Cannibal Caniche
Gourbi => Tous a poil et plus vite que ça => Discussion démarrée par: Brooke Adams le février 06, 2008, 12:27:37 pm
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Il a rappelé une heure avant pour s’assurer que nous serions bien au rendez-vous, a ouvert la porte de son appartement en souriant, a offert un verre au salon, puis s’est assis, le sourire toujours aux lèvres et les yeux vissés sur nous. Antoine (1), 47 ans, haut fonctionnaire, est bavard et disert sur la «colocation» qu’il propose. «Confort», «calme», «indépendance»… «C’est un quartier agréable. Et vous aurez votre chambre.» Mais ce dont Antoine aimerait surtout parler, c’est des contreparties qu’il attend de sa colocataire. «Se promener nue le plus souvent possible. Ecarter les jambes sur le canapé pour m’exciter. Pas de contrainte de fréquence pour les rapports sexuels, mais faudra pas se foutre de ma gueule non plus. Au début, je risque d’avoir envie souvent.» Voilà environ deux ans qu’Antoine recrute ainsi des colocataires, via une annonce sur le site Internet Missive, à laquelle nous avons répondu. Pas de loyer numéraire, on paye en nature. Pas de bail non plus, «tout est basé sur la confiance». Quant à la durée, «pas de limites». «Ça peut être en mois, en années. Les seules filles que j’ai virées sont celles qui ne respectaient pas leurs engagements.»
Antoine n’est pas le seul à pratiquer ce type d’échange - appartement contre sexe - à Paris. Dans un contexte de crise du logement, la formule semble s’être répandue. Sur Missive, la rubrique parisienne «A louer» recense de nombreuses offres d’hommes proposant des colocations ou studios indépendants «contre services sexuels».Mais également de femmes, troquant leurs charmes contre un toit. Ailleurs, sur Kijiji, Vivastreet ou dans le journal gratuit Paris Paname, on trouve aussi des annonces, plus masquées. Le mot sexe n’apparaît pas, ce sont les mentions «pour jeune femme», «contre services» et l’absence de montant pour le loyer qui servent d’indices.
Exigences. Antoine est lucide sur les motivations de ses colocataires. «Je sais bien que si vous aviez les moyens de vous loger autrement, vous ne viendriez pas chez moi.» Ce qui n’entraîne aucun scrupule quant à ses exigences, dont la liste s’allonge au fil de l’entretien. «Je veux pouvoir vous observer aux toilettes. J’aimerais que vous soyez là le soir quand je rentre. Ce serait bien si on pouvait dormir ensemble. Je veux du ménage et du repassage.» On quitte Antoine en pleine description des jeux «uro-scato» dans lesquels il nous imagine. Pour rejoindre notre deuxième rendez-vous.
Dans cette rue sombre proche de la gare Saint-Lazare, l’homme attend au bas de l’immeuble, silhouette courbée rasant les murs. L’adresse qu’il nous a donnée au téléphone n’est pas la bonne. Il nous entraîne un peu plus loin, dans une arrière-cour, puis dans un petit ascenseur sans lumière. Au sixième étage, on débouche dans une chambre d’à peine dix mètres carrés : un néon verdâtre, un vieux lit en mezzanine et une douche en plastique crasseuse. «Voilà, dit Amar. 650 euros, à négocier si arrangement.»
Enervement.La formule est la même que dans l’annonce postée sur Missive. On demande des précisions. «450 eurosplus deux week-ends de sexe par mois», répond-il. Amar habite en banlieue : les «week-ends de sexe» peuvent avoir lieu ici ou chez lui, dans les Yvelines. «Je peux faire un bail, mais il va falloir être très gentilles.» Amar a fermé la porte, et reste debout, appuyé contre la poignée. Son ton devient agressif : «C’est une bonne offre, les agences demandent 850 euros plus une caution pour ça.» «C’est pas une arnaque», répète-t-il de plus en plus énervé et menaçant. Nous demandons à visiter les toilettes sur le palier. Et prenons précipitamment congé.
De tous les hommes contactés, Laurent, 32 ans, est le seul à manifester une certaine timidité. Dans son studio propret du XVe arrondissement, il parle de tout, du temps qu’il fait, et surtout pas de l’annonce qu’il a passée. «J’ai connu Missive par leur rubrique de rencontres SM, se lance-t-il enfin. Je n’aurais jamais eu l’idée de proposer un hébergement contre du SM si je n’avais pas découvert là que ça se faisait.» Documentaliste, Laurent est un beau jeune homme svelte, les épaules carrées, le visage doux. «Ce que j’aime, confie-t-il,c’est être attaché. Servir à table en soubrette. Lécher des bottes en me prosternant.» Laurent propose de partager son modeste clic-clac en échange de quelques séances de ce type. «Je ne demande pas de relations sexuelles classiques. L’idée, c’est que ça reste cool. La fille a la clé, elle mène sa vie, mais juste, de temps en temps, elle me dit : "Fais ça." Ou moi, spontanément, je m’y mets, je lui sers de chaise, de repose-pieds.» Laurent a déjà eu deux expériences de colocation qui se sont «très bien passées». «Peut-être que les filles sont poussées à ça par leurs difficultés, admet-il. Mais, au final, chacun y trouve son compte.»
C’est aussi le credo de Julien, 30 ans, qui parle d’«échange de bons procédés». Agent de sécurité, il héberge régulièrement «des filles» dans son joli deux-pièces de l’Ouest parisien. «Ce sont souvent des escorts, qui viennent de province se faire un peu de fric à Paris. Je les reçois pour un mois ou deux, rarement plus, parce qu’après on se lasse.» Plutôt distant, Julien explique qu’il ne demande pas d’argent mais «du sexe classique» et «pas de prise de tête, parce qu’[il a] déjà eu des filles qui [lui] ont mis le bordel». Ses «colocataires» disposent du canapé-lit du salon, tandis qu’il dort dans sa chambre. Peu de temps après notre visite, il envoie un texto : «Désolé, ça va pas le faire.»
Didier, au contraire, est «très, très motivé», comme il le répète dans ses nombreux messages. Il nous propose un deux-pièces dans le XVIIIe contre «550 euros, plus deux trois rencontres par mois». Il habite ailleurs avec femme et enfants, mais peut se «débrouiller» pour nous rejoindre les week-ends. Malheureusement, l’appartement n’est «pas encore» visitable. «J’attends le départ des locataires», nous explique-t-il lorsque nous le rencontrons à la terrasse d’un café. En attendant, il propose de «commencer» déjà le sexe. «Pour voir si on se plaît».
Sur Missive, plusieurs messages d’internautes mettent en garde contre ces «tests» préalables. «Ça m’est arrivé trois fois, raconte Lætitia, 26 ans. Les types te font visiter, te demandent de coucher immédiatement. Et ensuite, plus de nouvelles. Parfois, c’est même pas leur appart qu’ils t’ont montré. Ils ont pris les clés d’un copain.» Il y a six mois, Lætitia a décidé de passer sa propre annonce «pour avoir le choix». Elle a depuis reçu quelques propositions «intéressantes». «Mais quoi qu’il arrive, prévient-elle, il faut rester méfiante.»
Pierre Allain, le webmaster de Missive, reprend le même appel à la «prudence», sans pour autant censurer «ce qui relève d’un échange entre adultes consentants». «Il y a là parfois des hommes qui profitent de la détresse de jeunes femmes. Nous mettons en garde nos internautes. Mais nous ne pouvons pas faire une enquête pour chaque annonce.» Missive est hébergé en Suisse, comme la plupart des sites francophones proposant les services de prostituées ou escorts. «La Suisse a une législation plus permissive que la France, reconnaît Pierre Allain. Reste que, même en France, un homme a le droit de proposer un logement contre des services sexuels.»
«Habileté». «Cela s’apparente à de la prostitution, ce qui n’est pas interdit, nous confirme une source policière. Seul le site Internet qui héberge les annonces peut être poursuivi pour proxénétisme s’il est en France. Mais ce genre de poursuites aboutit rarement.» Hors Missive, pourtant, la plupart des sites et journaux d’annonces concernés expliquent qu’ils font tout pour «supprimer» ces annonces. «On en voit apparaître dans la rubrique "Colocation", on les transfère immédiatement dans celle des rencontres érotiques», dit Virginie Pons, responsable de la communication chez Vivastreet. «Nous n’acceptons pas ces annonces chez nous», affirment quant à eux Benjamin Glaenzer, directeur général de Kijiji France, et Bernard Saulnier, le patron de Paris Paname. Tous deux notent cependant «l’habileté» des annonceurs pour déjouer leurs contrôles.
Stéphanie a 38 ans, elle est «escort occasionnelle». Contactée via le tchat de Missive, elle déconseille formellement le troc «appart contre sexe». «J’ai une amie qui a fait ça. Elle s’est retrouvée à la rue du jour au lendemain. Tu deviens dépendante d’un type qui risque de t’en demander toujours plus, en menaçant de te jeter si tu refuses. Sincèrement, il vaut mieux se prostituer pour payer son loyer : tu restes libre.» Sur le même tchat, puis par téléphone, on discute avec Tina, 35 ans, qui, elle, profite depuis quatre ans d’un logement contre «services sexuels» dont elle se dit ravie. «Il ne faut pas choisir un homme jeune, car il ne te gardera pas longtemps, il aura envie de changement, conseille-t-elle. Le mien, il a 62 ans. Je l’ai rencontré sur les Champs-Elysées. Il vit à Dubaï et vient en France de temps en temps. Sinon, je suis seule dans l’appart, 115 mètres carrés dans le XVIe arrondissement.»
«A la porte». Zara, 23 ans, étudiante, n’est pas aussi bien tombée. Elle accepte de nous rencontrer dans un café parisien, «pour parler de ces types qui profitent des filles paumées». Il y a trois ans, Zara a passé une annonce dans Paris Paname : «Jeune fille cherche logement contre services.» «Je pensais ménage, repassage, baby-sitting, dit-elle. J’ai eu des dizaines de réponses. Que des hommes. Qui voulaient tous du cul.» Originaire du sud de la France, Zara ne veut pas détailler les raisons qui l’ont poussée à quitter sa famille. «Je n’avais pas le choix.» Elle a fini par accepter une colocation avec un homme, puis une autre. «Deux fois, je me suis retrouvée à la porte, sans nulle part où aller, parce que je ne voulais pas faire ce qu’ils me demandaient. Ces mecs-là ont besoin de sentir qu’ils exercent un pouvoir sur toi. Ils t’en veulent de savoir que si tu n’étais pas dans la merde, tu ne les aurais jamais regardés.»
Aujourd’hui, Zara a un travail, un appartement. Heureuse et soulagée que ces mois de «galère» soient derrière. «Tandis qu’eux, ajoute-t-elle quand même amère, dans dix ans, ils en seront toujours au même point. A passer et repasser leur annonce pour trouver des filles.»
(1) Les prénoms ont été changés.
http://www.liberation.fr/transversales/grandsangles/308288.FR.php
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:chain: :tronc: :chain: :zhand1: :zhand2:
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Ha quand le romantisme moderne et la précarité font bon ménage, magnifique Michel! smiley13
La version à peine fictive:
http://fr.youtube.com/watch?v=MrrzKI8AHcw
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c'est bon ça!
j'y aurais pas pensé!
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Mais vous-même Brooke, mon enfant, en avez vous été réduite à habiter des gîtes infâmes pour vous loger ?? smiley7 smiley11
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tiens djemi' un p'tit gars pour toi ! smiley23
De tous les hommes contactés, Laurent, 32 ans, est le seul à manifester une certaine timidité. Dans son studio propret du XVe arrondissement, il parle de tout, du temps qu’il fait, et surtout pas de l’annonce qu’il a passée. «J’ai connu Missive par leur rubrique de rencontres SM, se lance-t-il enfin. Je n’aurais jamais eu l’idée de proposer un hébergement contre du SM si je n’avais pas découvert là que ça se faisait.» Documentaliste, Laurent est un beau jeune homme svelte, les épaules carrées, le visage doux. «Ce que j’aime, confie-t-il,c’est être attaché. Servir à table en soubrette. Lécher des bottes en me prosternant.» Laurent propose de partager son modeste clic-clac en échange de quelques séances de ce type. «Je ne demande pas de relations sexuelles classiques. L’idée, c’est que ça reste cool. La fille a la clé, elle mène sa vie, mais juste, de temps en temps, elle me dit : "Fais ça." Ou moi, spontanément, je m’y mets, je lui sers de chaise, de repose-pieds.» Laurent a déjà eu deux expériences de colocation qui se sont «très bien passées». «Peut-être que les filles sont poussées à ça par leurs difficultés, admet-il. Mais, au final, chacun y trouve son compte.»
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Ha quand le romantisme moderne et la précarité font bon ménage, magnifique Michel! smiley13
et moi qui croyait que la prostitution existait depuis la nuit des temps smiley4
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Mais vous-même Brooke, mon enfant, en avez vous été réduite à habiter des gîtes infâmes pour vous loger ?? smiley7 smiley11
Non, je ne loue pas les services de jeunes étudiants, je préfère qu'ils gardent leurs forces pour les études.
Par contre les cardinaux salaces.. smiley4
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Ha quand le romantisme moderne et la précarité font bon ménage, magnifique Michel! smiley13
et moi qui croyait que la prostitution existait depuis la nuit des temps smiley4
La nuit de notre temps smiley4, ha moins que les grands anciens pratiquaient déja... :chtulhu: smiley20 :charming:
Mais que font les féministes! Maintenant c'est "mi soumises, mi SDF", ha les facéties de l'économie de marché smiley6
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tiens djemi' un p'tit gars pour toi ! smiley23
Oulalalala...
j'me souviens, une fois, j'm'étais inscrite sur un site qui s'appelle "à partager.com" j'crois...
y a vait une annonce d'une colloc pas cher.
J'écris, un type me réponds et me propose de visiter.
J'y vais.
En fait il s'agissait d'un logement où y avait juste un lit pour dormir et le gars dormait dans une mezzanine au dessus.
la douche donnait directement sur la pièce principale.( une porte vitrée) ...comme par hasard le gars, ne voulait " héberger" que des filles...
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si j'étais un gars seul avec assez de sous pour un appartement trop grand pour moi je pourrai faire ça...
C'est charitable dans les 2 sens...
Je vois pas le pb en fin de compte...
Après si la fille est suffisamment intéressante, drôle avec de la conversation je pourrai faire oeuvre de chariter à sens unique mais sinon ya pas de raison...
(défois j'me dis qu'heureusement je suis pas un gars je serai un vrai salopard...)
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tiens djemi' un p'tit gars pour toi ! smiley23
Oulalalala...
j'me souviens, une fois, j'm'étais inscrite sur un site qui s'appelle "à partager.com" j'crois...
y a vait une annonce d'une colloc pas cher.
J'écris, un type me réponds et me propose de visiter.
J'y vais.
En fait il s'agissait d'un logement où y avait juste un lit pour dormir et le gars dormait dans une mezzanine au dessus.
la douche donnait directement sur la pièce principale.( une porte vitrée) ...comme par hasard le gars, ne voulait " héberger" que des filles...
Est-ce qu'il mangeait des jambonneaux à longueur de temps ? smiley17
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En fait sur le principe j'trouve pas ça con comme idée.
.... mais y a vite moyen de faire des nuits gratos, juste pour pouvoir dormir quelquepart. et sans avoir de vrai lieu de vie au final.
Comme dit l'autre, autant se prostituer pour ta gueule, pas pour celle d'un "pervers" qui t'héberge ( à moins que le type soit un ami...et encore, trop sympa, l'amitié..)..... au moins t'es pas à la merci des humeurs de quelqu'un qui peut te virer du jour au lendemain. C'est trop précaire, comme biz....
Moi j'en prendrai pour mon grade si j'devais faire ça. bonjour le moral à zéro...p'tain, j'me sentirai mal.
Hein, qu'est ce que tu dis Alain? du jambonneau?
Non, j'crois qu'il mangeait des nems....
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je crois quele gars qui t'a proposé un appart, c'est Ta^^a^^^^â^lem :smiley45: Fuis tant qu'il est encore temps ! :horror:
(http://img521.imageshack.us/img521/8671/talemlacoccinellerj4.jpg) (http://abyssa.netlabel.xooit.com/image.php?image=http%3A%2F%2Fimg521.imageshack.us%2Fimg521%2F8671%2Ftalemlacoccinellerj4.jpg)
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c'est quoi Talem?
bon, justement j'ai fui.
et maintenant , c'est moi qui peux louer ma chambre à des pauv' gars perdu moyennant qu'ils fassent le ménage, la vaisselle qu'ils puent pas des pieds, qu'ils soient grâcieux et qu'ils fassent exactement ce que j'leur dis sous peine d'être fouetté violemment avec des cables de guitare. et qu'ils fassent à manger. et pas de la merde. et qu'ils écartent les jambes quand ils passent la serpillère pour que j'puisse bien leur piquer l'interieur des cuisses avec mon stylo bic.
Et s'il veulent pas se soumettre, j'les étouffe avec le rideau de la douche et je jette toutes leurs affaires dans la charente. Na.
d'alleurs j'ai rendez vous ce soir pour une colloc, Angoulème c'est pire que Paris, les gens se battent au portillon, y a qu'à se baisser pour ramasser !
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En fait sur le principe j'trouve pas ça con comme idée.
C'est charitable dans les 2 sens...
Je vois pas le pb en fin de compte...
moi qui m'attendait à des réponses genre "sétonteu"...
smiley9
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ça dépend des circonstances et des personnes en fait...
si chacun sait pourquoi il se trouve là et l'assume à partir de là tout se passe bien....
Après si tu tombes sur une nana ou un mec glauque forcément c'est l'risque mais dans ce cas tu refuses...
Après c'est vrai que c'est pas très gentleman comme pratique et que la vrai charité serait d'offrir son toit à une demoiselle en détresse sans rien lui demander en retour que de faire sa part de ménage.....après si elle lui dit qu'elle préfère sucer les zizi que de faire le ménage on peut tjs s'arranger...faut discuter quoi...:boulette:
le cul c'est tellement superficiel dans l'fond..mais tellement important quand on a rien d'autre...
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en tant que conseiller en communication je te préviens que ce message ne t' aidera sans doute pas à maintenir tes 46% smiley18
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ha j'aurai du écrire quoi à la place pour espérer dépasser les 50% tu penses ? smiley6
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un post qui s'il commence par "ça dépends" s'arrête juste après ?
smiley4
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heu...? :hummm:
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Ton départ de post sur "ça dépends du lieu du temps des gens" m'a fait sourire.
"ça dépends" c'est typiquement le genre de début de phrase qu'on peut placer partout et qui ne fait pas souvent avancer le schmililil...
mais c'est ma faute
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ha oui c'est bien vrai ça...mais c'est vrai aussi que quelquepart tout dépend de tout smiley18
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ça dépends
ça dépends
smiley17 mais arrètez avec ce S smiley17
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smiley10
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c'est quoi Talem?
bon, justement j'ai fui.
et maintenant , c'est moi qui peux louer ma chambre à des pauv' gars perdu moyennant qu'ils fassent le ménage, la vaisselle qu'ils puent pas des pieds, qu'ils soient grâcieux et qu'ils fassent exactement ce que j'leur dis sous peine d'être fouetté violemment avec des cables de guitare. et qu'ils fassent à manger. et pas de la merde. et qu'ils écartent les jambes quand ils passent la serpillère pour que j'puisse bien leur piquer l'interieur des cuisses avec mon stylo bic.
Et s'il veulent pas se soumettre, j'les étouffe avec le rideau de la douche et je jette toutes leurs affaires dans la charente. Na.
d'alleurs j'ai rendez vous ce soir pour une colloc, Angoulème c'est pire que Paris, les gens se battent au portillon, y a qu'à se baisser pour ramasser !
What a fucking news !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! smiley17 :dryshit: smiley17 c taalem qui louerait à des ptites minettes en échange des jambonneaux qu'elle lui apporterait ou de la mortadelle qu'il exigerait d'elles ? Horrrrrrrrrrrrrrrrrrible ! :horror:
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un mariage en cdd quoi mais sans date sur le contrat .
j'sais pas exactement mais il y a très longtemps que ça existe, j'ai lu des récits de ce genre de chose au 18ieme déjà .
y'aurait il pas moyen de donner à la femme un autre rôle que celui de vierge prostitué dans notre société ?
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le cul c'est tellement superficiel dans l'fond..mais tellement important quand on a rien d'autre...
wahou!
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le cul c'est tellement superficiel dans l'fond..
plutot vaginale ou clitoridienne alors smiley23
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ça dépend... smiley6
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si j'ai une fille , je l'appellerais Clitoris , c'est beau je trouve, ça fait un peu egyptien
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smiley32
Vous pensez que ça se trouve de vieille bourgeoise seule qui pratique ce genre de deal ? :brondon:
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Vite !Tous à pole emploi !
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smiley32
Vous pensez que ça se trouve de vieille bourgeoise seule qui pratique ce genre de deal ? :brondon:
sans aucun doute smiley23
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je vous ai parlé de mon lit kingsize et du fait qu'en ce moment il fait dans les 20° ici ?
est cue mon email est bien accessible là en dessous ?
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je viens de le signaler a rodrigo, il te contacte en PM dès qu'il a fini sa seance de gym
(http://images.doctissimo.fr/private/photo/hd/8963865896/private-category/studio-110-3909956149.jpg)
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:stupid:
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faudra préparer un nouveau script pour gros lapin qui se fait pomper dans la chambre d'hôtel
dimanche 15 mai
Dominique Strauss-Kahn a été arrêté à l’aéroport JFK de New York quelques minutes avant de s’envoler pour Paris. Il aurait forcé une employée d’un hôtel à lui prodiguer une fellation.
Le socialiste français qui dirige le Fonds monétaire international (FMI) a été arrêté pour avoir abusé sexuellement d’une femme de chambre dans un hôtel de Manhattan samedi, rapporte le site internet du « New York Post ».
Dominique Strauss-Kahn, 62 ans, a été interpelé dans le secteur 1re classe d’un vol Air France alors qu’il s’apprêtait à décoller de New York à destination de Paris, selon des sources policières. « DSK » a ensuite été remis aux agents de police de New York.
Une fellation avant de prendre l’avion ?
« Ses ennuis ont commencé aux environs de midi samedi quand une femme de chambre de l’hôtel a frappé à la porte de la chambre Strauss-Khan à l’hôtel Sofitel sur West 44th Street. Après l’avoir laissée entrer, Dominique Strauss-Kahn l’aurait jetée sur le lit de la chambre et l’aurait forcée à pratiquer une fellation sur lui », précise le « New York Post ».
Son arrestation pourrait l’obliger à reporter une réunion prévue dimanche à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel.
Le prestigieux « New York Times » a confirmé cette arrestation.
En France, Rue89.com relaye aussi cette information. Le site français précise que le « New York Post » parle d’affaire de « sodomy », dans la mesure où « ce terme désigne en anglais le sexe autre que vaginal, ici oral ».
http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/-DSK--accuse-d-avoir-impose-une-fellation-14632253
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Une fellation avant de prendre l’avion ?
Peut-être pour évacuer la tension sexuelle liée à leur phobie de prendre l'avion ?
...et peut-être qu'ils n'aiment pas trop se salir les mains alors ils ont demandés à la première bouche dispo de faire le sale boulot ! smiley9
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C'est de toute façon rien que de dire qu'on l'a échappé belle (façon de parler vu le zigoto qu'on risque d'avoir, d'un camp ou de l'autre smiley18), voici un article à ce propos sur la politique que prévoyait de mener ce grand "bienfaiteur des peuples endettés" qu'était Strauss-Kahn (http://forum-images.hardware.fr/images/perso/cerveau%20ban.gif). C'est du psychanaliste argentin Miguel Benassayag et issu de La Mèche n°8 du 29 octobre 2010...
Le FMI soigne l'Amérique Latine...
Le FMI vient de sortir un rapport consacré à l'économie de l'Amérique Latine, dans lequel le "socialiste " DSK condamne les politiques d'interventions publiques et dit clairement qu'elles sont la cause d'une perte de croissance et provoquent une fragilité fiscale. Le grand "socialiste" propose donc d'agir pour résoudre le problème, avec des préconisations qui reprennent toutes les recettes qui, dans un passé récent, on conduit notre continent à ses plus grandes crises.
(http://photo.lejdd.fr/media/images/politique/dsk-g20/3573705-1-fre-FR/DSK-G20_pics_390.jpg)[/list]
D'abord diminuer ladépense publique, favoriser le "climat" pour les affaires. Pour cela, il propose aussi de démontrer quelques uns des piliers macro-économiques qui ont permis à ces pays de traverser la crise économique de la meilleure façon possible. Le rapport dit très clairement que "le secteur public doit être le plus austère possible". Ce qui, si on traduit , veut dire plus de misère, des morts, des laissés pour compte.
Le rapport demande aussi que les pouvoirs publics n'interviennent plus pour réguler les taux de change des monnaies. C'est pourtant cette politque qui a, en partie, permis à certains de ces pays de créer des emplois, de donner des aides aux secteurs les plus pauvres, et de payer leur dette.
Bref, on a péché. On a trop voulu être indépendants et le grand socliatliste DSK veut nous remetre dans la bonne voie... Avis aux intéressés, pour les prochaines élections en France, il ne suffit absolument pas de dégommer Sarko....
Miguel Benassayag[/list][/list][/list]
(http://www.questotrentino.it/2005/06/abletto_benasayag.jpg)[/list][/list][/list]