touche démoralisante.
Cependant, ce que je dis n'est qu'hypothèse, pas vérité, en tout cas pas pour le moment, mais gardons cela à l'esprit et préparons-nous au cas où...http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t9703-Crise-financiere-mondiale-pour-instauration-du-Nouvel-Ordre-Mondial.htm?q=crise+fiannciere+apocalypse
Du Magazine Moody
Le Dr. Hanrick Eldeman, analyste en chef de la conférence du Marché Commun, a dévoilé à Bruxelles qu'un plan de restauration par ordinateur est déjà en marche, devant l'éminence du chaos mondial. Lors d'une réunion d'urgence qui groupa à la fois des savants, des conseillers et des dirigeants de la C.M.C, le Dr. Eldeman dévoila "La Bête".
Par le Dr. Hanrick Eldeman
La Bête est un ordinateur gigantesque occupant trois planchers de surface de l'immeuble administratif du siège social du Marché Commun.
Ce monstre est un ordinateur autoprogrammeur possédant plus de cent sources distributrices de données. Des experts en programmation ont mis au point un plan appelé à régir par ordinateur tout le commerce mondial.
Ce plan de maître impliquerait un système de dénombrement chiffré de chaque être humain de la terre. Donc l'ordinateur attribuerait à chaque habitant du monde un numéro pour servir à tout achat ou vente, écartant le problème des cartes de crédit courantes. Ce numéro serait invisiblement tatoué au laser, soit sur le front, soit sur le revers de la main. Cela établirait un système de carte de crédit ambulante. Et le numéro ne se ferait connaître qu'à des appareils déchiffreurs infra-rouges installés dans des comptoirs de vérification exprès ou dans les places d'affaires.
666
Le Dr. Eldeman opina qu'en se servant de trois données de six chiffres chacune, chaque habitant du monde entier pourrait se voir attribuer un numéro de carte de crédit distinct.
Monnaie mondiale
D'autres officiels du Marché Commun croient que le chaos et le désordre actuels de cause mystérieuse démontrent le besoin d'une monnaie mondiale, d'une empreinte internationale qui mettrait fin peut-être au papier- monnaie et pièces de monnaie courants. A leur place, des billets de crédit seraient échangés par les soins de la chambre de compensation d'une banque mondiale.
Aucun membre ne pourrait acheter ni vendre sans se faire d'abord attribuer semblable empreinte chiffrée.
Les dirigeants du Marché Commun sont maintenant convaincus que l'ordre mondial dépend de l'allégeance de paix et de politique à un nouveau système de commerce mondial et de numérotage.
Un seul individu aurait à portée de la main le numéro de tout habitant de la terre. Cela pourrait être ou un instrument de paix ou une arme de dictature.
Quand on demanda à l'une des têtes dirigeantes du marché commun ce qui arriverait si quelqu'un s'objectait au système et refusait de coopérer, elle répondit plutôt carrément: "Nous serions obligés de recourir à la force pour l'amener à se conformer aux nouvelles nécessités."
Henri Spaak, Père du Marché Commun Européen, et Secrétaire Général de l'OTAN, disait dans un de ses discours:
"Nous ne voulons pas d'un autre comité, nous en avons déjà trop maintenant. Ce que nous voulons, c'est un homme de telle stature qu'il soit capable de rallier l'allégeance de paix et de politique pour nous tirer du marasme économique dans lequel nous nous enfonçons. Envoyez-nous un tel homme, et, qu'il soit dieu ou démon, nous l'accueillerons."
par Gilberte Côté-Mercier
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Les financiers maître suprêmes
Aujourd'hui donc, par le moyen de leur contrôle économique, les financiers préparent un contrôle politique mondial absolu.
Ils commanderont universellement et totalement, hissés au sommet des deux pouvoirs civils réunis: la politique et l'économiqe.
Le Marché Commun d'Europe semble être le premier plancher du gouvernement mondial politique. Et l'ordinateur électronique sera cet "homme de telle stature" qu'il puisse commander, surveiller, enregistrer, vérifier, censurer, punir tous les hommes de tous les peuples, "chaque être humain de la terre". Cet ordinateur est réellement plus qu'un homme, un surhomme, à intelligence luciférienne, et un sans-coeur.
Des menteurs par surcroît
Et les financiers internationaux qui savent très bien qu'ils contrôlent eux-mêmes tout l'argent du monde ont l'effronterie de nous parler de "cause mystérieuse du chaos et du désordre actuels". Ils font semblant de chercher des moyens de tirer les peuples "du marasme économique dans lequel ils s'enfoncent", quand c'est eux-mêmes les banquiers qui sont les auteurs du marasme, par leur contrôle de l'argent et par leurs jeux sur les devises, jeux qui font trembler les pays. Le dollar canadien baisse. Le dollar américain aussi par rapport aux devises orientales et européennes. Mais, le dollar canadien est encore plus bas que le dollar américain. La Banque du Canada vient au secours du dollar canadien. Mais, rien n'y fait, etc.,etc.
Tout cela, jeux de banquiers internationaux, jeux de financiers spéculateurs, jeux de voleurs. Et pire encore, jeux de contrôleurs des vies humaines, jeux de dictateurs, de tyrans des peuples.
Les financiers-voleurs sont des menteurs. Ils ont longtemps caché le mystère de leur tripotage. Et ils voudraient continuer à nous faire avaler leurs reptiles. Bienheureux les créditistes qui voient clair en toutes ces manipulations d'enfer, conduisant le monde entier à un esclavage comme il ne s'en est jamais vu dans l'histoire.
Et les les vrais créditistes savent, en plus, que s'ils mettent leur confiance en leur Père Eternel, ce Dieu tout-puissant dégagera le monde des griffes de Satan.
Confiance en Dieu et dans le Rosaire de l'Immaculée. La lumière du Crédit Social nous ouvre la porte de cette confiance. Et l'apostolat de Vers Demain nous donne la force d'endurer en attendant, puisque nous avons l'espérance.
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SMIRNOFF est un bot ?
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on dirait bien ... en tout cas il saoule pas mal de monde : http://www.google.fr/search?hl=fr&client=firefox-a&channel=s&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&hs=nU8&q=SMIRNOFF+apocalypse&btnG=Rechercher&meta=
et du coup il me saoule =)
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c'est un bot programmé à l'image d'alain ? :boulette:
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moi je supporte pas ses gifs mal détourés
(http://content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/00020077.gif)
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Riz_Au_Lait :...caprout ?
euh oui, tu peux voir mes postes un peu partout dans le net, ça s affiche un peu partout çaa, conitnuons!
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ou pas ?
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Ouais surtout que ton blog m'a tout l'air d'un ramassis de copier coller plus fumeux les uns que les autres alors avant de crier gare à la manipulation faudrait peut être commencer par penser par toi même.
Mais bon y'a quand même de bonnes tranches de rigolades
On fait également plein de découvertes chez les Cassiopéens : http://www.cassiopaea.org/cass/666.htm où l'on apprend par exemple que puisque chez les Romains le nombre 6 est représenté par "VI", chez les anciens Egyptiens par la lettre "S", et en langue sanskrite par "A", finalement 666 ne serait qu'une autre manière d'écrire le mot "VISA" qui est nécessaire pour traverser les époques, mais qui nous sera bientôt imposé sous forme d'implant en remplacement de l'argent liquide et des cartes bancaires!
La marque de la Bête serait-elle sur le point d'apposer son sceau final?
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Mon camarade Lucien Samary, du Caniche, qui prenait ce matin la route de Saint-Jérôme, m'a envoyé ce texte récent de Frédéric Lordon, l'économiste de Mermet, je l'ai lu ce matin, c'est ardu mais très intéressant (bien que je n'y aie pas appris grand chose que je ne susse avant, il a cet avantage de de dire précisément). (http://forum-images.hardware.fr/images/perso/origan.gif)
(http://www.linternaute.com/temoignage/image_temoignage/400/canada-automnal-plus-belles-photos-canada_353811.jpg)
Et si on fermait la Bourse...
C’était il y a un peu plus d’un an : les gouvernements secouraient les banques aux frais du contribuable. Mission accomplie. Mais à quel prix ? L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) évalue à 11 400 milliards de dollars les sommes mobilisées par ce sauvetage. Soit 1 676 dollars par être humain... Mais la finance n’est pas qu’affaire de banquiers. C’est aussi celle des actionnaires. Une proposition pourrait ne pas leur plaire : fermer la Bourse.
Par Frédéric Lordon
(http://images.telerama.fr/medias/2009/09/media_47277/frederic-lordon-le-cadre-de-la-finance-internationale-doit-etre-radicalement-refondu,M27229.jpg)
Pour un peu, le grand spectacle de ces deux dernières années nous l’aurait presque fait oublier : là où la finance « de marché »* (les astérisques renvoient au glossaire), appellation un peu idiote mais il en faut bien une pour faire la différence, semble s’activer dans un univers clos, loin de tout et notamment du reste de l’économie, la finance actionnariale*, celle des propriétaires des moyens de production, campe à l’année sur le dos des entreprises — et, comme toujours, en dernière analyse, des salariés. Il a fallu la « mode du suicide » si délicatement diagnostiquée par M. Didier Lombard, président-directeur général (PDG) de France Télécom, pour offrir l’occasion, mais si peu saisie dans le débat public, de se souvenir de ce dégât quotidien de la finance actionnariale dont les injonctions à la rentabilité financière sont implacablement converties par les organisations en minimisation forcenée des coûts salariaux, destruction méthodique de toute possibilité de revendication collective, intensification épuisante de la productivité et dégradation continue des conditions matérielles, corporelles et psychologiques du travail.
Contre toutes les tentatives de dénégation dont on entend d’ici les accents scandalisés, il faut redire le lien de cause à effet qui mène du pouvoir actionnarial, dont plus rien dans les structures présentes du capitalisme ne retient les extravagantes demandes, à toutes les formes, parfois les plus extrêmes, de la déréliction salariale. Et si les médiations qui séparent les deux bouts de la chaîne font souvent perdre de vue la chaîne même, et ce que les souffrances à l’une des extrémités doivent aux pressions exercées depuis l’autre, si cette distance demeure la meilleure ressource du déni, ou des opportunes disjonctions dont le débat médiatique est coutumier, rien ne peut effacer complètement l’unité d’une « causalité de système » que l’analyse peut très bien dégager (1).
Si donc la refonte complète du jeu de la finance « de marché », réclamée avec d’autant plus de martiale véhémence par les gouvernements qu’ils ont moins l’intention de l’accomplir, occupe le débat public depuis un an, il s’agirait de ne pas oublier que, au moins autant, la finance actionnariale est en attente elle aussi de son « retour de manivelle »... Sous ce rapport il n’y a que le PDG de Libération Laurent Joffrin, joignant la paresse intellectuelle au désir de ne rien rencontrer qui pourrait le contrarier, pour soutenir qu’il n’y a pas d’idées à gauche (2) — sans doute pas dans Libération ni au Parti socialiste en effet (mais on a dit : à gauche). Du vide dans le regard de Laurent Joffrin, on ne conclura donc pas pour autant qu’il n’y a rien. Le SLAM (Shareholder Limited Authorized Margin ou marge actionnariale limite autorisée) est une idée (3). L’abolition de la cotation en continu, et son remplacement par un fixing mensuel ou plurimestriel, en est une autre (4). Vient toutefois un moment où l’on envisage la question autrement : et fermer la Bourse ?
Des chroniques débonnaires du regretté Jean-Pierre Gaillard, longtemps journaliste boursier sur France Info, à l’apparition des chaînes boursières, en passant par l’incessante répétition « CAC 40 -Dow Jones - Nikkei », la Bourse aura bientôt quitté le domaine des institutions sociales pour devenir quasiment un fait de nature — une chose dont la suppression est simplement impensable. Il est vrai que deux décennies et demie de matraquage continu ont bien œuvré à cette sorte de naturalisation, et notamment pour expliquer qu’une économie « moderne » ne saurait concevoir son financement autrement que par des marchés et, parmi eux, des marchés d’actions* (la Bourse au sens strict du terme).
Bien sûr, pour continuer de se dévider, ce discours nécessite de passer sous silence l’ensemble des destructions corrélatives de l’exercice du pouvoir actionnarial ; la simple mise en regard de ses bénéfices économiques supposés et de ses coûts sociaux réels suffirait à faire apparaître tout autrement le bilan de l’institution « Bourse ». Encore faudrait-il questionner la division entre bénéfices économiques et coûts sociaux car les tendances à la compression salariale indéfinie qui suivent de la contrainte de rentabilité actionnariale ne sont pas sans effets macroéconomiques. La sous-consommation chronique qui en résulte a poussé les géniaux stratèges de la finance à proposer aux ménages de « faire l’appoint » avec du crédit, devenu la béquille permanente de la demande manquante — on connaît la suite. Evidemment les bilans sont toujours plus faciles avec une seule colonne qu’avec deux, particulièrement, aurait ajouté l’humoriste Pierre Dac, quand on enlève la mauvaise. Mais vienne la « bonne » à se montrer elle-même défaillante, que peut-il alors rester de l’ensemble ?
Or c’est peu dire que les promesses positives de la Bourse sont douteuses. Sans elle, paraît-il, pas de financement de l’économie, plus de fonds propres pour des entreprises alors vouées à l’insolvabilité, encore moins de développement des start-up annonciatrices des révolutions technologiques ? En avant, dans l’ordre et méthodiquement.
Les investisseurs pompaient,
pompaient !
Sur le papier, le plan d’ensemble ne manquait pas d’allure. Des agents (les épargnants) ont des ressources financières en excès et en quête d’emploi, d’autres (les entreprises) sont à la recherche de capitaux : la Bourse est cette forme institutionnelle idoine qui mettrait tout ce beau monde en contact et réaliserait la rencontre mutuellement avantageuse des capacités de financement des uns et des besoins des autres. Elle ferait même mieux encore : en apportant des ressources permanentes (à la différence de l’endettement, les capitaux propres, levés par émission d’actions, ne sont pas remboursables), elle stabiliserait le financement et en minimiserait le coût. Patatras : rien de tout ça ne tient la route.
La Bourse finance les entreprises ? Au point où on en est, ce sont plutôt les entreprises qui financent la Bourse ! Pour comprendre ce retournement inattendu, il faut ne pas perdre de vue que les flux financiers entre entreprises et « investisseurs » sont à double sens et que si les seconds souscrivent aux émissions des premières, ils ne manquent pas, symétriquement, de leur pomper régulièrement du dividende (en quantité croissante) et surtout du buy-back*, « innovation » caractéristique du capitalisme actionnarial par laquelle les entreprises sont conduites à racheter leurs propres actions pour augmenter mécaniquement le profit par action et, par là, pousser le cours boursier (donc la plus-value des investisseurs) à la hausse.
La cohérence dans l’incohérence du capital actionnarial atteint d’ailleurs des sommets car, imposant des normes de rentabilité financière exorbitantes, il force à abandonner bon nombre de projets industriels, incapables de « passer la barre », laissant les entreprises avec des ressources financières inemployées... aussitôt dénoncées comme « capital oisif », avec prière de le restituer instamment aux « propriétaires légitimes », les actionnaires — « puisqu’ils ne savent pas s’en servir, qu’ils nous le rendent ! ». Dorénavant, ce qui sort des entreprises vers les investisseurs l’emporte sur ce qui fait mouvement en sens inverse... et donnait son sens et sa légitimité à l’institution boursière. Les capitaux levés par les entreprises sont devenus inférieurs aux volumes de cash pompés par les actionnaires, et la contribution nette des marchés d’actions au financement de l’économie est devenue négative (quasi nulle en France, mais colossalement négative aux Etats-Unis, notre modèle à tous (5)).
Il y a de quoi rester interloqué devant pareil constat quand, dans le même temps, les masses financières qui s’investissent sur les marchés boursiers ne cessent de s’accroître. Le paradoxe est en fait assez simple à dénouer : faute de nouvelles émissions d’actions pour les absorber, ces masses ne font que grossir l’activité spéculative sur les marchés dits « secondaires »* (les marchés de revente des actions déjà existantes). Aussi leur déversement constant a-t-il pour effet, non pas de financer des projets industriels nouveaux, mais de nourrir la seule inflation des actifs financiers déjà en circulation. Les cours montent et la Bourse va très bien, merci, mais le financement de l’économie réelle lui devient chose de plus en plus étrangère : le jeu fermé sur lui-même de la spéculation est très suffisant à faire son bonheur et, de fait, les volumes de l’activité dans les marchés secondaires écrasent littéralement ceux des marchés primaires* (les marchés d’émission).
Que la Bourse comme institution de financement, par là différenciée de la Bourse comme institution de spéculation, soit devenue inutile, ce sont les entreprises qui pourraient en parler le mieux. Le problème ne se pose simplement pas pour les petites et moyennes... qui ne sont pas cotées, mais dont on rappellera tout de même qu’elles font l’écrasante majorité de la production et de l’emploi — on répète pour bien marquer le coup : l’écrasante majorité de la production et de l’emploi se passe parfaitement de la Bourse. Plus étonnamment, les grandes entreprises y ont fort peu recours également — sauf quand leur prend l’envie de s’amuser au jeu des fusions et des offres publiques d’achat (OPA). Car lorsqu’il s’agit de trouver du financement, le paradoxe veut que les fleurons du CAC 40 et du Dow Jones aillent le plus souvent voir ailleurs : dans les marchés obligataires, ou bien, par une inavouable persistance dans l’archaïsme... à la banque ! Une succulente ironie veut qu’il y ait là moins l’effet d’une réticence philosophique qu’un effet de plus de la contrainte actionnariale elle-même, qui voit dans toute nouvelle émission l’inconvénient de la dilution, donc de la baisse du bénéfice par action. En somme, le triomphe du pouvoir actionnarial consiste à dissuader les entreprises qui le pourraient le plus de se financer à la Bourse !
D’autres promesses,
d’autres menaces
Ce qui reste de financement brut apporté par la Bourse se fait-il au moins pour les entreprises au coût avantageux promis par tous les discours de la déréglementation ? On sait sans ambiguïté ce que coûte la dette : le taux d’intérêt qu’on doit acquitter chaque année. Le « coût du capital » (ici le coût des fonds propres) est une affaire moins évidente à saisir. Par définition les capitaux propres (levés par émissions d’actions) ne portent pas de taux de rémunération prédéfini comme la dette. Ça ne veut pas dire qu’ils ne coûtent rien ! Mais alors combien ? Très symptomatiquement, la théorie financière ne cesse de s’intéresser au « coût du capital »... mais sous le point de vue exclusif de l’actionnaire (lire « Le coût du capital du point de vue de l’actionnaire ») ! Ceci ne dit rien de ce qu’il en coûte concrètement à l’entreprise de se financer en levant des actions plutôt que des obligations*, ou encore en allant à la banque — et c’est là une question dont la théorie financière, qui révèle ainsi ses points de vue implicites (pour ne pas dire : pour qui elle travaille), se désintéresse presque complètement.
Or ce qu’il en coûte à l’entreprise tient en trois éléments : les dividendes et les buy-backs sont les deux premiers, à quoi il faut ajouter également les coûts d’opportunité liés aux projets d’investissement écartés pour cause de rentabilité insuffisante, c’est-à-dire tous ces profits auxquels l’entreprise a dû renoncer sous l’injonction actionnariale... à ne pas investir.
Tout ceci, qui commence à faire beaucoup, ne se met cependant pas aisément sous la forme d’un « taux » qui pourrait être directement confronté au taux d’intérêt afin d’offrir une comparaison terme à terme des coûts des différentes formes de capital (fonds propres versus dette). Le fait que la dette soit remboursable et non les capitaux propres est une première différence perturbatrice ; inversement, du dividende est payé éternellement sur des actions bien après la fin du cycle de vie de l’investissement qu’elles ont servi à financer ; les actions confèrent en assemblée générale un pouvoir que ne donne pas la dette (et auquel on pourrait assigner une valeur), etc. A défaut de comparaison directe, on peut au moins faire une comparaison différentielle, et observer que l’un des deux coûts, celui des fonds propres, a connu une évolution très croissante : les buy-backs qui étaient inconnus se sont développés dans des proportions considérables ; quant aux dividendes, on peut mesurer leur croissance à la part qu’ils occupent désormais dans le produit intérieur brut, où ils sont passés de 3,2 % à 8,7 % entre 1982 et 2007, et ceci, il faut le redire, du fait même de l’exercice du pouvoir actionnarial, pour qui la déréglementation boursière a été faite... sur la foi d’une baisse du coût de financement des entreprises !
Reprenons : contribution nette négative, et contribution brute hors de prix là où elle avait été promise à coûts sacrifiés... On se demande ce qui reste à la Bourse pour se maintenir dans l’existence — à part les intérêts particuliers du capital financier, il est vrai d’une puissance tout à fait admirable. La réponse est : d’autres menaces et d’autres promesses.
La menace agite le spectre d’une « économie sans fonds propres ». Au premier abord, elle ne manque pas de poids, spécialement en une période où l’on dénonce, non sans raison, la croissance hors de contrôle des dettes privées. Or refuser aux entreprises les bienfaits de la Bourse, n’est-ce pas les renvoyer aux marchés obligataires ou au crédit bancaire, c’est-à-dire à plus de dette encore — et tout le pouvoir aux banquiers, espèce que la crise nous a rendue si sympathique (6) ? Mais une économie sans Bourse n’est pas du tout une économie privée de fonds propres. Trop occupée à vanter ses propres charmes, la Bourse a fini par oublier que l’essentiel des fonds propres ne vient pas d’elle... mais des entreprises elles-mêmes, qui les sécrètent du simple fait de leurs profits, transformés en capital par le jeu de cette opération que les comptables nomment le « report à nouveau » : chaque année le flux de profit dégagé par l’entreprise vient grossir le stock de capital inscrit à son bilan… du moins tant qu’elle ne l’abandonne pas aux actionnaires sous la forme de dividendes.
On dira cependant que l’apport de fonds propres externes (ceux d’actionnaires donc) revêt une importance particulière quand précisément l’entreprise va mal et, par elle-même, ne dégage plus assez de fonds propres internes par profit et « report à nouveau ». Le sauvetage d’entreprises en difficulté ne révèle-t-il pas l’ultime vertu de l’intervention actionnariale, et seules des injections providentielles de capitaux propres ne peuvent-elles pas y pourvoir ? La belle idée : en général, les repreneurs s’y entendent pour mettre au pot le moins possible et pour mener leur petite affaire soit en empochant les subventions publiques, soit en ayant prévu de revendre quelques morceaux de gré à gré, soit en profitant du règlement judiciaire pour restructurer les dettes et larguer du salarié ; et le plus souvent par un joyeux cocktail mélangeant agréablement tous ces bons ingrédients — fort peu actionnariaux.
Comme le cercle commence à se refermer méchamment et que la liste des supposés bienfaits est déjà à l’état de peau de chagrin, on aura bientôt droit au cri désespéré : « Et les start-up ? » Les start-up, la révolution technologique en marche, celle qui nous a donné Internet (juste après que l’armée eut posé les tuyaux et les chercheurs inventé les protocoles...), celle qui enfin nous offrira bientôt des gènes refaits à neuf, comment les ferait-on éclore sans la Bourse ? Bien sûr on a pu se tromper un peu quant à la réalité de ses bienfaits, mais tout sera pardonné quand on aura redécouvert ses véritables, ses irremplaçables prodiges : des promesses d’avenirs radieux.
C’est peut-être dans ce registre prophétique des lendemains technologiques que le discours boursier, par ailleurs si déconsidéré, trouve son ultime redoute — avec parfois l’improbable secours de technologues de gauche, écolos amis de la chimère ayant reçu pour nom « croissance verte », ou enthousiastes du « capitalisme cognitif » (certains, pas tous...) qui nous voient déjà savants et émancipés par le simple empilement des ordinateurs connectés en réseau.
Or il est exact que le financement des start-up semble échapper au système financier classique, et notamment bancaire. Le propre de ces entreprises naissantes tient en effet à la difficulté de sélection qu’elles présentent aux financeurs potentiels du fait même du caractère inédit de leurs Tibéri Land techniques et de la très grande incertitude qui en découle, faute de références passées auxquelles les comparer. On connaît l’argument : sur dix start-up soutenues, neuf seront d’épouvantables bouillons mais peut-être la dixième une magnifique pépite qui, bien poussée jusqu’à l’introduction en Bourse, décrochera la timbale — comprendre : enrichira ses actionnaires de départ, qu’on nomme, tout ridicule abattu, des business angels (« anges des affaires »), et fera mieux que les réconforter de leurs pertes sur les neuf autres.
Cette économie de la péréquation très particulière, propre aux entreprises technologiques naissantes, rendrait donc « indispensable » la sortie en Bourse et impossible le financement par le crédit : le banquier facturant en gros le même taux d’intérêt aux dix perdrait tout, intérêt et principal, sur neuf et ne gagnerait que ses quelques pour-cent sur la dixième ; bien trop peu pour que l’opération globale ne soit pas très perdante, et par suite définitivement abandonnée.
Il faut reconnaître que l’argument ne manque pas de sens. Il manque juste à être irrésistible. Car il ne faut pas beaucoup d’imagination pour envisager un taux d’intérêt qui soit, non plus fixe, mais défini comme une certaine part des profits, éventuellement révisable (à la hausse) sur les premières étapes du cycle de vie de l’entreprise. Si celle-ci est effectivement un bingo, elle le prouvera par ses bénéfices, et cette péréquation-là réjouira le banquier comme la péréquation boursière avait réjoui le business angel. Creusant un tout petit peu plus cependant, on finira par tomber sur la réalité moins glorieuse des mobiles qui font tenir les discours généraux du financement en capital des start-up et des héros technologiques.
L’introduction en Bourse a pour finalité essentielle... d’enrichir à millions les créateurs d’entreprise et leurs « anges » accompagnateurs. On les croyait mus par l’idée générale du progrès technique, le bien-être matériel de l’humanité et la passion d’entreprendre : ils n’ont le plus souvent pas d’autre idée que de faire fortune aussi vite que possible et de prendre une retraite très avancée — il n’y aurait pas de test plus dévastateur que de voir ce qui, la promesse de fortune boursière retirée, resterait des troupes des vaillants entrepreneurs. Des cohortes boutonneuses de la nouvelle économie, combien n’avaient pour idée fixe que de bricoler au plus vite une petite affaire susceptible d’être revendue et de faire la culbute patrimoniale ?
On fera remarquer que c’est l’essence même du capitalisme que les agents ne s’y activent pas pour des prunes. Sans doute, mais d’une part on pourrait, du coup, nous épargner le gospel entrepreneurial, et d’autre part c’est une chose de désirer s’enrichir de sa création d’entreprise, mais c’en est une autre de ne s’y livrer qu’à la condition (même si elle n’est qu’à l’état d’espoir) de s’enrichir hors de proportion, comme c’est devenu la condition implicite mais sine qua non des créateurs de start-up. Et il est vrai : ce n’est plus la simple rémunération du travail, ou même le revenu tiré du profit d’entreprise qui peut enrichir à cette échelle, mais bien la timbale boursière et elle seule.
Et c’est ici le terminus du discours de la Bourse. La Bourse n’est pas une institution de financement des entreprises — elles n’y vont plus sauf pour s’y faire prendre leur cash-flow* ; elle n’est pas le roc d’une « économie de fonds propres » — pour l’essentiel ceux-ci viennent d’ailleurs : des entreprises elles-mêmes ; elle n’est pas la providence qui sauve les start-up de l’attrition financière — on pourrait très bien agir autrement.Elle est une machine à fabriquer des fortunes. Et c’est tout. Bien sûr, pour ceux qui s’enrichissent, ça n’est pas négligeable. Mais pour tous les autres, ça commence à suffire.
Cupidité déboutonnée
Ainsi, faire la critique de la Bourse conduit immanquablement à retrouver les vraies forces motrices que le galimatias entrepreneurial s’efforce de recouvrir : il n’y est en fait question que d’enrichissement. Non pas que tous les entrepreneurs soient par principe affligés de cette cupidité déboutonnée — ceux qui ont vraiment l’envie de construire quelque chose sont mus par d’autres ressorts et se passent de la fortune patrimoniale pour s’activer (on n’en fera pas des saints pour autant...). Mais seule la Bourse pouvait installer dans le corps social, ou plutôt dans ses parties les plus concernées, ce fantasme, désormais fait mentalité, de la fortune-éclair, légitime récompense des élites économiques, entièrement due à leur génie créateur et sans laquelle on déclarera qu’on veut faire fuir le sel de la terre, tuer la vie entrepreneuriale, peut-être même la vie tout court.
Fermer la Bourse n’a donc pas seulement la vertu de nous débarrasser de la nuisance actionnariale pour un coût économique des plus faibles, mais aussi le sens d’extirper l’idée de la fortune-flash, devenue référence et mobile, cela-va- de-soi pour bien-nés et normalité du « mérite », pour rappeler que l’argent ne se gagne qu’à hauteur des possibilités de la rémunération du travail, ce qui, dans le cas des individus qui nous intéressent, est déjà la plupart du temps largement suffisant. La Bourse comme miroir à la fortune aura été l’opérateur imaginaire, aux effets bien réels, du déplacement des normes de la réussite monétaire, et il n’est pas un ambitieux dont le chemin ne passe par elle — pour les autres, il y a le Loto, et pour plus personne en tout cas, rapporté à cette norme, le travail.
Aussi la Bourse a-t-elle cette remarquable propriété de concentrer en un lieu unique la nocivité économique et la nocivité symbolique, en quoi on devrait voir une raison suffisante d’envisager de lui porter quelques sérieux coups. On ne dit pas que les arguments qui précèdent closent définitivement la discussion de la fermeture de la Bourse, et il y a sûrement encore bien des objections à réfuter pour se convaincre définitivement de joindre le geste à la parole. On ne le dit pas donc, mais on dit seulement qu’au moins il est temps de cesser de s’interdire d’y penser.
Frédéric Lordon.
Banque, Dette, Économie, Finance, Spéculation, Crise financière
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Frédéric Lordon
Economiste, auteur de La Crise de trop. Reconstruction d’un monde failli, Fayard, 2009.
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(1) La Crise de trop, chapitres IV et V.
(2) « La gauche ne dit rien sur la crise financière », assénait-il encore le 20 septembre 2008 sur France Inter.
(3) Lire « Enfin une mesure contre la démesure de la finance, le SLAM ! », Le Monde diplomatique, février 2007.
(4) Lire « Instabilité boursière : le fléau de la cotation en continu », La pompe à phynance, Les blogs du Diplo, 20 janvier 2010.
(5) Entre 2003 et 2005 la contribution nette des marchés d’actions au financement des entreprises françaises est de l’ordre d’à peine quelques milliards d’euros. Aux Etats-Unis, elle passe de — 40 milliards à — 600 milliards d’euros sur la même période ! Seule la crise financière interrompt (provisoirement) ces mouvements massifs de buy-back (« Rapport annuel de l’Autorité des marchés financiers », Tibéri Land, 2007).
(6) Comme souvent, c’est l’occasion de se rendre compte que les transformations radicales se font moins « par parties » que par « blocs de cohérence ». Refaire les structures de la finance nécessite de s’en prendre aux marchés, mais aussi aux structures bancaires. Cf., à ce propos, La Crise de trop, op. cit., chapitre III.
http://www.monde-diplomatique.fr/2010/02/LORDON/18789