Voilà je le remet, j'ai essayé de retirer les fautes d'orthographes mais j'ai pas trop appuyé sur la ponctuation.
C'est de l'espèce de zapping / gerbe mentale sans odeur sans aspect
Sacrée décharge de nicotine, direct dans la gorge.Le chien couine.
Les moteurs, les générateurs l'existence extérieure résonne plus ou moins fort selon le niveau d'attention.
des véhicules passent, crissent et disparaissent aux coins des rues fumantes.
Le soleil froid et cassant, brule inéxorablement toutes les surfaces à disposition.
les seuls qui résistent sont les insectes de toutes tailles, le campement des araignées qui se posent et s'accrochent ici et là parmi le bordel envirronnant en est la preuve.
Les étandard on été nettoyés et bientot ils flotteront pour l'international des muscles débridés.Encore des incarcérations.
Le coeur s'emballe.Il voudrait survoler et comprendre très vite.
En meme temps il pose des épines et se déguise pour se protéger.
Dans la limite du quadrillage urbain ont peut sentir l'action bouillir meme dans le lointain.Tout les périphériques se rejoignent.
Il fait le plus de sauvegarde possible pour ne pas perdre le fil et éviter de voir la pyramide, son graal, s'évaporer.
Besoin d'une boussole.
Une porte claque.
Moment de pause et d'écoute à 360 degrés.
L'assemblée des masques trone du haut de multiples piquets à hauteurs variables.Ils ont tous l'air inquiet et semblent attendre qu'on leur dise quelque chose.
En bas les ruminants se contentent de se ballader dans la prairie afin d'y trouver de quoi brouter.Des fleurs surtout.Des fleurs qui sentent bon et fort.
Quand la nuit viens et que les signaux se font plus brutaux et rapides.
Il y a un petit parc.Un tourniquet au couleurs vives bouge au gré du vent.Le toboggan est en manque de sensations fortes.
Zoom sur l'image au plus près du grain et de la matière.Certaines formules me sont encore inconnues.
Toute une panoplie de livres et de guides pour tout savoir.Essayer d'expliquer à ceux qui ont des difficultés.
Pas de favoritisme.Rien n'est demandé en échange.
Sourire bienveillant, naif de celui qui ne fais pas la course comme les autres lui indique de le faire.
Déguisement gris pour disparaitre dans les murs.
Uniforme militaire de haut gradé, reception d'un message codé, il soulève ses petites lunettes.
_"qu'est ce que tu viens de dire ?" dit il avec un léger sourire d'imcompréhension.
D'autres patientent, assis dans un tas de coussin, ambiance chicha, et parlent à ne plus se comprendre.
Chacun veux faire gouter sa soupe à son voisin.
La lumière rouge et les lasers sont activés pour piloter les sentiments des gens présents.Ils rigolent.
Le temps passe, les esprits s'échauffent.Yen a un qui décide de sauter.D'emjamber la barrière et d'y aller.
Les autres s'agitent tels des animaux.Les dents brillent.Les expressions se distordent chaque secondes.C'est un film en accéléré.
De jeunes filles commencent à se mordiller le visage en poussant des grognements de lionnes.
L'alcool qui est servit ce soir là à une odeur de colle de maternelle.Cléopatre est dans les parages.
Sur chaque marches du réseau les gens viennent pour laisser une inscription, marque de leur passage dans cette zone.
Petit coffre plat qui contient différent uniformes pour pénétrer , selon celui que l'on enfile, dans tel ou tel endroits avant inaccessible.
Sa chambre donne directement accès à une sorte de parcours.Il y a différent chemins possibles tous balisés.
On lui a expliqué qu'il pouvait se créer son chemin et éviter les bifurcations hasardeuses.
Ils ont oubliés de lui donner un exemplaire de la carte des chemins.Il doit y arriver seul, inventer son système et développer sa méthode pour éclaicir son propre passage.
Il y a des stages à passer.C'est obligatoire mais il sait qu'une autre façon est envisageable.Trouver des renseignements.
Un homme qui ressemble à son père lui conseil de choisir un plan épargne.
Il lui montre une liste mais semble lui recommander le choix numéro 3 qui selon lui est le plus favorable.
La rencontre se fait dans la rue.L'homme porte un costard noir très classique.Son visage est flouté par une sorte de mini brouillard.
Le mot de passe est ton reflet dans le mirroir lui suggère t il.
_c'est un problème vraiment sérieux ? tu en souffres au quotidien ?
Le son des gouttes qui plic ploc des arbres après l'averse.
Un éternuement.
_Sinon le plus simple c'est d'aimer les odeurs et d'apprécier les arômes !
tu peux choisir celui qui te convient le mieux et ainsi, accéder au bonheur.
_Ouai et ça se trouve vous teniez un remède contre l'ulcère bande de chimistes !!!
_sinon, j'métais dis qu'étant donné les qualité d'absorbtion du sel, on peut toujours essayer d'enmettre
dans le fond de leur gorges...faut faire des expériences dans la vie...
DOS SUANT ET PIEDS PUANTS
_euuuuuuuuuuuuuH....
t'es encore bourré?
tu fais n'importe quoi là !! s'écria t il.
_Sinon celui la est vraiment parfait, un peu mal foutu et ecrit dans une langue inconnue, ya pas mal de boutons à la con
et on peut en créer de nouveaux et éditer les effets comme on le désire !
Si il plantait pas si souvent il serai parfait pour les écoutes téléphonique, personne n'a compris,
limite si ils appelaient pas les autorités de vigilance et sécurité...
Les jeunes gesticulent et remuent au son du tam tam.Ils ont la fièvre.Découverte de nouvelles sensations.
J'entre dans le bar à rastas.
Ils me dévisagent mais rien ne se passe, aucune hostilité.
Ils ont l'air vieux comme des pyramides et pourtant aussi vivace qu'un tétard en rut.
Ils rient avec leur dentitions schrapnel.
Tout n'est que couleur pour se rappeller la vie et sa soit disant beauté.
Une baffe dans le champs de moustique.Gros comme des mouches à merde.
_J'ai encore jamais vu des bestiaux pareil!! gueule le borgne qui glisse de son tabouret.
Mes amis ne viendront pas ce soir, ils sont en villégiature, ils redécouvrent le plaisir de la nature
tant qu'il en est encore temps.
Ils reviendront tot ou tard me voir et me questionner, s'enquérir de mon bien etre, de mon équilibre avant de vaquer à leur occcupations, vidés de leur culpabilité.
C'est beau la réussite, me dis je en sirotant mon dernier verre de bière de contrebande.(surtout que trouver de l'alcool dans un bar à rasta reste un exploit de nos jours).
Un homme me dévisage, me transperce me scrute et anatomise la situation.
Que me veux t il ?
M'enfiler comme on enfile un ver sur sa ligne de canne à peche?
Est ce une sorte de docteur fou, chirurgien en kit brésilien en manque d'organes?
Détournement de globules rouges par voix express.New Mafia.
Je récapitule sans cesse tout ce que je percoit, je tente de n'appartenir à aucune catégories.
Ils veulent me bouffer tout cru.J'ai déjà songé aux solutions, à LA solution.
LA DESTRUCTION.Avant le renouveau.
Petite randonnée galopante dans le territoire des pierres de coupe.
Peu de témoignages ont été rapportés.Il n'en reste pas moins que pour la classe moyenne c'est un lieu de ballade réputé.
On peut y faire son jogging hebdomadaire et se fendre le crane, net et sans bavure, sans que personne ne bronche.
Ou bien y aller pour perdre sa belle mère, son chien ou son voisin sénile.
Certain y vont pour faire un barbecue.Les pierres sont tellement aiguisées, chaudes, à vif qu'on peut facilement ammener un cochon de lait et le débiter sans l'aide du moindre outil de boucher.
Les brochures qui vantent les ballades dans ce petit coin de paradis sont distribuées
dans plusieurs endroits.
Stratégiques dira t'on.
Les aéropôrts, les hospices, les salles de gyms, les fast food, les maternités et meme dans certains ministères.
Ces formulaires, imprimés sur ce beau papier glacé 300 gr, sont édités par la corporation.
C'est elle meme qui à annoncé que bientot le papier viendrait à manquer et que la population une fois de plus
devrait fournir un effort, considérable, afin de pallier à ce manque de matériaux de premier ordre.
La corporation détient aussi la firmes des pépiniéristes, des écologistes et des je sais tout sur ce qu'est la nature bien sur.
La corporation ne donne jamais de réelles explications car de toute façon rien n'est vraiment plus réel.
Et personne n'oserait contredire la corporation de peur de devoir y travailler.
La peur elle meme n'est plus qu'une notion floue, dissipée prete à disparaitre dans le néant des neurones encore en éveil.
_Tout va bien aujourd'hui. répète chaque jour le préposé aux informations internationales.
Quel travail de fou que de présenter chaque nouveaux jours, à ses concitoyens bien propres, ce dont ils n'ont plus rien à faire.
La voiture du présentateur grince et explose soudain au démarrage.Est ce que ce sera à la une de ce soir se demande t il .
La mécanique des fois vous fais perdre patience.