L'ASN assure, au nom de l’État, le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France pour protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement des risques liés aux activités nucléaires.
Elle contribue à l’information des citoyens.
ben clair, on arrose le monde d'electricité nucleaire... c'est un peu notre fond de commerce...
Moi ca me fait totalement flipper, parenthèse, j'etais a bollène une semaine pour un festoche je leur amennais la scène, trois ou quatre jours après la fuite de 84 kilos d'uranium (on a posé notre scène a 3kms du site ou la fuite a eu lieu)...
C'etait assez rigolo de voir les gens plaisanter sur cet accident, une pièce se jouait de molière, il y avait mercure et les gens se demandaient ou etait le personnage d'uranium...
Pendant ce temps je remarquais qu'au matin ils nous faisaient le café avec l'eau du robinet... J'ai pris des douches après le boulot en me demandant si j'allais pas devenir vert fluo... je flippais grave, alors que l'otoctone en plaisantais... J'ai fallit prendre des douches avec des bouteilles d'eau et je me suis dit que je poussais p'tet le truc un peu loin, ceci dit aujourd'hui de retour, je regrette de âs l'avoir fait.
Bref tout ça pour dire qu'il n'y a qu'en France qu'on pense qu'on ne peut faire sans nucléaire.
(aux niveau des énergies non génératrices de CO2)
nucléaire : 2% de la prod mondiale (en regression)
énergies renouvelables : 12% de la prod mondiale (en expansion)
faut-il ou pas recourrir au nucléaire pour produire de l'électricité ? - je considère que les deux options sont respectables. Si les avantages du nucléaire dans ce domaine sont importants, ses inconvénients ne le sont pas moins, et j'accepterai une décision démocratique consistant à préférer se coltiner les problèmes du non nucléaire plutôt que les problèmes du nucléaire.
AUTONOMY..
construisez votre petite éolienne (pas besoin de bcp de vent, 30km/h suffit).. ou du mini hydrolique si vous avez ne serait-ce qu'un petit ruisseau qui coule au fond du jardin..
:
Un film dont vouos êtes le héros :
http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-3216,54-1118477,0.html
as tu un lien qui explique comment faire un eolienne ( avant que je cherchasse sur google )
Ce mercredi 11 février à 20h35 sur France 3 :
« Uranium : le scandale de la France contaminée »
Le reportage qu'AREVA aurait voulu voir censuré !
Elise Lucet et l’équipe de Pièces à conviction ont mené l’enquête sur ce scandale, au coeur des campagnes et des villes françaises.
Voir : http://programmes.france3.fr/pieces-a-conviction/51415247-fr.php
En savoir plus :
Télérama du 3 février 2009.
“Pièces à conviction” spécial uranium
Pour Areva, la meilleure défense, c'est l'attaque !
Le titre du prochain numéro de “Pièces à convictions”, que diffuse le 11 février France 3, fait peur.
Et pas qu'aux téléspectateurs : le 29 janvier, Areva a décidé de saisir le CSA, alors que le groupe spécialisé dans le nucléaire n'a vu aucun reportage. Mais il n'a aucune chance d'empêcher la diffusion de l'émission.
Sensible sur la question des déchets d'uranium, Areva ? Ce n'est une surprise pour personne. A France 3, on dit avoir senti la « fébrilité » du groupe - qui, pour l'heure, n'a pas daigné nous répondre - dès les premiers contacts établis par la rédaction de Pièces à conviction. Des personnalités sollicitées pour intervenir sur le plateau d'Élise Lucet (parmi lesquelles le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo), seule Anne Lauvergeon, PDG d'Areva, a décliné, pour cause officielle d'emploi du temps surchargé, laissant le soin à son porte-parole, Jacques-Emmanuel Saulnier, d'honorer l'invitation.
Plus surprenante, en revanche, est la promptitude du groupe à agiter le chiffon rouge du CSA... d'autant que l'autorité n'a pas, selon ses propres mots, « rôle de censeur » et n'est pas habilitée à s'opposer à la diffusion d'une émission en amont. « Nous n'avons pu qu'enregistrer la saisine émise par Areva. Le CSA n'a pas vocation à réagir à un programme avant sa diffusion; nous ne pouvons éventuellement intervenir qu'après la diffusion », explique-t-on à l'instance de régulation.
Se fondant uniquement sur une dépêche de l'AFP, qui évoquait « la thèse (...) du scandale de la France contaminée par les déchets radioactifs, résidus des mines d'uranium », Areva semble donc avoir foncé bille en tête vers une procédure qui s'avère dans les faits impossible à mettre en œuvre. Dans un communiqué, le groupe estimait « pour le moins surprenant, voire contraire à la déontologie, que son point de vue soit présupposé et rendu public avant même qu'il ne se soit exprimé ». En clair, Areva a la désagréable sensation que les dés sont pipés. C'est là, tout de même, qu'il convient de rappeler que les extraits qu'ont pu visionner les journalistes (dont celui de l'AFP) n'étaient qu'à l'état de projet ou en cours de montage, et que certaines séquences, dont l'interview du porte-parole d'Areva, n'étaient pas encore tournées.
Réagissant à son tour par l'AFP, le rédacteur en chef de l'émission, Lionel de Coninck, a réfuté ces accusations de « présupposition », en indiquant que le reportage relayait « ce que dit Areva depuis des dizaines d'années sur le sujet ». C'est-à-dire un discours qui se veut rassurant sur la question de la possible nocivité des quelques millions de tonnes de déchets d'uranium dispersés sur le territoire français depuis plusieurs décennies.Des millions de tonnes de résidus radioactifs abandonnés à moins de six pieds sous terre, c'est vrai que ça invite à l'optimisme…
Des ouvriers du nucléaire sortent de l’ombre pour dresser un tableau inquiétant de leurs conditions de travail et de sécurité. Une enquête exemplaire.
On les appelle les “jumpers”, ils sont chargés d’entrer dans le générateur de vapeur pour obturer les tuyaux qui le relient au réacteur nucléaire. Séjour maximum autorisé : de 90 à 120 secondes, sous peine de surdosage radioactif ! Ils font partie de la masse des ouvriers intérimaires et sous-payés, chargés de maintenance dans les centrales nucléaires (décontamineurs, mécaniciens, contrôleurs…). Des travailleurs de l’ombre qui, avec ce film, sortent pour la première fois du silence pour dresser un tableau inquiétant d’un des fleurons de l’industrie européenne. Depuis la libéralisation des marchés et la privatisation des groupes énergétiques, les conditions de travail semblent en effet se dégrader, au mépris de la santé des ouvriers et de la sécurité. Au nom de la rentabilité, EDF/GDF-Suez, Areva et les autres recourent de plus en plus à la sous-traitance, rognent sur les effectifs et la maintenance, font pression sur les employés…
Urgent à signaler
Malgré les efforts déployés pour alerter l’opinion (souvent sanctionnés par des licenciements), les autorités font la sourde oreille. Un malaise que dénoncent des ouvriers principalement belges et français, éclairé par des experts-chercheurs, une sociologue et un ancien président d’EDF, Marcel Boiteux… “Du risque 0, nous sommes passés au risque calculé”, affirme un employé. Les “petits” incidents se sont multipliés, avec une centaine d’alertes de niveau 1 chaque année : en 2006, après un court-circuit, une centrale suédoise frôle la catastrophe à 7 minutes près ; en 2008, une fuite d’uranium contamine cent ouvriers à Tricastin. Contrôleurs priés d’ignorer les dysfonctionnements, employés cachant les incidents par peur des sanctions, grands groupes déresponsabilisés par l’externalisation des tâches : ce constat édifiant montre combien la sécurité collective est en jeu.
(Résumé Arte)
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ras+nucl%C3%A9aire/video/x99tk4_documentaire-ras-securite-energie-n_news
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ras+nucl%C3%A9aire/video/x99wd8_documentaire-ras-securite-energie-n_news
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ras+nucl%C3%A9aire/video/x99yih_documentaire-ras-securite-energie-n_news
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ras+nucl%C3%A9aire/video/x99zdn_documentaire-ras-securite-energie-n_news
Le Canard enchaîné, Jean-Luc Porquet, le 14 octobre 2009
Dès demain, l’atomobile !
(http://buzzynews.com/wp-content/uploads/2008/01/la-voiture-electrique-trev-de-cote.jpg) Ça serait génial, non ? Au lieu d’être sillonnées comme aujourd’hui par 30 millions de bagnoles polluantes recrachant chacune 2,5 kg de gaz carbonique pour chaque litre d’essence brûlée, les routes de notre beau pays ne verraient passer que des voitures électriques à pollution zéro, estampillées Renault ou Peugeot, fabriquées à Flins et à Montbéliard, du coup on en exporterait partout, y aurait plus de chômeurs en France, les rois du pétrole on leur rirait au nez vu que l’électricité serait fabriquée dans nos centrales nucléaires tricolores qu’on sait tellement gentilles pour la planète.(http://referentiel.nouvelobs.com/file/535878.jpg)
C’est au nom de ce doux rêve, un chouïa revu à la baisse (atteindre 10% de voitures électriques en 2020 sera déjà un exploit) que not’ président petit lapin qui pisse derrière la tente s’agite énormément ces temps-ci. La semaine dernière, il est allé en Moselle promettre des subventions à l’usine (allemande) qui fabriquera bientôt des Smart électriques. Quelques jours auparavant, ses ministres Borloo, Estrosi et Jouanno lançaient un grand plan volontariste destiné à faire de la France le champion européen de la bagnole électrique. Un superbonus de 5 000 euros par achat ! une commande groupée de 50 000 exemplaires pour les entreprises publiques ! 120 millions offerts à Renault pour qu’il fabrique avec le CEA (Commissariat à l’énergie atomique) des batteries à Flins ! et 900 millions en rab pour commencer à installer un réseau mahousse de prises électriques ! Quatre millions de prises en 2020 ! Prix total : 4 milliards… Bref, l’argent va couler à flot pour la voiture « écolo », et on ne sentira rien puisque le Grand Emprunt y contribuera largement, qu’on remboursera à la saint-glinglin.
Mais il y a – au minimum – deux hic. D’abord, le point faible de cette bagnole : sa batterie, dite « lithium-ion ». elle est hors de prix, aussi chère que la voiture elle-même, soit dans les 120 000 euros, du coup, pour ne pas écoeurer l’automobiliste, on la lui louera (100 euros par mois). Non seulement sa durée de vie est brève, dans les 50 000 km, mais au bout de 200 km maxi, il faudra la recharger, ce qui prendra une nuit en mode normal, une heure trente en mode « semi-rapide », vingt minutes en très rapide (mais faudra raquer plus pour charger plus !). Mieux : Bolloré, le grand ami de petit lapin qui pisse derrière la tente, affirme qu’elle est tellement peu fiable qu’ « une voiture sur 5000 brûlera » (« Le Monde », 16/9). Et de jurer que la sienne, une batterie dite « sèche » qu’il fait fabriquer près de Quimper, sera sans risque. Bluff, ou vrai lézard ? Certains en ont déjà conclu qu’il vaudra mieux prendre le bus…
Autre hic : l’électricité vient de quelque part. Dans le monde, les deux tiers sont produits à partir du charbon, du fioul et du gaz. Bonjour le CO2 ! En France, 80 % de l’électricité viennent des centrales nucléaires, qu’on sait très propres : Tchernobyl ne se reproduira plus jamais, promis-juré ; les déchets, on trouvera bien une solution ; et pour les incidents à répétition, pas de panique, chacun a reçu ses comprimés d’iode. Que le doux rêve d’une France à 30 millions de voitures exige 20 réacteurs nucléaires en plus ne doit donc inquiéter personne. Subventionné à mort, l’automobile est en train de se transformer en atomobile. On dit merci qui ?
vous voulez vous chauffer à la bougie ds une grotte ? smiley9 smiley18 smiley18 smiley18 smiley18 smiley18
monsieur se chauffe p-ê en s'approchant des volcans d'auvergne ?
tu parles d'un argument...
je soupçonne que ce soit du hazebrouckieme degrès
une centrale
Après les nombreux dégâts provoqués par la catastrophe, chiffrables en dizaines de milliards de dollars, la reconstruction devrait doper la croissance nipponne.
"Toutes les centrales françaises ont été conçues en intégrant le risque sismique et le risque inondation"
e vis entre aulnay sous bois et paris man, et toi en moselle tu as cattenom qui te sert à écrire ton message, ne l'oublies jamais makam, sans cette centrale tu ne serais + qu'un homme prehistorique...............................
je sais pas du tout quelle confiance accorder à cette info : sur la vidéo on voit bien un bâtiment qui pète. si l'enceinte de confinement est là dedans, ça m'étonnerait qu'elle soit intacte.
je vis entre aulnay sous bois et paris man, et toi en moselle tu as cattenom qui te sert à écrire ton message, ne l'oublies jamais makam, sans cette centrale tu ne serais + qu'un homme prehistorique............................... smiley19
aaargh préventif
Citation de: "Ludmila de Hazebrouck"je vis entre aulnay sous bois et paris man, et toi en moselle tu as cattenom qui te sert à écrire ton message, ne l'oublies jamais makam, sans cette centrale tu ne serais + qu'un homme prehistorique............................... smiley19
t'es un mystère pour moi
http://www.irsn.fr/FR/popup/Pages/irsn-meteo-france_19mars.aspx
On parlait de la perte de diversité dans l'espèce humaine comme étant potentiellement dommageable ; quelques mutations vont arranger ca !
la réponse officielle est forcément minimisée
Par exemple ce graphe de la radioactivité à Tokyo (qui reste très basse semble-t-il) :
http://mextrad.blob.core.windows.net/page/13_Tokyo_en.html
D'après les données du gouvernement japonais :
http://eq.wide.ad.jp/index_en.html
T'as une autre source qui les contredit ? j'ai pas vraiment suivi moi...
Tchernobyl : le passage du nuage en France devant la justice
La cour d'appel de Paris examine la demande du parquet général de mettre fin à l'enquête sur le passage du nuage radioactif de Tchernobyl en France.
* Augmenter taille du texte Diminuer Taille texte
* Imprimer
* Envoyer
* Partager
Twitter Wikio Blogmarks Delicious Digg
* Réagir (4)
* Translate
*
A Tchernobyl
(c) Sipa A Tchernobyl
Articles liés
* RWE porte plainte contre le gouvernement allemand
* Japon : la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'histoire
* Japon: Tepco sera aidé par l'Etat, pas nationalisé
* Au Japon, petit lapin qui pisse derrière la tente vante... le nucléaire et l'EPR
* La chronologie de la crise nucléaire au Japon
* Jouez au quiz de Challenges.fr : "Testez vos connaissances sur le nucléaire"
La cour d'appel de Paris examine, jeudi 31 mars à partir de 14 heures, la demande du parquet général de mettre fin à l'enquête sur le passage du nuage radioactif de Tchernobyl en France. A cette occasion, le parquet devrait requérir un non-lieu général.
La chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris doit étudier l'appel formé par le professeur Pierre Pellerin, mis en examen pour tromperie aggravée dans cette affaire, contre le refus de la juge d'instruction chargée de l'enquête d'ordonner un non-lieu, d'après le cabinet de Me Bernard Fau, avocat des parties civiles.
La juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy a parallèlement été suspendue dans ce dossier dans l'attente de la décision de la cour d'appel.
Pas de lien avec des pathologies de la thyroïde ?
Le parquet général estime que les très nombreuses analyses et études scientifiques figurant au dossier convergent pour affirmer que l'accident de Tchernobyl n'a pas eu de conséquence sanitaire mesurable en France. Et notamment qu'aucune étude scientifique n'a pu établir un lien entre l'accident de Tchernobyl et des pathologies de la thyroïde en France.
Prenant acte de ces conclusions qui interviennent 25 ans après les faits et après 10 ans d'enquête, le parquet général requiert un non-lieu général et une clôture de l'instruction, de manière à ne pas poursuivre sans limite l'enquête, et ce pour une "bonne administration de la justice".
Le parquet général soutient également le non-lieu en faveur du Pr Pierre Pellerin, estimant qu'aucun élément n'établit de façon certaine que le professeur aurait délibérément trompé les consommateurs en minimisant les risques de santé publique.
Communiqués rassurants
Dans les jours qui ont suivi l'explosion du réacteur numéro quatre de la centrale ukrainienne de Tchernobyl le 26 avril 1986, le Service central de protection contre les rayons ionisants, à l'époque dirigé par le Pr Pierre Pellerin, avait diffusé plusieurs communiqués rassurants, affirmant notamment que "l'élévation relative de la radioactivité" en France était "très largement inférieure aux limites réglementaires".
L'enquête sur le passage du nuage de Tchernobyl en France a été ouverte en juillet 2001 suite à une plainte de l'Association française des malades de la Thyroïde et de la Commission de recherche et d'inf
L'expert nucléaire Chris Busby a révélé aujourd'hui dans une interview au Alex Jones Show, que les conseillers nucléaires américains et français se sont affrontés sur les mesures d'urgence à prendre à Fukushima.
Selon Chris Busby, la situation serait bien plus tragique que ce que les autorités reconnaissent, et justifient amplement le passage de l'accident au niveau 7. En effet, plusieurs réacteurs seraient à l'air libre et leur réaction hors de contrôle, impliquant un rejet permanent de radionucléides notamment du plutonium provenant du coeur n°3 qui était alimenté au MOX.
Les niveaux de radiation devenant trop élevées pour que des équipes puissent être maintenues sur place les experts se querellent sur le choix de solutions plus radicales.
Les USA envisageraient de bombarder la centrale pour la noyer dans la mer.
La France, qui a fourni le MOX, veux croire qu'il est possible de noyer les réacteurs dans du béton.
La querelle traduit l'impuissance des experts devant l'ampleur du désastre et les proportion titanesques des l'impacts avérés et potentiels qui laissent les autorités désemparées.
Nous vivons la conséquence du syndrome de dénégation consciente de l'industrie nucléaire. Des catastrophes d'une telle ampleur et aux conséquences tellement dramatiques n'ont tout simplement pas été envisagées car elles ne sont ni maitrisables ni justifiables.
On a donc décidé de les ignorer purement et simplement et de se bercer d'illusions. L’extrémité des mesures envisagées montre à quel point les autorités sont désemparées.
La perte de contrôle n'état pas avouable, le blackout médiatique est total et la minimisation criminelles de dispositions de protection en cas de radiation.
La pollution par radionucléides aux USA a été minimisée par l'élévation des dose admissibles.
Les zones évacuées par les autorités japonaises seraient, toujours selon Chris Busby, bien trop restreintes et il serait urgent de fournir les habitants d’une zone de 200 km autour de la centrale avec de l’eau et des aliments provenant de zones non contaminées. Or cette zone de 200 km englobe une grosse part de l’agglomération de Tokyo et ses 32 millions d’habitants.
Les mesures faites par prélèvements au sol montrent que les « taches » de contamination au sol dans la zone interdite de Fukushima pourraient être plus radioactives, plus toxiques et plus étendues qu’à Tchernobyl en dépit de la situation en bord de mer de la centrale qui réduit presque de moitié la zone de retombées potentielle.
Le plus préoccupant demeure l’incapacité des autorités à mettre un terme à la contamination de l’environnement, que se soit l’air, le sol ou la mer dans laquelle des tonnes d’eau radioactive sont constamment déversées. Ces pollutions sont largement dispersés par les courants comme par les vents et cela à l’échelle de la planète.
Le Comité Européen sur le Risque d’Irradiation publie une brochure de recommandations à destination du public (malheureusement en anglais)
http://www.euradcom.org/2011/ecrr2010.pdf
Fukushima/2012:
Contamination radioactive
de la chaîne alimentaire planétaire
En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans.
Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son i ncapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239... contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable: la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues année s à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon?
Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars: en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvé dans de très nombreuses régions des USA, du césium 134, du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas.
Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine.
Mais pas de panique! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit: Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue - et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques.
La troisième guerre mondiale nucléaire, lancée en 1945, s’est dotée de tout un arsenal d’armes génocidaires:
- Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 1450 et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable: elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité: en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA: ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA).
- Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” quelque 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités”: mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humai ne qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague!
- Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA - et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (et de déstabiliser la zone) - a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’association ACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak: 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestina les, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années.
Lire la suite sur le blog de Kokopelli.
Un poisson à trois yeux découvert près d’une centrale nucléaire en Argentine
Par Anna Demontis On 28 octobre 2011 @ 11:30
Blinky, le poisson orange à trois yeux retrouvé dans le lac de Springfield et imaginé dans les années 1990 par Matt Groening, le créateur des Simpson, ne relève plus uniquement de la fiction. Un poisson mutant similaire vient en effet d’être retrouvé par cinq pêcheurs dans un lac de la région de Cordoba (Argentine) situé près d’une centrale nucléaire.
(http://www.zegreenweb.com/files/Un_poisson_a_trois_yeux_d%C3%A9couvert_dans_un_lac_argentin2.jpg)
Rapportée par nos confrères de la radio argentine Cadena 3, cette information démontre si besoin était qu’il est des cas comme celui-ci où la réalité peut dépasser la fiction. Selon les pêcheurs, le troisième œil de ce poisson digne des scenarii les plus alarmistes serait de la même taille mais légèrement plus profond que les deux autres. La population locale, elle, a de bonnes raisons de s’inquiéter des causes de cette malformation, même si pour l’heure aucune donnée scientifique ne confirme le lien avec l’activité de nucléaire. La proximité de la centrale ne pouvait toutefois échapper aux habitants, dont certains voient dans cette découverte un bien mauvais présage, sept mois après la catastrophe de Fukushima [1] (Japon).
(http://www.zegreenweb.com/zegreen/gethumb.php?w=460&h=270&id=43304&p=1)
Peut-elle nous renseigner quant aux dégâts perpétrés par le nucléaire sur la faune et, par extension, sur l’Homme ? Ce poisson loup est en tout cas l’un des premiers animaux mutants découverts. Même dans la zone la plus radioactive du monde, autour de Tchernobyl (Ukraine), aucune « espèce suspecte » n’a jusqu’ici été recensée par les scientifiques. En 1986, le niveau de rayonnement dans la zone évacuée (30 kilomètres autour de la centrale) était pourtant très élevé, 4 km² de forêt de pins furent décimés, certains animaux cessèrent de se reproduire tandis que des chevaux et des bovins souffrirent gravement de la thyroïde. Pour autant, aucune bête à deux têtes n’est apparue. Mieux, selon les travaux de l’expert Sergey Gaschak, les générations suivantes étaient plutôt en bonne santé en dépit de légères mutations de leurs ADN, et même si l’adaptation des espèces à leur environnement n’en a pas moins rendu les animaux radioactifs. Un bilan a priori relativement heureux au regard de l’ampleur de la catastrophe ukrainienne.
(http://allenthehusband.files.wordpress.com/2008/03/blinky.jpg)
Quant aux animaux mutants, ils meurent plus rapidement que ceux qui ont été épargnés par la radioactivité [2], aussi est-il plausible que les experts n’aient pas eu le temps de les dénicher. Une hypothèse qui est devenue encore plus sérieuse après la découverte des pêcheurs argentins.
[1] Fukushima: http://www.zegreenweb.com/sinformer/japon-vers-des-zones-interdites-autour-de-fukushima-1,33817 (http://www.zegreenweb.com/sinformer/japon-vers-des-zones-interdites-autour-de-fukushima-1,33817)
[2] radioactivité: http://www.zegreenweb.com/sinformer/nucleaire-la-radioactivite-baisse-a-fukushima,42570 (http://www.zegreenweb.com/sinformer/nucleaire-la-radioactivite-baisse-a-fukushima,42570)